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Europe : le référendum

Un an après le 29 mai, “nous avons été trahis”

a dénoncé Philippe de Villiers, pour qui la "classe dirigeante" a commis une "forfaiture" en ignorant le non à la Constitution européenne.

"Le peuple français a envoyé un message fort, sans ambiguïté et la classe dirigeante ne l’a pas entendu. Nous sommes même (…) devant ce qu’il faut bien appeler une forfaiture : la classe dirigeante a trahi le peuple".

Il a justifié cette accusation par l’ouverture des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne "comme si de rien n’était". Par ailleurs, "le gouvernement n’a pas eu la permission de baisser la TVA pour les restaurateurs alors que ça aurait créé des emplois" et Jacques Chirac "n’a pas retiré la signature de la France" au projet de Constitution. Philippe de Villiers a estimé qu’il aurait fallu "appliquer le message des Français". "Cela veut dire interrompre tout de suite la négociation sur l’entrée de la Turquie" et "inscrire dans la Constitution la supériorité des lois françaises sur le droit européen".

Michel Janva

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