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France : Politique en France / Valeurs chrétiennes : Education

Laurent Wetzel : Blanquer, une imposture ?

Ancien inspecteur d'académie et spécialiste de l'Education nationale, Laurent Wetzel démontre les failles, textes à l'appui, du ministre Jean-Michel Blanquer. Pour l'invité de TV Libertés, le ministre d'Emmanuel Macron ne mérite pas les lauriers que lui tresse la quasi totalité de la droite française.

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4 commentaires

  1. la méthode globale aurait disparu?
    peut-être, remplacée par des méthodes semi-globales mais certainement pas syllabiques.
    La méthode Boscher est une des meilleurs ventes sur le sujets par des parents qui essaient de palier aux manquements des instituteurs!
    qui faut-il croire les parents ou les inspecteurs?
    de jeunes professeurs appliquant des méthodes sont mal notés pourquoi?

  2. Merci pour cette video très intéressante, qui aide bien à faire percevoir la réalité de l’imposture.
    Une chose que la video met notamment bien en valeur est le côté girouette, en fait opportuniste, du ministre, qui ne craint pas de dire successivement une chose et son contraire, comme on l’a vu notamment au travers de ses jugements opposés portés, selon les moments, sur l’efficacité des dédoublements de classes.
    Plus généralement, toutes les réserves et les critiques émises par M Wetzel vis-à-vis de l’action réelle du ministre sont parfaitement justifiées. Si elles péchaient par quelque chose, ce ne serait sûrement pas par l’excès, mais plutôt, à mes yeux, par trop de modération.
    Ainsi, par exemple, à propos du latin, pourrait être davantage souligné le caractère mensonger des discours du ministre donnant à penser que le latin aurait été quasiment supprimé par madame Vallaud Belkacem et rétabli par lui, ce qui est doublement faux. D’une part, le latin avait été diminué, certes, mais non supprimé. D’autre part, M. Blanquer n’a nullement rétabli l’état d’avant madame Belkacem, autrement dit il garde une bonne part de la détérioration apportée par celle-ci. Ainsi, en cinquième, l’abaissement hebdomadaire de deux heures à une heure, qui change beaucoup car cela ne permet plus un véritable démarrage, demeure.Et quant au retour de deux à trois heures théoriquement rendu possible pour la quatrième et la troisième, il est le plus souvent virtuel, car il est tributaire d’arbitrages à rendre localement de manière plus qu’aléatoire, sans bénéficier du moindre appui du ministre. Dans les faits, on en reste le plus souvent à deux heures.
    J’ajoute qu’on a un peu l’impression frustrante que le journaliste qui conduit l’intrerview conserve une pointe de scepticisme vis-à-vis des propos de M. Wetzel (mais c’est peut-être une fausse impression, née de ce que le journaliste veut d’autant mieux, par là, mettre en valeur le point de vue différent de M. Wetzel), comme si ces propos étaient excessifs, alors justement que, comme on vient de le voir, ils sont, parfaitement justifiés, et même plutôt encore en-deça de la réalité.
    Mais cela reste une vidéo très intéressante comme contribution pour ouvrir progressivement les yeux sur l’imposture.

  3. Ne jamais faire confiance à un politicien, surtout quand il est En Marche.

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