Partager cet article

L'Eglise : Vie de l'Eglise

Vénérable Marie-Thérèse Dupouy Bordes

A la suite de l'audience accordée hier après-midi au Cardinal Angelo Amato, SDB, Préfet de la Congrégation pour les causes des saints, le Pape a ordonné la promulgation des décrets relatifs aux vertus héroïques de plusieurs Serviteurs de Dieu, parmi lesquels 

  • la Servante de Dieu Marie-Thérèse Dupouy Bordes, religieuse française fondatrice des Missionnaires des Sacrés Coeurs de Jésus et Marie (1873 – 1953)

Vous trouverez une biographie de cette religieuse du diocèse de Bayonne aux pages 26 et 27 de ce document.

Marie Joséphine Charlotte est né le 6 mai 1873 à Irube, à quelques kilomètres de Bayonne, où sa mère Catherine habite avec sa famille alors que le père, August Edouard Dupouy, vit à San Sébastian, où il est propriétaire du très élégant Hôtel de Londres. Ses parents la baptisent deux fois : immédiatement après sa naissance – avec de l’eau de secours – parce qu’ils croyaient qu’elle allait mourir, puis le 15 juin dans un baptême solennel dans l’église paroissiale de Saint-Martin. Plus tard, au moment de sa confirmation par Mgr Ducellier (1878-1887), le 19 juin 1884, elle prendra sainte Thérèse de Jésus pour patronne et ajoutera son nom au sien : elle s’appellera désormais Marie-Thérèse ou María Teresa.

Le 16 juin 1898, Marie-Thérèse entre dans la Société des Religieuses du Sacré-Coeur de Jésus. Sa vie religieuse se poursuit normalement, avec néanmoins à deux reprises de graves craintes à cause de sa mauvaise santé. Elle passé la plupart de ses années de formation en France, puis quand la Congrégation fonde son collège à San Sébastian, c’est là qu’elle est envoyée. En 1914, comme sacristine, elle se rend compte de l’ignorance religieuse de ses deux enfants de choeur et commence à leur donner un peu de catéchisme. Puis, sa mission de fondatrice naît un jour où on l’appelle pour parler avec une femme qui l’attend avec un garçon de 10 ans. Il ne voulait plus travailler dans le salon de coiffure où il avait été mis parce que, disait-il, il entendait « dire des péchés » et il voulait être missionnaire comme son oncle. Ce garçon fut le premier fruit de l'oeuvre des vocations sacerdotales et missionnaires.

A la mort de la Mère Marie-Thérèse Dupouy, le 26 mai 1953, il y avait des communautés de sa congrégation avec des préséminaires dans plusieurs villes d’Espagne, en France (Dax), en Asie, et dans deux pays d’Amérique du Sud

Partager cet article

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services