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C'est arrivé un...

C’est arrivé un 17 octobre…

C’est arrivé un 17 octobre…

“A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines.” Léon XIII, Rerum Novarum

Alors rappelons-nous :

  • le 17 octobre : fête de Sainte Marguerite-Marie Alacoque.

Née le 22 juillet 1647 à Verosvres en Bourgogne, Marguerite Alacoque est attirée par la vie religieuse dès l’âge de cinq ans et dès neuf ans, elle s’inflige de sévères mortifications avant d’être paralysée. Pendant son adolescence, le Christ lui apparaît. Malgré sa santé fragile elle entre au Monastère de la Visitation de la Très Sainte Vierge Marie, ou Visitandines, ordre fondé par Saint François de Sales et Sainte Jeanne de Chantal.

En 1689, le Christ lui apparaît et lui délivre ce message :

«Voici ce Cœur qui a tant aimé les hommes qu’il n’a rien épargné jusqu’à s’épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour. Et pour reconnaissance, je ne reçois de la plupart que des ingratitudes, par leurs irrévérences et leurs sacrilèges, et par les froideurs et les mépris qu’ils ont pour moi dans ce sacrement d’amour. »

  • Le premier message s’adresse au Roi :

Il [le Christ] désire entrer avec pompe et magnificence dans la maison des princes et du Roi, pour y être honoré, autant qu’il y a été outragé, méprisé et humilié en sa passion ” Mais plus spécifiquement à Louis XIV :<< Fais savoir au fils aîné de mon Sacré-Cœur que, comme sa naissance a été obtenue par la dévotion aux mérites de ma sainte enfance, de même il obtiendra sa naissance de grâce et de gloire éternelle par la consécration qu’ il fera de lui-même à mon cœur adorable qui veut triompher du sien et, par son entremise, de celui des grands de la terre. “

  • Le deuxième message : ” Le Père Éternel voulant réparer les amertumes et angoisses que l’adorable Cœur de son divin Fils a reçues dans la maison des princes de la terre veut établir son empire dans le cœur de notre Grand monarque, duquel il veut se servir pour l’exécution de ses desseins. “

Le Roi est fils aîné du Sacré-Cœur en qualité de chef d’État de même que la France est fille aînée de l’Église.

  • Le troisième message demande au Roi : “d’être peint sur ses étendards et gravé sur ses armes pour le rendre victorieux de tous ses ennemis, en abattant à ses pieds les têtes orgueilleuses et superbes, afin de le rendre triomphant de tous les ennemis de la Sainte-Eglise “.
  • Le quatrième message est : de “faire construire un édifice où sera le tableau de ce divin Coeur, pour y recevoir la consécration et les hommages du Roi et de toute la cour. Dans cet édifice le chef de la nation française reconnaîtra l’empire du divin Coeur sur lui-même et la nation, il proclamera sa royauté, se dira lieutenant du Christ “.

Elle est aidée par Saint Claude de La Colombière (cf. les chroniques des 15 février et 17 juin) pour faire connaître la dévotion au Sacré Cœur. Elle meurt épuisée par les mortifications, le 17 octobre 1690 et est béatifiée en 1864 par le Bienheureux Pape Pie IX, puis canonisée en 1920 par Benoît XV.

  • le 17 octobre 532 : décès du pape Boniface II.

Il est enterré à St-Pierre de Rome.

  • le 17 octobre 1037 : dédicace de la Cathédrale de Chartres.

Il s’agit de la cathédrale romane qui avait été commencée par l’évêque Fulbert en 1020.

« La dédicace d’une église est une cérémonie liturgique particulièrement importante qui voue un édifice aux rencontres sacrées de l’Alliance en Dieu et l’Humanité. Elle se fait en présence de la quasi-totalité de la communauté ecclésiale, soit tous les fidèles possibles autour de l’évêque, de ses prêtres et de ses diacres.

