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Agnès Verdier-Molinié chez les Éveilleurs : En marche vers l’immobilisme ?

France : Politique en France / Vidéos

Soirée avec Agnès Verdier-Molinié, directrice de l’iFRAP, à l’occasion de la sortie de son livre “En marche vers l’immobilisme ?” jeudi 14 mars 2019 à l’Université Inter-Âge à Versailles.

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2 commentaires

  1. agnes Verdié-Molinié défend un système malgré elle, la vraie question est le pouvoir d’achat des bas salaires. Comment peut-on vivre avec 1200 €?

    A qui profite les revenus sociaux, combien coutent-t-il?
    quel est la part du matraquage fiscale par foyer? il n’y a pas que l’IR
    “deux qui travaillent”, vision moderne du ménage. A quand un salaire maternel pour un vrai choix?

    baisser la dépense publique c’est possible mais cela ne pourra se faire qu’en baissant les avantages de la fonction publique et des grands groupes. Nous côtoyons tous des riches, Ils ne sont pas à plaindre.
    Le vrai calcul serait de calculer la disponibilité des ménages après impôts-taxe et les charges essentielles(loyer- nourriture-voiture).
    une voiture acheter d’occasion coute toujours plus à l’entretien qu’une voiture neuve.

    elle a peu parler de l’imposition et entrave à l’entrepreneuriat , avec de la création de richesse le problème de la fiscalité paraîtrait secondaire.

  2. En fait tout l’art de relocaliser les entreprises parties produire à l’étranger ,et par là récréer des emplois en nombre en France , serait de baisser le coût du travail français.

    De quelle manière ?
    Probablement en décidant de ne plus financer un certain nombre de nos coûts sociaux par les revenus du travail mais par une TVA sociale..L’avantage de cette mesure serait d’élargir l’assiette de calcul de nos coûts sociaux aux productions importées et non plus aux seules productions françaises.

    La conséquence d’une telle mesure aura pour effet de baisser le prix d’achat d’un véhicule produit en France via une baisse du coût du travail , pour augmenter celui du même véhicule produit aujourd’hui à l’étranger, via la TVA sociale.
    Autrement dit de favoriser la relocalisation industrielle française.

    Les charges sociales inhérentes à un salaire différé telles que chômage, indemnités journalières d’arrêt de travail , congés maternité/paternité et retraite doivent être supportées par le coût du travail, mais les charges relatives à nos coûts sociaux de soins médicaux et d’allocations sociales et familiales doivent être financées pour moitié par la CSG et autre moitié par une TVA sociale.

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