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France : Politique en France

Union des droites avec le CNIP

Union des droites avec le CNIP

Lu dans Présent :

Le Centre national des indépendants et paysans (CNIP) est, par excellence, le parti du terroir et des élus locaux. Les municipales sont donc les élections de prédilection du plus ancien parti de la droite française. Pour le CNIP, l’union des droites est une nécessité, comme nous l’explique Bruno North :

« Nous n’avons pas d’accord national ou même local avec tel ou tel parti mais nous soutenons des candidats partageant nos valeurs et proposant un programme crédible face à des municipalités sortantes qui ont démontré leur incapacité à bien gérer leur commune. »

Samedi dernier, Bruno North était au pays de Mistral et de Daudet, pour une tournée provençale visant à la reconquête de villes emblématiques des bords du Rhône.

A Avignon, le CNIP sera partie prenante sur la liste conduite par Anne-Sophie Rigault, conseillère régionale RN mais qui mène une liste sans étiquette avec des colistiers venant de divers horizons, dont des représentants du CNIP qui figureront en bonne place. Devant les ravages de la municipalité de Cécile Helle, Anne-Sophie Rigault a de fortes chances de l’emporter en mars prochain. « Occasion rêvée de reprendre la ville à la gauche et de sortir Avignon de cette triple alliance socialiste, communiste et écologiste. Et là, il n’y a pas d’états d’âme », comme l’expliquait Bruno North lors de la conférence de presse.

Quelques heures plus tôt, le président du CNIP était dans une traditionnelle manade à Tarascon, aux côtés de Valérie Laupies qui, elle aussi, part à la bataille à la tête d’une liste de rassemblement sans étiquette. Personnellement investie par le CNIP, dont elle est membre depuis l’an passé, Valérie Laupies incarne le modèle des élus de terrain. Depuis son élection comme conseiller municipal en 2014, elle n’a eu de cesse de tracer son sillon dans cette ville de Tarascon qui se meurt et qui a besoin d’un nouveau souffle pour retrouver son dynamisme. En 2014, Valérie Laupies (par ailleurs directrice d’école publique à Tarascon…) avait manqué l’élection de 300 voix. Gageons qu’en mars prochain les Tarasconnais inverseront la vapeur. Dommage que le RN local n’ait pas répondu aux appels à l’union lancés par Valérie Laupies l’été dernier et qu’il ait parachuté un candidat qui semble (mais peut-être est-ce mieux comme cela ?) avoir du mal à trouver des colistiers. […]

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