On vient en procession jusqu’à l’édifice que l’on doit consacrer ; les portes en sont ouvertes solennellement. L’évêque bénit l’eau destinée à l’aspersion du peuple présent, des murs intérieurs et de l’autel de l’église : c’est comme un baptême. Après le Gloria et la Collecte, l’évêque prend un lectionnaire, le montre au peuple en disant : « Que toujours résonne en cette demeure la Parole de Dieu ; qu’elle vous révèle le Mystère du Christ et opère votre salut dans l’Eglise ».

Après le Credo, les litanies des Saints tiennent lieu de Prière universelle : l’Église de la terre se joint à l’Église du ciel. Des reliques de martyrs et d’autres saints sont alors scellées dans l’autel, en signe de l’unité du Corps mystique dans le Christ. Suit la grande prière de dédicace, admirable condensé de tout le mystère de l’Église et de la liturgie. Comme pour une confirmation, vient le rite de l’onction des cinq croix de l’autel ainsi que de toute la table d’autel, puis des douze (ou quatre tout au moins) croix de consécration de l’église ; cette onction se fait avec le saint chrême.

On fait alors flamber de l’encens sur l’autel, en signe de la prière qui devra continuer à monter vers Dieu dans cette église, la remplissant de la bonne odeur du Christ (2 Co, 2, 14-16) ; l’on encense l’assemblée, temple vivant dont l’autre est le signe. Des nappes sont mises sur l’autel, manifestant qu’il est la table du sacrifice eucharistique ; on allume des cierges, auprès de l’autel ou sur l’autel, et devant chacune des croix de consécration, puis toutes les lampes possibles, en symbole du Christ qui est la Lumière du monde (Jn 8, 12 ; 9, 5). Le sacrifice eucharistique est finalement le rite essentiel de la dédicace. Après la communion, l’évêque inaugure solennellement la réserve eucharistique : rendu présent par le sacrifice de la messe, le Christ va désormais demeurer parmi les siens.» *

* Tiré du site internet : liturgiecatholique.fr.

  • le 17 octobre 1244 : défaite des chevaliers Croisés à Forbie.
  • le 17 octobre 1260 : consécration de la Cathédrale de Chartres.

L’incendie de 1194 a détruit les trois quarts de la ville. A partir de 1210, et grâce à de nombreux dons, la reconstruction a commencé, et en 1260, la cathédrale est consacrée.

  • le 17 octobre 1404 : élection du pape Innocent VII.
  • le 17 octobre 1534 : affaire des placards.

Dans la nuit du 17 au 18 octobre, des protestants posent, à Paris et à Amboise, jusque sur la porte de la chambre royale, des placards attaquant la conception catholique de l’eucharistie et de la messe.

Voici comment rectifie Jean Guiraud dans Histoire Partiale, Histoire Vraie (Editions Beau-Chesne-Croit, Tome 2 Page 205 et 206)

« Cette confiance [accordée par le Roi François 1er] poussa les protestants à de nouvelles violences. «Fort maladroitement, dit un de leurs amis, M. Lemonnier, ils reprirent l’offensive. Il y avait en effet en France un parti de religionnaires très passionnés qui n’admettaient plus aucune transaction avec le catholicisme. Ils correspondaient avec les exaltés de Strasbourg et de Bâle ; ils accusaient de défection les modérés de France et d’Allemagne ; ils déclaraient n’avoir aucune confiance dans le roi et ils étaient devenus incapables d’écouter un conseil de prudence. Peut-être aussi, quelques-uns voulaient-ils empêcher les tentatives de conciliation entre les deux religions dont le bruit courait toujours ».

Ces fanatiques recommencèrent la série des provocations protestantes. Dans la nuit du 17 au 18 octobre, ils affichèrent à Paris et en province des placards violents contre les catholiques. Ils y traitaient de menteurs et blasphémateurs « le pape et toute sa vermine de cardinaux, d’évêques et de prêtres, de moines et autres cafards, diseurs de messes et tous ceux qui y consentent », et annonçaient « que leur règne serait détruit à jamais ». Les pamphlétaires huguenots prêchaient la destruction du catholicisme et demandaient à François 1er de la proscrire, à l’exemple de princes luthériens de l’Allemagne ses alliés.

