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L'Eglise : Benoît XVI

Benoît XVI aux Invalides : vénérons le sacrement du Corps et du Sang de Notre-Seigneur

I4 A 10h, le Pape Benoît XVI a célébré la Sainte Messe devant plus de 260 000 personnes, réunies essentiellement sur l’esplanade des Invalides, pleine jusuq’au pont Alexandre III, mais aussi place Vauban. Le Premier ministre François Fillon et les ministres de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, de la Justice, Rachida Dati, du logement, Christine Boutin, et de l’Education, Xavier Darcos, ont assisté à la messe, ainsi que Bernadette Chirac.

Pendant la Messe en l’honneur de Saint Jean Chrysostome, Benoît XVI a prêché sur les idoles et la Sainte Messe. Extraits :

I "La première Lettre de saint Paul, adressée aux Corinthiens, nous fait découvrir, en cette année paulinienne qui s’est ouverte le 28 juin dernier, à quel point les conseils donnés par l’Apôtre restent d’actualité. « Fuyez le culte des idoles » (1Co 10, 14), écrit-il à une communauté très marquée par le paganisme et partagée entre l’adhésion à la nouveauté de ‘Évangile et l’observance de vieilles pratiques héritées de ses ancêtres. […] Cet appel à fuir les idoles reste pertinent aujourd’hui. Le monde contemporain ne s’est-il pas créé ses propres idoles? N’a-t-il pas imité, peut-être à son insu, les païens de l’Antiquité, en détournant l’homme de sa fin véritable, du bonheur de vivre éternellement avec Dieu ? […] saint Jean Chrysostome fait remarquer que saint Paul condamne sévèrement l’idolâtrie, qui est une « faute grave », un « scandale », une véritable « peste » […]. Immédiatement, il ajoute que cette condamnation radicale de l’idolâtrie n’est en aucun cas une condamnation de la personne de l’idolâtre. Jamais, dans nos jugements, nous ne devons confondre le péché qui est inacceptable, et le pécheur dont nous ne pouvons pas juger l’état de la conscience et qui, de toute façon, est toujours susceptible de conversion et de pardon. Saint Paul en appelle à la raison de ses lecteurs : « Je vous parle comme à des gens réfléchis : jugez vous-mêmes de ce que je dis » (1 Co 10, 15). Jamais Dieu ne demande à l’homme de faire le sacrifice de sa raison ! Jamais la raison n’entre en contradiction réelle avec la foi ! L’unique Dieu, Père, Fils et Esprit Saint, a créé notre raison et nous donne la foi, en proposant à notre liberté de la recevoir comme un don précieux. C’est le culte des idoles qui détourne l’homme de cette perspective, et la raison elle-même peut se forger des idoles. […]

I1 Mais comment parvenir à Dieu ? Comment parvenir à trouver ou retrouver Celui que l’homme cherche au plus profond de lui-même, tout en l’oubliant si souvent ? Saint Paul nous demande de faire usage non seulement de notre raison, mais surtout de notre foi pour le découvrir. Or, que nous dit la foi? Le pain que nous rompons est communion au Corps du Christ; la coupe d’action de grâce que nous bénissons est communion au Sang du Christ. Révélation extraordinaire, qui nous vient du Christ et qui nous est transmise par les Apôtres et par toute l’Église depuis deux millénaires : le Christ a institué le sacrement de l’Eucharistie au soir du Jeudi Saint. Il a voulu que son sacrifice soit de nouveau présenté, de manière non sanglante, chaque fois qu’un prêtre redit les paroles de la consécration sur le pain et le vin. Des millions de fois, depuis deux mille ans, dans la plus humble des chapelles comme dans la plus grandiose des basiliques ou des cathédrales, le Seigneur ressuscité s’est donné à son peuple, devenant ainsi, selon la formule de saint Augustin, « plus intime à nous-mêmes que nous mêmes» (cf. Confessions III, 6. 11).

