Attentisme et démagogie pour la fin du quinquennat

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4 commentaires

1. 

   F. JACQUEL 27 mai 2020, 7 h 02 min

   Pendant les deux ans, à peine, qui nous séparent des présidentielles, on peut parier sur le leitmotiv suivant dans la bouche de JUPITER et de ses séides : “Nous voulions le faire, mais la Covid-19 et le confinement nous en ont empêchés !”
   Et, pour reprendre le célèbre regret du Kaiser Wilhelm II, gravé sur la grille de la cheminée du Haut-Koenigsbourg, “nous n’avons pas voulu cela”…
   Tous les manquements, renoncements et turpitudes seront ainsi auto-pardonnés et JUPITER pourra de nouveau être le chevalier blanc face à la bête immonde en 2022.
   Le pire, c’est que ça risque de marcher !…

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2. 

   philippe paternot 27 mai 2020, 13 h 25 min

   que nenni !
   ils ont bien voté la loi liberticide avia
   ils vont continuer avec la loi sur les retraites,
   le monde nouveau sera pareil à l’ancien ! sans aucun doute

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3. 

   Reine Tak 27 mai 2020, 13 h 32 min

   Pinocchio prépare sans doute son nouveau quinquennat mais il n’est sûr de rien car les sifflets de la colère n’ont pas manqué lors de ses déplacements. Les Français ont peut-être la mémoire courte mais les remarques désagréables du président, à leur encontre, vont mettre un certain temps avant de se dissiper. Il a donc mis au point une nouvelle méthode : les travaux d’approche qu’il effectue auprès des personnalités aimées des Français, don l’aura, pense-t-il, va rejaillir sur lui et lui permettre de faire un plein de voix en 2022. C’est ainsi qu’il va voir le professeur Raoult à Marseille, téléphone à Zemour, et aussi à Bigard, donne satisfaction à Philippe de Villiers pour la réouverture du Puy du Fou…
   Les Français se laisseront-ils prendre au jeu ?

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4. 

   Damien 27 mai 2020, 21 h 57 min

   J’ai compris que Micron cassait l’économie pour ouvrir les crédits infinis pour finir son mandat, pour avoir une excuse de ne pas aller au bout de la petite réforme des retraites. Il arriverait même à passer pour le sauveur d’une France achevée d’être déclassée par l’arrêt choisi aux conséquences connues depuis le départ.

   J’attends du Salon Beige qu’il dénonce l’Etatisme mortifère de Marine Le Pen et qu’il s’engage à mettre au point un programme minimum, une plateforme pour le futur président qui permettent l’union des conservateurs-libéraux avec les conservateurs, avec les libéraux et pourquoi pas avec la frange verte type José Bové (qui est contre la PMA-GPA). L’écologie est une valeur conservatrice. Et finalement faire adhérer à cette plateforme les réactionnaires.

   Nous aurions un gouvernement à l’autrichienne.

   si on en reste aux principes non-négociables, on va laisser le pouvoir très longtemps encore aux progressistes qui votent sous nos yeux en 2020 à la veille d’une crise sociale et économique dont on ne mesure pas encore l’ampleur, des lois Avia, des prolongations du délai pour avorter de 15 jours, qui contrôle la pensée des parents par les dires des enfants à l’école.

   Je préfère un excès de libéralisme à un excès de communisme.

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