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Culture de mort : Avortement

Un ver de terre aurait donc plus de droits qu’un embryon

…selon Aymeric Caron. En effet, il déclare que le ver de terre doit avoir "le droit de ne pas être soumis à la souffrance".

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28 commentaires

  1. En dehors de la difficulté de mesurer la souffrance éventuelle d’un ver de terre, on est dans la régression animiste totale.

  2. Il n’y a pas d’autres problèmes à résoudre avant?Qui est ce monsieur?

  3. Qui est cet olibrius auquel on donne une importance proportionnelle à sa vacuité ?

  4. Navré de vous décevoir, mais pour une fois il a raison : quand on prétend être les fidèles d’un dieu de bonté, d’amour et tout le toutim, on évite de faire souffrir les bêtes inutilement.
    Si je tue une mouche parce que j’estime que cette mouche doit mourir, je la tue instantanément : je ne m’amuse pas à lui arracher les ailes.

  5. C’est pour lui qu’il demande des droits, mais il en a déjà.

  6. Votre titre induit en erreur vous faites dire à Caron ce qu’il n’a pas dit.
    Même si je trouve ses propos ineptes, nulle part Aymeric Caron ne parle d’embryon ni ne le compare au ver de terre

  7. Peut être qu’il se prend pour un ver de terre et du coup, il veut qu’on respecte ses droits … Après tout, il paraît qu’on a le droit de décider de ce qu’on est indépendamment de ce que le Seig’eur nous a fait !

  8. Je ne me sens pas concerné et je suppose qu’il s’adresse en priorité aux merles et autres oiseaux vermivores.

  9. La logique New-age, panthéiste influencée par l’hindouisme et la métempsychose, il pense, bien sûr, que s’il se réincarne en ver de terre, il faut être prévoyant. L’euthanasie dans la dignité, c’est bon pour les hommes seulement.

  10. c’est qui ce petit monsieur.
    un simple ver pas reluisant.

  11. Je ne suis pas particulièrement un soutien inconditionnel d’Aymeric Caron. Mais je suis tenté de penser à la vraie conversion à laquelle nous appelle cette caricature de réflexion sur les vers de terre. Dans le sillon de Laudato si, nous devons repenser l’écologie intégrale, et notre lien au ver de terre est bien réel. Cette créature de Dieu a été voulue en tant que telle. Sans aucun prosélytisme, un couple d’immenses spécialistes des sols, Claude et Lydia Bourguignon présentent si bien comment ces gluantes créatures sont les gardiens de nos sols, ferments de ce que nous mangeons. Leur disparition violente (de 2 tonnes en 1950 à moins de 100kg aujourd’hui par Ha en France) nous prépare des jours sans saveur, une offense à la création.
    Bien évidemment sans commune mesure avec la dignité d’un être humain, fusse-t-il au stade d’embryon, considérons néanmoins la dignité des vers de terre, comme celle attribuée par Dieu à toute créature. Peut être peut on commencer par changer le mot “droit” si galvaudé, pour le remplacer par “protection”.

  12. Seigneur, ce qu’il ne faut pas endurer ! Je crois que j’aurais préféré ne pas lire ce sujet… et je trouve regrettable finalement que le ridicule ne tue pas, ça permettrait à l’humanité souffrante d’être débarrassée de certaines incongruités ayant forme humaine…

  13. Il est rassurant de voir à quel point il se soucie de ses semblables…

  14. Comme c’est désormais l’habitude on mélange tout et on raisonne donc de travers…
    Aucun droit n’est inné. Un droit s’acquiert par l’accomplissement d’un devoir.
    La protection qui doit être apportée au ver de terre comme à tous les autres animaux ne relève pas de leurs droits, mais relèvent de nos devoirs à nous êtres humains. Le ver de terre, le chat, etc., n’ont aucun droit à la protection, ce sont les êtres humains qui ont le devoir de les protéger.
    De même j’explique à mes enfants que leurs prétendus droits, dont on leur (et me) rebat les oreilles à l’école, n’en sont pas: les enfants n’ont aucun droit, ce sont les adultes qui ont des devoirs vis-à-vis des enfants (respect de leur dignité, protection, éducation…).
    C’est très différent, et raisonner de façon juste permet d’éviter de dire des bêtises comme M. Caron.