I5 Frères et soeurs, entourons de la plus grande vénération le sacrement du Corps et du Sang du Seigneur, le Très Saint-Sacrement de la présence réelle du Seigneur à son Église et à toute l’humanité. Ne négligeons rien pour lui manifester notre respect et notre amour ! Donnons-lui les plus grandes marques d’honneur ! Par nos paroles, nos silences et nos gestes, n’acceptons jamais de laisser s’affadir en nous et autour de nous la foi dans le Christ ressuscité présent dans l’Eucharistie ! […]

I2 La Messe est le sacrifice d’action de grâce par excellence, celui qui nous permet d’unir notre propre action de grâce à celle du Sauveur, le Fils éternel du Père. En elle-même, la Messe nous invite aussi à fuir les idoles, car, saint Paul insiste, « vous ne pouvez pas en même temps prendre part à la table du Seigneur et à celle des esprits mauvais » (1 Co 10, 21). […] Élever la coupe du salut et invoquer le nom du Seigneur, n’est-ce pas précisément le meilleur moyen de « fuir les idoles », comme nous le demande saint Paul ? Chaque fois qu’une Messe est célébrée, chaque fois que le Christ se rend sacramentellement présent dans son Église, c’est l’oeuvre de notre salut qui s’accomplit. […]

I3 Or, chers frères et soeurs, qui peut élever la coupe du salut et invoquer le nom du Seigneur au nom du peuple de Dieu tout entier, sinon le prêtre ordonné dans ce but par l’Évêque ? Ici, chers fidèles de Paris et de la région parisienne, mais aussi vous tous qui êtes venus de la France entière et d’autres pays limitrophes, permettez-moi de lancer un appel confiant en la foi et en la générosité des jeunes qui se posent la question de la vocation religieuse ou sacerdotale : n’ayez pas peur ! N’ayez pas peur de donner votre vie au Christ ! Rien ne remplacera jamais le ministère des prêtres au coeur de l’Église ! Rien ne remplacera jamais une Messe pour le Salut du monde !"

MJ

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19 commentaires

  1. Tous les textes sont des merveilles et des grâces pour notre vie chrétienne.
    Deo Gratias et Merci à notre St Père.

  2. Un très beau, un très grand moment avec le Saint Père.
    Nous étions très nombreux, mais l’assitance était recueillie, fervente. Sans doute les chix liturgiques et musicaux n’y étaient-ils pas étrangers.
    Si seulement nos évêques de France pouvaient comprendre, enfin, quelle est la voie qu’ils doivent suivre. Elle est pourant claire, tracée par le Papa lui-même. Qu’est-ce qu’ils attendent encore ???

  3. Merci pour cette reproduction des propos du StPère pour ceux qui comme moi n’ont pu être sur les invalides.
    Il a encore un discours d’une très grande clarté.
    @sixtine,
    je ne crois pas que ce soit le moment d’attaquer nos évèques. Je suis toujours étonné de la facilité avec laquelle certains membres de la “ommunauté” raditionnaliste (dont je fais parti) trouvent toutes les bonnes raisons d’attaqur nos évèques.
    Oui il y a certainement des raisons localement de se plaindre d’une mauvaise réception des textes romains, mais ne généralisons pas. Continuons à prier pour eux. Et sachons nous aussi nous remettre en cause.
    J’ai pu aller aux journées chouannes la semaine dernière et j’ai écouté avec beaucoup d’attention le sermon de l’abbé Cotard, qui nous a dit que le combat pour la liturgie était certes un bon combat (on peut parfois discuter les méthodes, mais je le rejoins), et il nous a dit que le combat prioritaire aujourd’hui était celui de la foi, et je crois qu’il rejoint en cela le pape qui nous invite au à la vénération du Corps et du Sang du Christ.
    Cessons donc ces attaques acides contre l’épicopat. Ayons une démarche positive qui permette de faire avancer les choses pour aller vers l’essentiel: l’établissement du Règne du Christ. Je l’ai souvent écris ici, mais je pense que nous nous devons d’encourager ceux des évèques qui prennent des positions courageuses, plutôt que de chaque foi les tacler quant ils dérapent.
    Et si nous pouvons relever des dérapages, faisons le avec charité.

