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France : L'Islam en France

Bataille rangée entre musulmans d’origine sahraouie et musulmans d’origine marocaine

En Gironde :

"Mercredi soir, vers 21 heures, dans le quartier de la gare à Pauillac [33], les riverains ont pu être témoins d'une véritable bataille rangée qui aura duré une bonne heure et opposé une soixantaine de personnes.
Pavés et cailloux ont volé dans tous les sens… Et sans l'arrivée en
nombre des gendarmes, plus de quarante militaires, l'affaire aurait sans
doute pu très mal se terminer. Les forces de l'ordre n'ont « relevé »
que trois blessés légers. Le « trouble » aurait pour origine un
différent survenu dans l'enceinte de la salle de prière où se
rassemblent les musulmans de la ville.

[…] la bagarre a
opposé des travailleurs espagnols d'origine sahraouie (du Sahara occidental) aux adhérents de l'Association locale des musulmans qui gère le lieu de prière. Il s'agit d'une petite maison faisant office de mosquée et située juste en face de la gare. Selon le maire, « la provocation viendrait des Sahraouis dans ou aux
abords du lieu de culte
». Il explique aussi l'affrontement par « une
main-d'œuvre clandestine
». Ces mêmes travailleurs espagnols, « très
précaires
», et que des sociétés de prestation de travaux viticoles «
font travailler à des tarifs très bas dans les châteaux
». Pour l'édile, cette concurrence déloyale n'aurait pas contribué à
apaiser un climat qui se tend depuis plusieurs mois à Pauillac. […]

Au sein de l'association des musulmans de Pauillac, qui compte un grand
nombre de Français d'origine marocaine
, un adhérent, contacté hier par «
Sud Ouest », parle d'un « manque de respect » qui a tout déclenché. […]

« Les Sahraouis venus d'Espagne sont arrivés au mois de janvier. Comme
nous, ce sont des musulmans.
Il était donc normal de leur ouvrir les
portes de la salle de prière. Et puis un jour, l'un d'entre -eux est
rentré avec un drapeau du Sahraoui. Par la suite, ils ont continué à
provoquer nos parents et les personnes âgées qui fréquentent la salle.
Des coups ont été échangés. Lorsqu'on a voulu aller les voir dans leur
squat et pour leur demander d'arrêter, nous avons été caillassés ! »,
raconte t-il.

[…] Du côté des travailleurs sahraouis, le son de cloche n'est évidemment
pas le même. Ely Abderrahmane Ould Chouaib, leur représentant, affiche
un passeport mauritanien et un titre de séjour espagnol
. Et s'il admet
être entré une fois dans la salle de prière avec un tee-shirt flanqué de
« Sahara Occidental libre », il assure que « ce n'était pas pour provoquer ».
Pour lui, « il était simplement question de venir prier dans la maison
d'Allah et pas de faire de la politique
». […] le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant
les indépendantistes sahraouis au Maroc qui revendique sa souveraineté
sur l'ensemble du territoire."

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13 commentaires

  1. “- Un bataille rangée entre sikhs et hindous a dégénéré après l’irruption de musulmans d’origine indienne. Des bouddhistes du Sri Lanka ont alors prêté main forte aux premiers contre les deuxièmes, avant que des taoïstes chinois ne viennent appuyer les seconds contre les troisièmes, eux-mêmes soutenus par les animistes africains.
    Puis la police est intervenue pour rétablir l’ordre, sous la direction du commandant Martin.
    – Martin !?
    – Oui, c’était un nom des gens originaires du coin. Tu n’as pas connu les autochtones, tu ne peux pas savoir…”

  2. Qu’ils y retournent dans leur Sahara et qu’ils nous f….la paix !
    Que font-ils en France avec un passeport étranger ???? On a assez de nos chômeurs et de nos délinquants…importés !

  3. il fût un temps ou ces luttes tribales étaient parfaitement gérées par les officiers des affaires indigènes sans la moindre effusion de sang et chez les protagonistes eux-mêmes !