En l’eaue, en l’eaue, ces fols sédicieux !

Le roy leur est un peu trop gracieux ;

Que n’a-t-il mis à bas ces sectes folles

En l’eaue ?

Viens voir, viens voir la bête sans raison (l’Église catholique).

Viens tôt la voir avec sa triple crête (tiare)

Non chûte (tombée) encor, mais de tomber bien prête.

Ainsi s’exprimait Marot sur le catholicisme ! De son côté, Calvin, le fondateur du protestantisme français, dédiait à François 1er lui-même l’ouvrage qu’il venait de composer pour combattre la doctrine catholique et définir la doctrine protestante, les Institutions de la religion chrétienne.

Quel but poursuivait le grand réformateur en dédiant au roi très chrétien le manifeste et la confession de la nouvelle religion, et quelle était son intention ? Voulait-il le braver hardiment ? Le ton respectueux de la dédicace ne permet pas de le croire. Les auteurs de la France protestante prétendent que Calvin a voulu répondre aux calomnies dont sa doctrine avait été l’objet de la part des catholiques et dont François 1er s’était fait l’écho dans ses lettres à ses alliés, les princes réformés d’Allemagne. Dans ce cas, Calvin aurait écrit une apologie comme celles que saint Justin et les apologistes chrétiens du IIe et du IIIe siècle adressaient aux empereurs païens. Que Calvin ait poursuivi cet objet, rien de plus naturel ; mais une étude, même superficielle du livre VIII de l’Institution chrétienne nous prouve qu’il avait un dessein encore plus précis.

Dans cette partie de son livre, en effet, il démontre à François 1er que la juridiction ecclésiastique, l’immunité et tous les autres privilèges de l’Église étaient des usurpations et que le roi devait avoir toute autorité sur elle : « Les Empereurs chrétiens, alléguait-il, ont toujours usé, sans contredit de leur puissance sur le clergé ». Et ce qu’il dit de la juridiction du clergé, il le dit aussi de ses terres et de ses principautés. L’Église les a usurpées, disait-il, et elles doivent revenir toutes avec ses biens au roi. Qu’est-ce à dire sinon que Calvin cherchait à éveiller la jalousie du roi contre l’Église catholique et son clergé et sa convoitise de leur puissance et leurs possessions ? D’autre part, il écrit que les rois régnant au nom de Dieu et pour le servir, doivent mettre leur glaive au service de la vérité et de la religion et les faire triompher dans leurs états, à l’exemple des rois d’Israël qui n’hésitaient pas à punir des plus graves châtiments les ennemis de Dieu. Qu’est-ce à dire encore sinon qu’après avoir soumis entièrement le clergé au pouvoir civil, l’avoir séparé de Rome et dépouillé de toute influence et de tous biens, Calvin voulait faire du roi, devenu un adepte de la doctrine qu’il lui prêchait, le bras séculier du protestantisme ?

Calvin prônait donc en France la tactique qui, dans ces mêmes années, réussissait si bien aux protestants d’Angleterre, d’Allemagne et des pays scandinaves. Il voulait lancer le gouvernement royal contre l’Église catholique par l’appât alléchant des richesses du clergé, et après avoir élevé l’absolutisme royal sur les ruines de la puissance ecclésiastique, l’amener à établir, par la rigueur des lois, ce qu’il croyait la vraie doctrine chrétienne, c’est-à-dire le protestantisme. Ce que faisaient en Angleterre Henri VIII ; en Allemagne, les princes des maisons de Saxe, de Brandebourg et de Brunswick ; en Suède et Norvège, les Wasa, Calvin le suggérait, par l’Institution chrétienne, à François 1er.