  4. autant pour moi : veuillez excuser mes horribles fautes de frappe , dues à l’émotion.
    Je parle, bien sûr des CHOIX LITURGIQUES. Merci au Saint Père qui nous a fait vivre un très beau temps de prière et de communion.
    Que cela nous encourage à prier sans relâche pour notre pays. Rien n’est perdu, quand on voit la vitalité de ces fidèles, levés tôt, ou qui ont dormi sur place, ou encore dans des cars venus de loin. Oui, l’Eglise est bien vivante, elle est joyeuse et tonique. DEO GRATIAS !

  5. Tout le monde aura remarqué qu’il n’est pas prévu que le Pape dise “ne nous soumets pas à la tentation” car tous les fois où le Pape doit dire l’Oraison Dominicale, il la dira en latin “Pater Noster” …

  6. Le Saint-Père nous connaît si bien qu’il avait prévu que les commentateurs de la TV expliqueraient aux nuls que la Messe était simplement une “commémoration” et ensuite que l’épître de St Paul était “trop dure. Une autre aurait dû être choisie qui aurait mieux passé”.
    Sa Sainteté a donc remis les pendules à l’heure, connaissant à l’avance nos manies…
    Si des experts de la TV ne savent pas ce qu’est une Messe mais néanmoins veulent l’expliquer, ni que les lectures ne se choisissent pas au cas par cas pour passer, ne nous étonnons pas que le Cardinal Vingt-Trois répète les vieilles scies des médias sur l’immigration et le “développement durable”.
    Nous avons aussi été abreuvés du mariage des prêtres et de la rigidité de l’Eglise. Plein d’espoir, le commentateur attend le prochain pape !
    Mais ces vieilles lunes s’estompent devant les lumineuses paroles de notre Pape.

  7. Merci au saint Père de son aide, de son encouragement, de sa douceur, et de sa fidélité à l’Eglise ; quel exemple ! J’ai l’impression que le “monde”, commence à le découvrir (au bout de tant de décennies….), jamais trop tard !
    merci au SB d’avoir vite fait, comme d’habitude, pour bien retransmttre le message

  8. Je n’aime pas beaucoup non plus le “ne nous soumets pas à la tentation”. mMis en tant que latiniste je suis obligée de dire que “et ne nos inducas…” n’est pas si mal traduit que ça.
    De toute manière le Pape a déjà certainement dit cette formule, ne serait-ce que dans sa grande bonté. Sans parler de tant d’autres textes importants si mal traduits de l’hébreu.

  9. @ Jacques
    Il ne faut pas confondre bonté et bonasserie.
    Nous avons le devoir de reprendre nos évêques quand ils s’éloignent de Rome et de la Tradition catholique, ce qui n’a rien à voir avec le traditionnalisme, mais simplement le contenu de la Foi.

  10. Comme pas mal de membres de ce salon, j’étais également aujourd’hui sur l’esplanade des Invalides.
    Je crois pouvoir dire que c’est l plus belle cérémonie liturgique à laquelle il m’ait été donné d’assister !
    Chants latins absolument splendides ; homélie du Pape d’une grande profondeur ; foule profondément recueillie (cf. le silence imposant après la proclamation de l’Evangile). Et une foule impressionnante, puisque l’Esplanade était bondée !
    Comme Sixtine, je souhaite ardemment que l’Eglise de France prenne enfin conscience du besoin spirituel des fidèles et impose une liturgie digne (qu’il s’agisse de la forme ordinaire ou extraordinaire ; tant en latin qu’en français) afin d’honorer Dieu comme il se doit.
    J’ai également appris que le district parisien de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X avait décidé d’arborer les drapeaux aux couleurs du Vatican à l’occasion de la visite de notre Saint-Père. Je leur dit merci !
    Bref, je suis absolument ravi ! Vive le Pape !