  4. R.A.T.P. dans les faits !

  5. Et nous quand le joueur de l’équipe de France arbore un T-shirt aux couleurs de l’algérie ,on ne dit rien et pourtant on n’est pas adepte de cette religion d’amour.
    Les sarahouis ne font rien d’autre qu’imiter ceux des français qui arborent un drapeau algérien ou marocain dans les mairies françaises.

  6. Pour être passé ce matin à Pauillac, j’habite à 15 mn de cette ville, je peux dire que l’article de Sud Ouest n’a rien d’exagéré ou de dramatisant (ce qui ne nous étonne pas de la part de Sud Ouest, journal de gauche s’il en est…) : la ville est en état de siège, des barrages de gendarmerie ont été mis en place, plusieurs pare brises et vitrines sont brisés, on voit des traces de sangs, il y a peu de monde dans la rue, les gens ont peur et restent chez eux !
    Le problème n’est pas nouveau dans cette ville où le front national fait les meilleurs scores de tout le médoc !
    PS : Voici l’épisode 2
    http://www.sudouest.fr/2012/10/05/pauillac-de-nouveaux-affrontements-entre-les-travailleurs-saisonniers-841106-3.php#xtor=RSS-10521769

  7. On peut relever qu’une fois de plus la presse officielle se tait.
    Je n’ai entendu ni lu aucune information concernant ces faits dans la presse nationale “la voix de son maître”.
    Comme d’habitude, on met la poussière sous le tapis. Elle est en train de ressortir la poussière, tellement il y en a.
    Quoique, tant qu’ils se battent entre eux…

  8. S’ils ont un titre de séjour espagnol, ces sahraouie doivent être réadmis en Espagne. Ils ne disposent d’aucun droit au séjour en France.
    La loi doit être appliquée. Garde à vue pour violences en réunion, troubles de l’ordre public, ou autre, placement en centre de rétention, demande de réadmission aux autorités espagnoles, lesquelles ne peuvent pas refuser.(accords de Dublin).
    Retour du problème à l’envoyeur. On a déjà assez de nos 200 000 clandestins qui entrent en France chaque année.
    107 clandestins sur les quais, combien “dans la nature” ????

  9. M’enfin quelle idée ! Pourquoi les a-t-on séparés ?

  10. Notez que les vendangeurs de nos Châteaux (vins de Bordeaux que le monde entier nous envie) sont donc des musulmans qui ne boivent pas de vin ! N’y-at’il donc pas de jeunes Français pour effectuer ce noble travail si mal payé ?

  11. Il y a tout un ensemble de choses:
    – la concurrence sur le marché du travail d’autant plus forte que la crise est de plus en plus grave tant en Espagne qu’en France
    – des “Néo-Français” ou travailleurs étrangers là depuis un certain temps qui ne veulent pas que d’autres les remplacent, défense du territoire (action d’ailleurs refusée aux Français de souche). Ce sont désormais les “néo-Français” qui vont la police et défendent “leur” territoire eux-mêmes, cf à Marseille contre les gitans) et maintenant dans le Médoc!!!!
    – la rivalité nationale non pas par rapport à la France mais par rapport à l’ex Sahara espagnol – cf la marche verte 1975 organisé par le Maroc qui a mis femmes et enfants devant pour franchir la frontière avec le Sahara espagnol et prendre (ou reprendre selon les avis) cette large zone sous domination espagnole. Et rien ne dit que les uns aient eu plus de responsabilité que les autres dans la bagarre généralisée…
    Mais il y aura bien d’autres affaires de ce genre, puisque la France est la terre de tous, pourquoi les antagonismes de tous les pays ne s’y retrouveraient ils pas?
    Bien vu @ Marc!