Cette tactique de Calvin fut suivie par les protestants. Lorsqu’ils refusèrent de prendre part au concile de Trente convoqué pour la réforme de l’Église, ils déclarèrent que cette réforme devait se faire, en dehors du pape et des siens, par le roi. C’est ce qu’ils écrivaient, en 1557, à Henri II : « Le vrai office du roi est de vaquer à la connaissance des différents religieux, comme avaient fait les rois Ezéchias, Josias et autres… Le vrai et seul remède, Sire, est que vous fassiez tenir un saint et libre concile où vous présideriez et non pas le pape et les siens »

Et lorsque, par des colloques comme celui de Poissy, où prélats catholiques et prédicants protestants argumentaient sous la présidence de la société civile, les protestants faisaient de celle-ci l’arbitre des croyances ils essayaient encore de faire proclamer par des lois civiles la destruction de l’Église et l’avènement du protestantisme. C’est encore le but qu’ils poursuivaient lorsque, avec le chancelier de l’Hôpital, leur complice inconscient, ils essayaient de faire imposer par l’autorité politique à la France une doctrine commune chrétienne qui, provenant du pouvoir civil et non plus de l’Église romaine, ne pouvait être que le protestantisme. »

  • le 17 octobre 1610 : sacre du Roi Louis XIII à Reims.

Les évêques de Laon et de Beauvais, accompagnés des chanoines rémois en procession, viennent chercher le jeune Roi dès cinq heures du matin selon la coutume, et le portent, allongé sur un lit de parade, jusqu’à la cathédrale, où le peuple commence à se réunir. Les six pairs laïcs s’avancent : le prince de Condé, le prince de Conti, le comte de Soissons, représentant respectivement les ducs de Bourgogne, de Normandie et d’Aquitaine, ainsi que les ducs de Nevers, d’Elbeuf et d’Epernon, représentant pour leur part les comtes de Flandre, de Champagne et de Toulouse.

Le cardinal de Joyeuse, qui, après avoir accueilli le Roi, présente à l’assistance la Sainte Ampoule. Le Roi se lève pour la “vénérer avec dévotion“, selon Godefroy Hermant, chanoine de Beauvais. Suit le serment du sacre :

“Je vous promets et octroie que je vous conserverai en vos privilèges canoniques comme aussi vos Eglises, et que je vous donnerai de bonnes lois et ferai justice et vous défendrai, ayant Dieu par sa Grâce, selon mon pouvoir, ainsi qu’un Roi en son Royaume doit faire par droit et raison à l’endroit des évêques er de leurs Eglises”.

Je promets au nom de Jésus Christ ces choses aux chrétiens mes sujets. Premièrement, je mettrai peine que le peuple chrétien vive paisiblement avec l’Eglise de Dieu. Outre je tâcherai faire qu’en toutes vocations cessent rapidement et toutes iniquités. Outre je tâcherai à mon pouvoir en bonne foi de chasser de ma juridiction et terres de ma sujétion tous les hérétiques dénoncés par l’Eglise, promettant par serment tout ce qu’il a été dit. Ainsi Dieu m’aide et les Saints Evangiles de Dieu”.

Puis Louis XIII est conduit à l’autel pour recevoir l’onction. Avec une aiguille d’or, le cardinal de Joyeuse prélève un peu de la liqueur de la Sainte Ampoule pour la mêler au saint chrême, l’en oint sept fois, autant que de sacrements, au sommet de la tête, sur l’estomac, entre les épaules, sur chacun des deux bras et à leurs jointures. Dans ses prières, il demande à Dieu “la conservation de la France par le secours de sa grâce”. Le Roi revêt ensuite la tunique, le manteau royal et la dalmatique, reçoit une dernière onction sur les paumes. Le cardinal bénit l’anneau royal qu’il glisse au doigt de “Sa Majesté pour lui faire épouser son royaume”, lui remet le sceptre, marque de sa puissance souveraine, et la verge de justice surmontée d’une main d’ivoire, signe qu’en lui est la source de toute justice.

Ensuite, les pairs du royaume, laïcs et ecclésiastiques, sont convoqués pour assister l’évêque pendant le couronnement. A l’issue, le cardinal, tête nue, s’incline en une profonde révérence et s’exclame : “Vive le Roi! Vive le Roi! Vive éternellement le Roi!” Les pairs font de même, et leurs acclamations se mêlent aux cris de joie de la foule.