  11. @Pascal G
    tout à fait d’accord avec vous et c’est le sens de ma drnière phrase c’est pour ca que j’ai utilisé le terme de Charité

  12. Pascal G et Sixtine :
    Non, vous n’avez pas à reprendre vos évêques car ce n’est pas à vous de juger s’ils s’éloignent de Rome. Ils sont mieux formés que vous et ils sont conduits par le Saint Esprit. Ils ont reçu un sacrement que vous n’avez pas reçu, et les grâces qui vont avec.
    Demandez-vous plutôt si quelque chose ne vous a pas échappé à vous, et de toute manière tournez votre langue plus de sept fois dans votre bouche avant d’intervenir.
    Je suis de l’avis de Jacques.

  13. A Martine,
    Comment approuver un Evêque qui contredit le Pape ?
    Souvenez-vous de Monseigneur Emmanuel Milingo. Vous savez, c’est cet espèce d’Evêque excentrique, exorciste et crooneur à ses heures perdues, membre de la secte Moon et qui a épousé sa concubine d’origine asiatique âgée de 40 ans son cadet.
    Jean-Paul II – pour le coup – ne s’est pas montré très réactif pour l’excommunier. Pour ma part, je n’ai pas attendu l’excommunication de Milingo pour me permettre de critiquer cet individu farfelu (et peut-être même complètement fou).
    J’attends des Evêques qu’ils soient saints. Si ces gens agissent en purs opportunistes, en mécréants, en faussaires ou en imposteurs, le laïc a parfaitement le droit d’en informer Rome, afin que des mesures disciplinaires soient prises ! Ou alors, on peut d’emblée réhabiliter l’infâme Evêque Cauchon.
    Peut-on respecter un Evêque qui refuse le sacrement de baptême au motif que le catéchumène est militant du Front National (Rouet) ?
    Peut-on respecter un Evêque qui fait l’apologie de la sexualité hors-mariage, contredit sempliternellement le discours de l’Eglise, et remet en cause la divinité du Christ et la validité des sacrements(Gaillot) ?
    Peut-on respecter un Evêque qui déclare que les électeurs du Front National sont “irrécupérables” ? (Beranger)
    Peut-on respecter un Evêque qui fiche à la porte un curé au motif qu’il a osé célébré la messe en latin une fois par mois ?
    Et face à toutes ces dérives de petit potentat, vous voudriez que le fidèle la boucle ? Je le dis : moi jamais !
    Je ne reconnais que l’autorité du Vicaire du Christ. Les Evêques ont à suivre docilement et filialement les enseignements du Saint-Père et de l’Eglise. Certains Evêques ont hélàs le fâcheux défaut de se considérer comme le Pape au sein de leur diocèse. Ce ne doit pas être le cas.
    Pour finir, j’ai appris aujourd’hui que l’Evêque communiste de Saint Denis : Monseigneur Olivier de Beranger quittera ses fonctions en septembre prochain (soit 5 ans avant l’échéance normale). Le visage de l’Eglise de France change ; et c’est tant mieux ! Certains Evêques dans les années 80/90 ont fait beaucoup trop de mal à l’Eglise pour qu’il leur soit permis une quelconque indulgence.

  14. Martine a raison si elle veut dire qu’on ne doit juger son pasteur qu’avec discernement.
    Mais quand un fidèle voit certains évêques persécuter des prêtres qui sont de vrais saints au motif qu’il leur arrive de porter la soutaine(commé l’abbé Blin et tant d’autres dans beaucoup de diocèses)ou tenir des propos odieux à l’égard des catholiques attachés à la tradition, tout en tressant des couronnes aux ennemis de l’église, le même discernement ne lui impose-t-il pas de voir quels sont les vrais pasteurs et, sans envenimer les conflits existants, d’orienter son zèle, son apostolat et sa charité vers les oeuvres qui lui semblent les plus conformes à la doctrine catholique ?

