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France : Société

A Gennevilliers : journée de la jupe ou du hijab ?

Une adolescente de 16 ans attendait le tramway lorsqu'un groupe d'adolescent l'aborde en lui reprochant de porter une jupe. Après un bref échange le groupe décide de partir. Peu après trois jeunes femmes montent à ses côtés dans la même rame que l'adolescente et lui parlent de sa jupe qu'elles jugent trop courte. L'une d'elles force la victime à descendre à l'arrêt suivant en la tirant par les cheveux. Elle se fait alors sauvagement agresser, victime de nombreux coups elle finit par s'écrouler (vidéo). Des passants interviennent à ce moment et préviennent les secours. Après quelques heures de coma la victime reprend connaissance.

Une des bourreaux s'est rendue aux forces de l'ordre. Elle devrait être jugée le 17 mai.

Au moins à Science Po, les filles n'auront pas ces problèmes… Pour qu'une fille ne soit pas agressée en France, faut-il qu'elle porte le voile ?

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11 commentaires

  1. Comme le Salon beige le souligne de façon pertinente, il faudrait rappeler ce fait d’actualité aux écervelées de Sciences-po, qui ont osé organiser un “Hijab day” (Est-ce que cela leur écorcherait la bouche de parler français ?) Cette jeune malheureuse victime d’une barbarie contemporaine n’était pas bien à l’abri du côté de la rue Saint-Guillaume lorsqu’elle a été agressée. Sciences-Po est une prétendue grande école, qui recrute une prétendue élite.

  2. “l’ une des bourreaux ” nous dit le Figaro.
    Le nom “bourreau” est exclusivement masculin. Apprenez à parler français, MM. les “journalistes ” du FIGARO

  3. Il y en a encore quelques-uns qui considèrent Sciences Po comme une grande école. Cela est pourtant fini depuis bien avant 2012, date à laquelle Richard Descoings, directeur de Sciences Po disparaissait à New York dans des circonstances étranges et que des scandales concernant plus ou moins ce haut fonctionnaire apparaissaient au grand jour.
    Sciences Po n’est plus, disent certains, qu’une petite officine pour bobos et gauchos (dans leur comportement) dont le recrutement ne se fait plus vraiment au mérite mais avec une dose de politiquement correct, de discrimination dite positive et de bien pensance abusive. En ce moment, on y parle chiffons… jupes ou foulards.
    Sciences Po s’appelle aussi l’Institut d’Études Politiques (IEP) comme si la politique pouvait s’apprendre à l’école… alors qu’il suffit de regarder et « d’étudier » le théâtre de l’absurde des guignols qui prétendent nous gouverner depuis des décennies…
    Lors des prochaines élections, regardez en premier si les prétendants ont été façonnés par Sciences Po et/ou l’ENA, puis regardez ensuite leur parcours… Vous pouvez éliminer ces candidats dans la majorité des cas car, heureusement, il y a quelques rares exceptions qui confirment la règle.
    Parmi ces exceptions, citons Paul-Marie Coûteaux et Philippe de Villiers dont les qualités sont d’avoir des convictions, une grande intelligence et d’aimer la France.
    Sont passés par Sciences Po : Juppé, Fabius, Chirac, Sarkozy, Hollande, … On connaît la désastreuse situation de la France d’aujourd’hui. D’aucuns pensent que la continuité pourrait être assurée par un certain Macron…
    Et si on s’intéressait plutôt à ceux qui ont dans leur parcours une grande école d’ingénieur, une formation d’avocat ou militaire,… Des généraux nous sauveront ils une nouvelle fois ?

  4. il est vrai que depuis que j’habite en province (3 ans) il m’est arrivé une fois de revenir à Paris et de faire le trajet gare du Nord – gare de l’Est, or je porte toujours des jupes droites. Pour la première fois de ma vie, et pourtant j’en ai porté des jupes très courtes dans ma folle jeunesse parisienne ; – ) j’ai senti très nettement des regards hostiles portés sur ma jupe. Autrefois à Paris j’avais plutôt l’habitude des regards aimables des hommes que je croisais ; – ) hélas les temps ont changé et c’est dommage!
    J’ai vraiment ressenti quelque chose de très désagréable ce jour-là.
    Vous me direz que pour ressentir quelque chose de très désagréable il suffit de s’arrêter gare du Nord vers 18h et de faire le trajet jusqu’au 18e, même sans jupe c’est vraiment une drôle d’expérience, et vraiment, vraiment désagréable. On se demande dans quel pays du Tiers Monde on a atterri!!!

  5. Réalité à mettre en parallèle avec les spots de propagande sur les prétendues agressions que subissent les musulmans et ce qui est enseigné à Sciences Pol-Pot.

  6. Merci Meltoisan ! C’est ce que j’avais envie de lire à propos de sciences-po…
    Et les musulmans qui en ont ras le bol de passer pour des arriérés, qu’attendent-ils pour faire le ménage dans leur communauté ?

  7. Sciences popo est un …popo !
    Quant aux filles qui désirent porter des jupes .. qu’elles s’arment de bombes anti agression ou de poivrières !

  8. A Sciences Po, ils ont le cerveau en décomposition, c’est la dhimminitude à 100 %, le gratin de la nullité.

  9. Déjà, dans les collèges et les lycée, les filles n’osent plus la jupe. Les mains baladeuses, les filatures en sorties de lycée, les harcèlements, en sont venus à bout.
    Pourtant il fut un temps en France où seule la jupe était “convenable” pour les filles et où les uniformes dans les élcoles imposaient la jupe…et où le pantalon était interdit.
    C’est cela aussi l’importation de moeurs étrangères..

  10. il serait bon de rappeler que le port du voile sous nos latitudes pose un problème de santé publique. Pour fixer le calcium, nous avons besoin de soleil….. Qui dit voile dit n’exposer au soleil, à la lumière du jour que ses joues. Ceci est insuffisant sous nos contrées.

  11. A quand la journée du fouet, de la lapidation, de la décapitation…ça va être vraiment fun la vie en France

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