Voir les chroniques du 10 février, du 14 mai et du 27 septembre.

  • le 17 octobre 1793 : défaite des Vendéens à Cholet.

Les Vendéens, par un calcul tactique erroné, abandonnent la ville de Cholet, il est vrai plutôt favorable aux idées de la révolution. Ils pensent pouvoir reprendre la ville facilement une fois les républicains revenus.

Le 17 octobre à l’aube, sans attendre la réponse de Charrette, appelé à l’aide, l’armée Catholique et Royale s’ébranle vers Cholet. Elle est forte de 35000 hommes. Sauf Charrette, tous les chefs sont là : d’Elbée. Bonchamps. Stofflet. Marigny. La Rochejaquelein, Royrand. Ils vont affronter 32000 Républicains. Chez eux aussi, sont présents les principaux généraux : Kléber, Chalbos. Muller. Westermann. Marceau, Vimeux. Haxo. L’affrontement, sans doute le plus important de la guerre de Vendée, se déroule dans les landes de la Papinière au nord de Cholet.

Les combats sont si violents que sentant le désastre proche Carrier s’enfuit du champ de bataille ! C’est avec la nuit tombante, que la gauche de l’armée républicaine toujours pas attaquée, s’engage. Les Vendéens se croient attaqués de flanc par des troupes fraiches et sont saisis de panique. Les grands chefs vendéens qui sont là rallient les braves et essaient d’arracher la victoire en se jetant sur les rangs républicains. Bonchamps et d’Elbée sont grièvement blessés. Mais les Royalistes échouent… La Vendée, le dernier rempart de la France chrétienne et capétienne est battue !

  • le 17 octobre  1849 : décès du compositeur Frédéric Chopin, à 39 ans.

Son nom de naissance est Fryderyk Franciszek Chopin, il adopte ses prénoms francisés Frédéric-François lorsqu’il quitte définitivement la Pologne pour Paris. Chopin, qui est tuberculeux, voit sa santé se dégrader, il meurt à Paris, le 17 octobre 1849.

  • le 17 octobre 1893 : décès de Patrice de Mac-Mahon, duc de Magenta, maréchal de France, président français.
  • le 17 octobre  1912 : naissance du pape Jean-Paul Ier.

Albino Luciani naît le 17 octobre 1912 à Canale d’Agordo, dans la province de Belluno, en Italie. Il est élu pape le 26 août 1978, dès le premier jour du conclave ce qui est une surprise. Il prend le nom de Jean-Paul Ier. Son pontificat ne dure que 33 jours et six heures.

  • le 17 octobre  1950 : naissance de Philippe Barbarin, cardinal et archevêque de Lyon.
  • le 17 octobre  1979 : le prix Nobel de la paix est attribué à Mère Teresa.

En 1948, elle obtient du pape l’autorisation de quitter son couvent pour se mettre au service des “plus pauvres parmi les pauvres”. Elle fonde en 1950 la Congrégation des missionnaires de la charité pour s’occuper des enfants abandonnés, leur trouver des parents adoptifs, créer des écoles. Aujourd’hui, 330 communautés constituent son ordre, réparties dans 76 pays.

  • le 17 octobre  1982 : mort du Général Antoine Béthouart.
  • le 17 octobre  1983 : décès de Raymond Aron, philosophe, historien et essayiste.
  • le 17 octobre  1995 : attentat à la bonbonne de gaz, sur la ligne-C du RER entre les stations Musée d’Orsay et Saint-Michel à Paris.

C’est le huitième en peu de temps ; il fait cinq blessés graves.

  • le 17 octobre  2010 : canonisation du frère André, premier saint québécois.

Le pape Benoît XVI procède à la canonisation de l’humble religieux québécois, dont les dons de guérisseur ont fait courir les foules au siècle dernier. Il s’agit du premier homme québécois, né en terre d’Amérique, à être déclaré saint. Marguerite d’Youville, fondatrice des Sœurs grises, avait ouvert la voie en 1990. Environ 60 000 personnes sont rassemblées sur la place saint Pierre.

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