  15. A Furgole,
    Ainsi donc – si je suis votre pensée – vous me conseilleriez de renoncer à aller à la messe dans les églises qui sont davantage des lieux de perdition que de rédemption. Aussi, il ne faut donc pas s’étonner que les églises se vident ou que des fidèles – agacés par les libertés que s’octroient certains prêtres ou Evêques – se retournent vers des communautés qui honorent le sacré et la liturgie (entre autres la FSSPX) au risque de prendre leurs distances avec l’Eglise de France, et à terme de rompre avec Rome.
    Avec une telle stratégie, on en vient à purger l’Eglise de ses éléments les plus saints et audacieux pour n’en garder que la lie (le mot est peut-être un peu fort). Bref, on crétinise le bon peuple chrétien et l’on détruit l’Eglise de l’intérieur avec le soutien actif de groupes de pression (tels “Nous sommes l’Eglise”, “Golias”, “Témoignage Chrétien” ; dont certains recevaient dans les années 80/90 l’appui d’Evêques français [inutile de donner des noms]) et dont l’objectif est d’éradiquer la Foi, la doctrine et la liturgie de l’Eglise Catholique.
    Ne laissons pas l’Eglise de France succomber à cette destruction. Réagissons et soutenons docilement les clercs fidèles à Rome, et finissons-en de ce gallicanisme séculaire qui n’en finit pas d’asphyxier l’Eglise de France.
    – Pas d’indulgence à l’égard d’Evêques qui sabordent l’autorité papale.
    – Pas d’indulgence à l’égard d’Evêques qui dont passer par pertes et profits des siècles de tradition.
    – Pas d’indulgence à l’égard d’Evêques qui transforment leur église en tribune politique.
    Les fumées de Satan ont infiltré l’Eglise ; il faut à présent les dissiper.

  16. Je vous abandonne volontiers certains des évêques que vous nommez. Prions pour eux et parlons d’eux cependant avec respect en souvenir de leur baptême et de leur ordination.
    Je critique le fait que certains généralisent. Certains vont même jusqu’à faire des pétitions pour que leurs évêques respectent la liturgie de Vatican II, que selon eux ils ne respecteraient pas. Là je ne suis pas d’accord et je pense que c’est pour ces personnes là que Benoît XVI dit que le péché entraîne une méfiance qui empêche certains d’écouter leurs frères, de les suivre.
    Ne soyons pas des pharisiens. Chacun fait de son mieux, on ne fait pas un concours à qui sera le meilleur.

  17. A Martine,
    Alors dans ce cas, nous sommes d’accord…
    Mon seul souhait est d’avoir un Episcopat solidement uni au Siège Apostolique. Force a été de constater que pendant des décennies, cela n’était pas le cas (cela ne l’est d’ailleurs peut-être toujours pas). Quoiqu’il en soit, je constate qu’il y a de plus en plus d’Evêques courageux qui n’ont pas peur d’affirmer les principes moraux et les valeurs promues par l’Eglise et le Pape. Ils sont hélas encore trop peu nombreux à mes yeux. Mais c’est mieux que la situation atristante dans laquelle se trouvait l’Eglise de France dix ans auparavant…
    (Dommage cependant que ma réponse à Furgole n’ait pas été publiée…)

  18. @Martine
    Les pétitions ne sont pas des moyens dignes de fils de l’Eglise, c’est une chose certaine. (sauf exception rarissime, évidemment) Mais ce n’est pas une raison pour nier la réalité à savoir qu’il n’y a qu’une infime minorité d’Eveques francais qui aujourd’hui célébrent et promeuvent la célébration de la Liturgie telle que les directives actuellement en vigueur (forme ordinaire) le demandent. Et meme qu’il y en a une majorité qui éliminent, placardisent ou persécutent les rares prêtres qui sont entièrement fidèles aux prescriptions actuelles.

  19. Le dicton francais dit que:
    “l’habit ne fait pas le moine”
    alors que le dicton allemand dit que:
    “l’habit fait le moine”.
    Lors du dernier voyage du Pape en Autriche, le Saint Pere a demande a l’abbaye de Heiligenkreuz la raison pour laquelle cette abbaye avait de nombreuses vocations.
    La reponse a ete celle-ci:
    “nous portons l’habit, nous prions le Rosaire et nous vous defendons,Saint Pere”

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