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Homosexualité : revendication du lobby gay

Une homosexuelle torture son fils, son avocate insinue que le fils est homophobe

Lu ici :

"Laxou. Il a 10 ans. C’est un petit garçon
ordinaire. Il est intimidé. Il y a de quoi. Il doit aller témoigner à la
barre du tribunal correctionnel de Nancy. Il s’avance. Sous le regard
de ses parents qui sont assis derrière lui. Chacun à un bout d’un banc.
Séparés. Dans tous les sens du terme. Ils ont arrêté la vie commune il y
a plusieurs années. Et dans le procès qui s’est déroulé ce vendredi,
ils ont des rôles opposés.

La mère est prévenue. Elle est là pour
être jugée
. Le père est du côté de la partie civile, celui des victimes.
Il a porté plainte deux fois pour des violences subies par son fils. Le
21 novembre, le petit garçon aurait été agressé par une autre jeune
dans un parc non loin du domicile de sa mère, à Laxou. La maman était là
mais elle affirme n’avoir rien vu.

Elle
prétend avoir retrouvé son fils blessé. Sérieusement blessé. Il était
couvert d’hématomes
. Il avait également une brûlure de cigarette sur la
nuque
. Deux mois et demi plus tard, rebelote. Le 10 février, après un
séjour chez son ex-compagne, le père récupère de nouveau son enfant avec
des traces de coups un peu partout. Sur les épaules, les bras, le
visage, les fesses. Il retourne chez les gendarmes porter plainte.
L’enfant raconte qu’il aurait été frappé par le même mystérieux
agresseur.

Mais le soir, il livre une tout autre version. A son
père d’abord. Puis aux enquêteurs. Et, enfin, vendredi, au tribunal. «
En vrai, ma maman me tapait. Elle me mettait aussi la tête sous l’eau
»,
raconte l’enfant. Il décrit des scènes aux limites du soutenable durant
lesquels sa mère remplissait l’évier de la cuisine d’eau et lui
plongeait la tête dedans, à la moindre bêtise, pour le punir. S’il
refusait de s’approcher de l’évier, il était battu à coups de poings et
de pieds.
« Des fois, elle m’attachait avec des lacets. Et quand
je criais, elle mettait un torchon dans ma bouche
», ajoute le petit
garçon. […]

La cause est entendue pour le
procureur adjoint qui requiert 18 mois de prison avec sursis. L’avocate
de la défense, Me Sandrine Boudet, plaide la relaxe. A décharge, elle
insiste sur le témoignage de la compagne de la mère qui n’a rien vu,
rien entendue
. « Est-ce que l’enfant a mal vécu l’homosexualité sa mère
et a voulu changer de vie en l’accusant ?
», s’interroge le défenseur.
Jugement le 19 avril."

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13 commentaires

  1. O mon Dieu, veillez bien sur ce petit et son papa. Il ne doit rien comprendre a ces mots-prétexte d’adulte. Quelle lâcheté d’accuser l’enfant plutôt que de reconnaître ses torts!
    Pour vous deux et tous les autres, nous ne lacherons rien.

  2. Permis de conduire, permis de chasse, permis d’adopter…
    A quand le permis de faire des enfants ?
    Il y a de plus en plus de cas connus de malades qui n’auraient pas dû être autorisés à se reproduire.
    Pauvre enfant.

  3. Un “Je vous salue Marie” pour ce pauvre enfant, svp
    … et pour tant d’autres dans des situations analogues…
    Oui, lecteur, svp, ne passez pas sans dire ce “Je vous salue Marie”.
    Et faites prier les enfants pour notre pauvre France.

  4. C’est bien dans la logique de l’adoption homosexualiste : l’intérêt de l’enfant ne compte pas. Donc on peut rajouter à la souffrance d’un pauvre gamin si c’est dans l’intérêt des adultes…

  5. ce ne serait pas la première fois que l’on accuse l’enfant !!!!

  6. Mais oui, bien sûr, un enfant battu par sa mère homosexuelle et un avocat qui plaide l’homophobie …
    Il faudrait peut-être se réveiller et arrêter d’être crédule, on vous donne une histoire absurde juste pour attiser le conflit et vous ne voyez que du feu. Pensez vous sérieusement que ça soit vrai ? Il faudrait peut-être ne pas tomber dans la crédulité la plus totale.

  7. Quand on est homo, on a une haine de l’autre sexe ! Rien de plus normal que le traitement de cette mère envers son petit garçon ! Inconsciemment il représente “l’homme” !
    Une des raisons pourquoi, donner des nouveaux-nés à une paire d’homos est quelque peu problématique ! Si du même sexe, un acte pédophile ne serait pas surprenant (voir les statistiques). Si de l’autre sexe, s’attendre à ce genre de mépris.
    Bref, rien de bon dans tout çà quand on sait qu’un petit est une éponge et dans un environnement unisexe, il aura plus tard un comportement unisexe. constatation que l’on remarque avec les animaux !

  8. seulement 18 mois de prison avec sursis (en fait rien si cette personne se tient sage), c’est pas cher payer!!!!2 ans ferme c’est mieux, et en prison, pas avec un bracelet électronique.

  9. Oui mais qui va juger ? Un hémicycle à moitié vide qui votera à mains levées ?

  10. Il serait sans doute préférable de savoir si le père, au-delà de la garde alternée (à la mode), accepterait de prendre sa responsabilité de père à plein temps, et de confier cet enfant à la seule garde de son père. Et voir si le mystérieux agresseur présumé sévit toujours. Et en cas de constat négatif, en déduire que le père assume mieux son rôle de père que la mère. Mais ce n’est sans doute pas idéologiquement correct.
    C’est dramatique pour cet enfant d’avoir à accuser sa mère, car, quoi qu’elle ait pu faire, elle reste sa mère.
    Et ce jeune garçon n’a personne à qui se confier et auprès de qui se réfugier.
    Si l’avocate fait une hypothèse correcte, au nom de quoi refuserait-on à cet enfant de “changer de vie”? et comment l’avocate explique-t-elle les traces de sévices? auto-mutilation? l’enfant doit alors être vraiment en grande souffrance et avoir besoin d’une aide urgente.
    On peut aussi faire l’hypothèse assez horrible que les sévices proviennent de la compagne de la mère (ce qui expliquerait qu’elle insiste sur le fait qu’elle n’a rien vu).

  11. “Ce pays est fini. Je n’ai jamais mesuré à aucun moment comme aujourd’hui, à quel point il n’y avait rien à tirer des hommes de ce pays. En 1940, j’avais confiance… Je me rends compte maintenant que ma confiance d’alors venait de ce que n’avais pas éprouvé la profondeur de notre pourrissement. Il n’est pas assez de dire qu’ils sont pourris ; cette pourriture ils la recherchent, il n’y a que le faisandé qui les attire.”
    Général Charles de Gaulle, 12 janvier 1949 (Cité par D. Venner, De Gaulle, la grandeur et le néant, Ed du Rocher 2004. p 21)

  12. prison avec sursis pour cette femme ?!! et l’enfant torturé, ils en font quoi ? ils vont attendre qu’elle le tue, et elle n’ira même pas en prison non plus ?!!
    pauvre France…

  13. @Baptiste: c’est peut-être absurde mais n’en est pas moins possible. La gaystapo qui arrête des gens pour leur tenue vestimentaire, les gazeurs en série contre des manifestants pacifiques, c’est tout aussi absurde et pourtant c’est vrai. Alors au lieu de crédulité, n’est-ce pas à vous d’ouvrir les yeux?

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