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7 Femen renvoyées devant le tribunal correctionnel de Paris

7 Femen renvoyées devant le tribunal correctionnel de Paris

Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

Après 10 ans de procédures, diligentées par Me Jérôme Triomphe, la chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris vient d’infirmer enfin le non-lieu rendu en faveur des Femen, suite à leur contre-manifestation violente du 12 novembre 2012, provocante et injurieuse, lors de laquelle elles avaient surgi dans la manifestation organisée par plusieurs associations contre le « mariage pour tous ».

La chambre de l’instruction renvoie les 7 Femen devant le tribunal correctionnel de Paris pour être jugées.

Elle reconnaît :

  • L’organisation par les Femen d’une manifestation non déclarée.
  • L’infraction d’organisation d’une manifestation non déclarée commise par les Femen.
  • L’infraction de participation à une manifestation en étant porteur d’une arme. En l’occurrence les Femen étaient porteuses d’extincteurs « susceptibles de présenter un danger pour les personnes », détournant ainsi la destination normale d’un extincteur.
  • L’infraction de violence volontaire.
  • L’infraction d’exhibition sexuelle, constituée par l’association du fait de montrer leurs seins et du port de voiles de religieuses et de porte-jarretelles ainsi qu’à des slogans (« sperme, fuck, ») relevant du domaine sexuel et de la reproduction.

Il faut noter que le Parquet avait été beaucoup plus empressé à faire condamner très rapidement et lourdement ceux qui avaient réagi contre cette agression.

Cette affaire prouve une fois de plus la nécessaire utilité de l’AGRIF qui s’obstine à réclamer justice et qui réussit à l’obtenir en effet à force d’opiniâtreté.

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6 commentaires

  1. Félicitations à l’Agrif pour sa pugnacité ! Cela permettra peut-être d’obtenir une décision de justice plus conforme à la réalité des faits, même si ça n’effacera malheureusement pas toute la désinformation autour de cette histoire.

  2. Ne pas oublier que pour la CEDH, faire de l’exhibition sexuelle dans une église relève de la liberté d’expression.
    On verra que peu importe l’absence d’autorisation administrative, peu importe l’exhibition sexuelle, peu importe l’extincteur, il y a d’un côté ceux qui peuvent tout se permettre et de l’autre ceux qui ne peuvent rien se permettre.
    Liberté, égalité, fraternité qu’ils disaient … sans préciser pour qui.

  3. femen? n’y aurait il pas parmi des furies des étrangères profitant de notre laxisme national, au lieu d’aller agir pour leur prétendue “cause” dans les pays ou cela est plus que nécessaire (mais dangereux évidemment)

  4. Comment vous savez qu’elles vont être condamnées, le procès n’a pas eu lieu

  5. Ces ” femen” ne devraient même pas avoir de droits civiques … Ce ne sont que des horreurs insupportables ! ! ! Qu’elles aillent faire leurs saletés dans une mosquée , et là elles verront le résultat immédiat de leurs forfaits !

  6. 10 ans ! pour finalement que des juges les absolvent (comme cela a été fait dernièrement pour une de ces furies qui avait fait du théatre sur un autel) au nom de la “liberté d’expression”
    le suicide des français par leurs zélites!

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