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France : Politique en France

Cafouillage bidon en faveur de Benalla

Cafouillage bidon en faveur de Benalla

Cette affaire montre comment la justice aide Alexandre Benalla, sans doute par fraternelle maçonnique :

Un cafouillage au sein du palais de justice de Paris a conduit à laisser Alexandre Benalla et Vincent Crase dans un box commun, pendant une heure, sans interdiction de communiquer, et cela le jour de leur placement en détention, le 19 février, d’après les informations recueillies par RTL.

Une source proche du dossier qualifie la situation d'”ubuesque” car les deux hommes, interdits de se voir par la justice, étaient justement convoqués pour avoir violé leur contrôle judiciaire en juillet dernier, d’après les enregistrements d’une conversation clandestine diffusée par Mediapart. La présidence du tribunal a opposé un “pas de commentaire” aux questions de RTL.

La scène s’est déroulée au 9e étage du palais de justice vers 14 heures mardi dernier. Alexandre Benalla et Vincent Crase sont alors censés être sous main de justice, c’est-à-dire menottés et détenus, en attendant la décision du juge des libertés sur leur éventuel départ en prison.

Le mail transmettant les consignes des magistrats n’avait pas été envoyé…

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6 commentaires

  1. La décrépitude de cette ripoublique bananière est flagrante !

  2. D’habitude, ce sont les cartouches d’encre du fax qui sont à sec et ne peuvent transmettre les ordres du tribunal ou du procureur. Heureusement, et comme toujours, le hasard fait bien les choses…

  3. Et quand les magistrats vont ils être placés sous mandat de dépôt ?

  4. Quelle déliquescence de nos hommes d’Etat qui ne méritent plus ce nom

  5. Le feuilleton Benalla s’arrêtera au mieux en mai 2022, buzz accaparant les medias, permettant pendant ce temps à Monarc d’achever en toute quiétude son œuvre de destruction

  6. C’est la faute du mail, mais que bien sûr. Parce que, droit positif oblige, il faut un mail pour faire comprendre aux policiers de ne pas laisser ensemble deux personnes ayant violé le contrôle judiciaire.
    La justice organise ce qu’elle est sensée faire condamner.
    C’est un peu schizophrène.
    Une telle incurie à ce niveau est très éclairante.
    Quelles sanctions ?

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