Partager cet article

Europe : politique

Barroso : la Grèce peut sortir de la zone euro

José Manuel Barroso a déclaré :

"J’ai beaucoup de respect pour la démocratie grecque et le Parlement grec, mais je dois aussi respecter les 16 autres Parlements nationaux de la zone euro qui ont approuvé le plan d'aide à la Grèce. Tout le monde doit respecter les accords. C'est comme dans un club. Je ne veux pas parler d'un pays spécifique mais si un pays ne respecte pas les règles, mieux vaut qu'il parte."

Une fois que les mesures socialistes auront (encore plus) ruiné la France, pourrons-nous aussi quitter la zone euro ?

Partager cet article

6 commentaires

  1. Réponse à la question:Oui, le plus tôt sera le mieux, on n’aurait jamais dû y entrer comme nous le recommandaient à l’époque Maurice Allais Prix Nobel, Alain Cotta et plusieurs autres économistes éminents. Mais nos gouvernants ont préféré l’incantation à la réflexion. Croyez-vous que cela a beaucoup changé depuis?

  2. C’est curieux mais, il y a quelques mois, tout le monde savait que:
    -D.S.K. serait le prochain président de la république française
    -la France ne pouvait pas perdre son triple A
    -toute sortie de l’euro était impossible.
    À l’impossible, nul n’est tenu?

  3. La sortie de l’euro serait le plus beau des cadeaux pour les pays européens. Puisse la Grèce ouvrir le bal de la renaissance.

  4. Enfin une bonne nouvelle…
    Serait-ce un mal pour un bien ?

  5. Bravo ! Partons tout de suite !

  6. Merveilleux Barroso!
    Il fait un constat clair ce cher homme, poussé par la nécessité de la réalité politique partout constatée.
    Mais il pose évidemment la question à l’envers parce que cela l’arrange, ou plutôt parce que cela arrange ses “commenditaires” de la haute finance internationale (aujourd’hui résidant principalement aux USA).
    Car la vrai question est bien: quel pays voudrait vraiment aujourd’hui continuer à rester assujetti aux règles édictées par Bruxelles, s’il pouvait “faire autrement”?
    Parce qu’en dehors des financiers précités – pour qui l’euro est la meilleure garentie contre les fluctuations monétaires qui réservaient parfois des surprises dans les échanges internationnaux – aucun pays n’y trouve avantage pour sa propre économie où la dévaluation “maîtrisée” a historiquement toujours eu un rôle moteur dans la relance de l’économie intérieure.
    [Il y a plus de dix ans j’avais fait là dessus une tribune libre dans Présent, et un article sur le franc dans le Libre Journal à ce sujet]
    Le seul état, moteur de l’euro, qui y reste viscéralement attaché, est l’Allemagne qui conserve très présent le souvenir de l’effroyable inflation, dont fut le théâtre la république de Weimar, directement liée aux ineptes clauses du Traité de Versailles: le fameux “L’Allemagne payera” si cher à Clémenceau…
    Il est évident que le niveau de développement de l’économie – comparable chez les 6 pays fondateurs de l’Europe – n’est pas identique dans les pays de l’Europe du sud ou dans les pays de l’ex Europe de l’est…
    Et l’euro ne peut fonctionner sainement que si ces économies sont à un niveau comparable de développement
    Donc à moins de faire proprement “subventionner” l’économie des pays “pauvres” par les pays “riches” cela ne peut pas fonctionner à terme.
    Et nous y sommes! Car le transfert de technologie, qui a alimenté l’économie des pays développés depuis quarante ans, conduit aujourd’hui à un déplacement de la dynamique économique vers l’Asie orientale.
    Les pays “riches” européens n’ont plus aujourd’hui les moyens de continuer à subventionner grâce à leur propre activité l’économie des pays “pauvres”…
    L’exemple grec fait fonction d’abcès de fixation…
    Personne n’a plus intérêt se à voir rester dans la zone euro…sauf les alliés de la zone dollar bien malade d’une masse monétaire qui n’est plus maîtrisée par la FED à cause des échanges internationnaux!
    Et Barroso le sait fort bien!
    cos

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services