  12. Ça commence à déborder le chien écrasé local:
    http://www.leparisien.fr/bordeaux-33000/gironde-deuxieme-soir-de-violence-a-pauillac-des-saisonniers-sahraouis-deplaces-05-10-2012-2207371.php
    http://aquitaine.france3.fr/2012/10/05/les-hommes-de-la-communaute-sahraouie-vont-s-installer-montalivet-117217.html
    courte vidéo: on essaie de minimiser la situation avec la langue de cep de rigueur
    “Le maire PS de la ville, Sébastien Hournau, avance une explication économique : la précarisation du territoire”
    Épisode 3: “Tout le monde se méfiait du plombier polonais, personne n’avait vu venir le vendangeur sahraoui” (http://www.sudouest.fr/2012/10/06/guerre-des-vignes-a-pauillac-841829-713.php)

  13. Pauillac (Gironde) : population, dont des franco-marocains, mettent hors de leur ville des séparatistes sahraouis
    Un évènement invraisemblable s’est déroulée pour la première fois sur le territoire national français les 03 et 04 octobre 2012 à Pauillac, une ville de réputation mondiale pour ses vignobles, située à une cinquantaine de kms au Nord de Bordeaux.
    En effet, durant deux nuits des Français d’origine marocaine et une centaine d’ouvriers viticoles espagnols, séparatistes sahraouis d’origine, se sont affrontés à Pauillac.
    Il est utile de rappeler qu’un nombre important de sahraouis séparatistes, du polisario, sont venus d’Espagne au mois de janvier 2012 dans la région pour s’y installer, pour la plupart dans des squats et en qualité de vendangeurs.
    Une arrivée en masse dans la région qui s’explique par le manque de travail en Espagne, où la situation est critique tant du point de vue économique mais aussi politique avec la fin des aides financières aux représentations séparatistes sahraouies et la position de l’Espagne sur la question du Sahara marocain.
    C’est ainsi, qu’ayant constaté la présence d’une importante communauté d’origine marocaine, fière de ses origines et fortement patriotique, ils ont opté pour la provocation en brandissant de temps à autre des drapeaux sahraouis et à titiller les marocains et les personnes âgées qui fréquentent la salle de prière.
    La déflagration a été déclenchée, selon la déclaration du Maire et des témoins, par un séparatiste lorsqu’il s’est présenté vêtu d’un tee-shirt tagué « sahara libre » provoquant ainsi des batailles rangées et des chasse à l’homme dans la ville de Pauillac, notamment sur les quais deux nuits durant.
    Selon des témoins, des barres de fer, des sabres, des battes de base-ball et des fusils ont été vus. Des coups de feu ont également été entendus.
    Outre l’escadron de gendarmerie mobile, le PSIG de Mérignac, la brigade cynophile, un hélicoptère d’appui et tous les personnels disponibles de la compagnie de Lesparre, ont été mobilisés pour ramener le calme.
    Le bilan de ces violences s’établit à d’importants dégâts matériels, des voitures dégradées, des appartements vidés et deux blessés sérieusement
    Pour mettre un terme à ces violences et ramener la quiétude à Pauillac, une ville réputée calme, les travailleurs sahraouis séparatistes ont été regroupés par sécurité sur les quais, sous la supervision de la gendarmerie pour être conduits vers Montalivet, une station balnéaires du Médoc et ce, sous haute surveillance de la gendarmerie française, le temps d’être transférés vers l’Espagne.
    A noter que l’arrivée massive dans le Sud-Ouest de France de séparatistes sahraouis ayant la nationalité espagnole s’explique par l’installation au préalable d’éléments du polisario dans cette région avec pour objectif d’accueillir un grand nombre d’entre eux venus d’Espagne.
    A cet effet, ils se sont convertis en agents recruteurs de main-d’œuvre en créant des sociétés de prestation de services et tissant des liens avec les viticulteurs, agriculteurs et agences d’emploi.
    Le représentant de cette nouvelle forme d’esclavagisme n’est autre qu’Ely Abderrahmane Ould Chouaib, qui affiche allègrement son passeport mauritanien ainsi que son titre de séjour espagnol.
    Un personnage qui revendique « son militantisme de révolutionnaire pour un Sahara Occidental libre » et son appartenance au mouvement indépendantiste du Front Polisario et qui affirme que « ses amis (du polisario) se tiendront tranquilles (en France), sauf si nous sommes menacés ».
    Une déclaration de guerre en quelque sorte.
    La France serait-elle ainsi, à travers cette nouvelle forme d’immigration légale, face à une nouvelle menace terroriste quand on connait les accointances révélées et avérées entre le polisario et AQMI ?
    Farid Mnebhi.

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