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Homosexualité : revendication du lobby gay

23% des enfants de mères lesbiennes sont victimes d’abus contre 2% chez les enfants de couples naturels

Lu sur Friday Fax :

"Une étude capitale révèle que les enfants adultes de parents homosexuels et lesbiens subissent les conséquences économiques et émotionnelles de manière bien plus négative que les enfants élevés dans des familles biologiques intactes. La qualité de l’étude du Professeur Mark Regnerus, de l’Université de Texas, souligne les carences des études plus anciennes, sur lesquelles s’appuient les militants homosexuels pour obtenir un droit au mariage et à l’adoption aux couples homosexuels. […]

L’étude complète du Prof. Regnerus s’appuie d’une part sur un examen d’approximativement 3000 adultes provenant de huit structures familiales différentes, ainsi que sur l’évaluation de 40 critères sociaux et émotionnels. Elle conclut que les enfants ayant grandit dans des familles biologiques intactes sont en général mieux éduqués, sont en meilleure santé mentale et physique, touchent moins à la drogue, s’engagent moins dans des activités criminelles, et s’affirment plus souvent heureux que les autres.

Les résultats les plus négatifs touchent les enfants issus de familles homoparentales lesbiennes. […] Elle montre entre autre que ces enfants sont plus souvent victimes d’abus sexuels (23% des enfants de mères lesbiennes étaient victimes d’abus par un parent ou un adulte, contre 2% chez les enfants issus de couples mariés), ont une moins bonne santé physique, sont plus souvent victimes de dépression, font plus fréquemment usage de marijuana, et plus souvent sans emploi ( 69% des enfants issus de familles homoparentales lesbiennes dépendent des prestations sociales, pour 17% de ceux issus de couples mariés). […]"

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7 commentaires

  1. “Abus” est un anglicisme. Dans le sens qui est ici adéquat, il faut traduite par “mauvais traitement”.
    http://www.larousse.fr/dictionnaires/anglais-francais/abuse

  2. 23% !? ce chiffre me paraît énorme. mais le 2% aussi.un enfant sur 50 victimes d’abus?
    Etes vous bien sûr des chiffres que vous présentez?

  3. @qg
    Oui c’est énorme, mais réellement trouvé.
    Voir la publication originale :
    “How different are the adult children of parents who have same-sex relationships? Findings from the New Family Structures Study”
    (Social Science Research, Volume 41, Issue 4, July 2012, Pages 752–770) (à paraître)
    sur ScienceDirect.com à : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0049089X12000610
    Extrait:
    ” 23% of LMs said yes when asked whether “a parent or other adult caregiver ever touched you in a sexual way, forced you to touch him or her in a sexual way, or forced you to have sexual relations,” while only 2% of IBFs responded affirmatively. ”
    N.B.: LMs = Lesbian Mother
    IBFs = Intact Biological family

  4. “23% !? ce chiffre me paraît énorme. mais le 2% aussi.un enfant sur 50 victimes d’abus?
    Etes vous bien sûr des chiffres que vous présentez? ”
    La maltraitance peut aussi être psychologique. Donc 2 % n’est pas un chiffre qui peut paraître extravagant. La maltraitance se produisant dans l’intimité familiale, il me semble que les cas sont plus nombreux que ceux qui sont recensés. L’apparence peut, d’autre part, être trompeuse en pareille matière (fausse maltraitance et maltraitance inapparente).

  5. J’apporte un point ici. Dans l’étude original ce n’est pas abus qu’il est écrit mais ” Ever touched sexually by parent/adult “. Donc ce n’est pas une erreur de traduction. C’est bel et bien 23% contre 2% et 12% dans les familles reconstitués.

  6. À l’attention de “qg”
    La recherche est exposée dans un article (en anglais, mais ce n’est pas un obstacle majeur) accessible en http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0049089X12000610
    La méthodologie est présentée (revue de littérature, problématique, délimitation de la question de recherche, recueil des données), les résultats, l’interprétation des résultats et les conclusions.
    Ce qui me paraît très intéressant dans ce travail, c’est qu’on a essayé d’avoir le point de vue non de ceux qui “bénéficient du sens de l’histoire” (les parents) mais de ceux qui le subissent (les enfants).
    On n’est pas à tenter de décrire des faits (ce qui serait bien plus difficile), mais à mettre en évidence la perception qu’en ont ceux à qui on ne donne généralement pas la parole.
    Ainsi, la conclusion à en tirer n’est pas “un enfant sur 50 est victime de mauvais traitements” mais “un enfant sur 50 se perçoit, quand il est arrivé à l’âge de jeune adulte, comme ayant été victime de mauvais traitements”: il s’agit bien de s’intéresser à la perception, au vécu, qu’en ont les enfants (à partir de faits relativement objectifs, comme le recours aux services sociaux). On leur donne la parole, au lieu de parler à leur place.
    Le fait marquant est bien que le risque que les enfants se vivent mal est dix fois plus grand dans une famille “moderne” que dans une famille “traditionnelle”.

  7. L’enfant roi, forme subtil de maltraitance. DanielMarcelli.

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