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France : Société

Agression d’un journaliste aux Mureaux

Un journaliste américain a été frappé et détroussé dans la cité des Musiciens, aux Mureaux (Yvelines) vers 18h30 hier. L'homme effectuait un reportage sur «l'intégration des minorités dans les cités françaises» : il a été servi. Des voyous l'ont aspergé de gaz lacrymogène et frappé. Les deux personnes qui l'accompagnaient, de nationalité française, ont aussi été molestées. Les agresseurs leur ont dérobé une caméra, un appareil photo ainsi qu'un ordinateur portable.

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10 commentaires

  1. Une incursion sur le territoire de “chasseurs -cueilleurs” est toujours risquée…

  2. Douce France, doux pays de mon enfance….

  3. j’espère qu’il a compris qu’il s’était trompé dans l’énoncé de son sujet…. il avait du oublié “non” devant “l’intégration des minorités dans les cités françaises”

  4. Cité des” musiciens” ?? à priori des adeptes de la grosse caisse plus que de la harpe …il est temps de les mettre au …violon !

  5. Eh bien, il est maintenant parfaitement en mesure de dire comment se passe l’intégration en France, le reportage est bouclé.

  6. Il ne va pas manquer de grain à moudre pour faire un vrai bon reportage sur la réalité de la France.Espérons toujours!

  7. Espérons que son reportage montrera la réalité. Mais il ne risque pas du coup de passer sur une télévision grand public française !

  8. Comme disait une vieille (et belle) chanson”Qu’allait-il faire dans la Cinquième Avenue,Mr Williams ???

  9. Un inconscient, à l’évidence.
    Déjà, mettre les pieds dans un endroit pareil quand on est américain, c’est du suicide. Ces cités sont branchées à l’année longue sur les chaînes de télévision du Moyen-Orient qui leur décrivent les Etats-Unis comme le Grand Satan. Alors, quand ils en voient un en vrai, en bas de chez eux…
    A côté de cela, la qualité de journaliste de la victime est une provocation mineure.
    Par ailleurs, il faut être fou pour mettre les pieds dans une cité avec un ordinateur portable sur soi. On peut comprendre l’appareil photo et la caméra : ils en avaient dans une certaine mesure besoin, même si, évidemment, cela aggravait leur risque, et d’être agressés, et d’être volés.
    Mais un ordinateur portable ? Pourquoi pas, aussi, des liasses de dollars, pour négocier avec les indigènes et régler les menus frais du reportage ?

  10. Le pauvre, il ne savait pas. Il doit être démocrate.

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