  15. C est l inversion assumée des contre-valeurs où l homme a un statut inférieur au monde animal ( je sais , l homme est un animal qui pense…mal actuellement) . Or , il faudrait rappeler que l animal , le végétal , voir le minéral sont au service de l homme et pas le contraire. Aussi si , comme Dieu le veut, l homme est supérieur à tout ce qui existe sur terre , matériellement parlant , ce dernier doit en user avec sagesse , pour le profit de tous et des futures générations.
    On s en moque du délire de Caron , pauvre hère s il en fut ! Encore un qui n aime pas ce qu il est ! Chez Ruquier , Moix est du même acabit ! Pas grave , ça leur passera ; qu ils émigrent en Inde ! Encore un coup des gnostiques , hindouisés , new âge et cie ( Guenon , va te cacher , merci) .

  16. Zoolâtrie et écolâtrie… lamentables !

  17. La religion a toujours considéré que toutes les espèces animales avaient leur place dans la création. Un ouvrage historique passionnant sur “les procès faits aux animaux” révèle un imaginaire chrétien où chaque espèce avait son territoire naturel et vivait dans un cousinage avec l’homme dont elle ne devait cependant pas abuser, à peine de se voir intenter un procès qui, pour inoui que cela paraisse aujourd’hui, était une marque de leur proximité avec les humains. Mais, bien entendu, la religion plaçait l’homme au sommet de la création et protégeait l’enfant à naître. C’est pour avoir perdu ce sens profond que les thèses les plus déséquilibrées apparaissent.

  18. Il me semblait que les droits étaient une contrepartie de devoirs. Quels sont les devoirs du ver de terre?

  19. Si Aymeric Caron se prend pour un ver de terre, il faut lui dire qu’un petit séjour dans un asile psychiatrique pourrait le remettre d’aplomb…

  20. les virus ont aussi des droits

  21. Le Père Bernard-Marie, op a écrit que l’animal pourrait avoir un avenir post mortem, s’appuyant sur la Genèse, les psaumes et St Thomas d’Aquin.
    On sera tous bien contents que notre chien préféré ressuscite, mais qu’en sera-t-il des puces ?

  22. Quand j’entends les écolos et autres … parler des animaux, je regarde simplement s’ils placent en tête le respect des règles françaises et européennes concernant l’étourdissement des animaux avant abattage. En dehors de toute pseudo dérogation qui serait un comble d’incohérence…
    Mais non, cette horreur n’est jamais citée et la cruauté de l’abattage rituel ne les dérange pas. Alors, je le leur fais systématiquement remarquer.
    Il y a plein d’associations bidon qui prolifèrent dans ce secteur pour s’en mettre plein les poches : lancer de chats, tauromachie, viande de cheval, chasse, et même « animaux domestiques au cœur de situations de violences conjugales » mais si ! … tout sauf l’abattage rituel ! Ces hypocrites ne méritent pas un centime !
    J’ai ainsi reçu un courrier bien-pensant d’une certaine IFAW qui vaut son pesant de mondialisme anglo-saxon et d’hypocrisie !

  23. Pour la nature il faut un homme et une femme pour faire un enfant.
    La nature a le droit de ne pas être bidouillée pour faire un enfant contre nature.

  24. C.B.
    Le ver de terre est le meilleur paysan qui soit, les personnes qui savent l’importance du lombric, pratique la permaculture avec plus ou moins de bonheur, mais il est reconnu que le ver de terre en grande quantité, digère la terre et l’enrichit, ce qui évite dans cette forme de culture, de bêcher, d’utiliser des motoculteurs très nuisibles car tueurs de ces même vers, mais surtout d’éviter les saletés chimiques qui empoisonnent les terres et les gens, sans oublier les abeilles.
    Ils font leur travail sans le savoir comme tous les animaux.
    Leurs droits, bin, il faudrait leur demander de voter pour le savoir

  25. … Je le dirai à mes poulettes !!

  26. Qui est Aymeric Caron? Pourquoi donne-t-on tant d’importance à ses considérations?

  27. Sentiment de vacuité infinie…

  28. Navré pour ” celui ” qui pense que les mouches ne doivent pas être tuées de manière sadique..une patte, une aile etc…
    Il ignore sans doute que les bébés tués dans le ventre de leur mère, le sont soit par aspiration, ou l’on voit l’enfant se débattre et luttrer désespérément contre cet instrument.
    Soit en les découpant vivant, un bras, l’autre, une jambe, l’autre…et puis la tête et puis le tronc en dernier..
    Ce petit imbécile qui prêche pour le respect des vers de terre et des mouches devrait bien assister à un avortement..
    Si ma religion ne me l’interdisait…j’aurais souhaité que madame sa mère se fit avorter de lui..

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