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Pays : International

Un sportif obligé de cesser de s’entraîner, victime d’une péricardite à la suite de l’injection d’un ‘vaccin anti-Covid’

Un sportif obligé de cesser de s’entraîner, victime d’une péricardite à la suite de l’injection d’un ‘vaccin anti-Covid’

Vainqueur à Oslo le 20 mars dernier, le champion de ski Sivert Bakken décrochait sa première victoire en carrière. Après quelques semaines de vacances, le Norvégien décide de se faire vacciner une troisième fois contre le covid, c’est là que ses soucis débutent :

“Il y avait quelque chose qui ne fonctionnait pas à l’entraînement, le corps était un peu fatigué. J’ai donc consulté un médecin et j’ai complètement arrêté l’entraînement. Puis c’est devenu de pire en pire. J’avais une gêne physique et une pression dans la poitrine. Il y avait beaucoup de douleur et il n’y avait aucun doute que j’abandonnerais l’entraînement. Cela fait désormais cinq mois que je n’ai pas pu faire une séance d’entrainement.”.

Victime d’une péricardite suite à son injection, et ses médecins pointent le vaccin comme la cause principale de ses soucis.

“ll est quasi certain à 100% que mon vaccin corona est le problème. J’ai entendu parler d’autres cas où des personnes ont rencontré des problèmes similaires à cause des vaccins. Lorsqu’on nous injecte ce produit, on ne sait rien de tout cela et avec le recul on se dit qu’il faudrait mieux ne pas le faire, mais on me dit qu’il y a aussi des côtés positifs, alors je ne peux pas regretter maintenant.”

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5 commentaires

  1. “ll est quasi certain…” : Non il est tout à fait certain. Dans le milieu médical l’affaire ne fait aucun doute, il y a des centaines de milliers de personnes jeunes (moins de 40 ans) qui se retrouvent avec une déficience cardio. Statistiquement dans le lots il y a peu de sportifs professionnels, mais suffisamment pour que cela attire l’attention de quelques centres de recherches…

    On sait maintenant que ce produit à base d’ARNm n’empêche pas la transmission, ce qui avait été dit par les Pr Perronne ou Raoult dès le début, et ce qui était logique pour qui connaît un peu la biologie… On découvrira bientôt qu’il ne protège pas des formes graves comme répété. Des études statistiques démontrent en l’état que les formes bégnines sont constatées dans des taux plus élevés parmi les population non vaccinées. La forme grave semble relever de la génétique et de l’état général du contaminé, le produit ARNm ne change rien à la donne. Du moins, cela ne transpire pas dans les stats… Il faut que les études sur ce sujet continuent, du moins si on laisse faire les labos….

  2. Une personne âgée de ma famille, ayant un “souffle au coeur” diagnostiqué très jeune, a vu son état s’aggraver peu de temps après avoir été vaccinée. Bien sûr les médecins réfutent toute relation de cause à effet.

  3. On commence à bien connaitre ce qu’il y a dans ces injections dont l’objectif n’est pas sanitaire.
    Chacun doit faire ses propres recherches. Allez, je ne vous donne deux pistes :
    https://odysee.com/@vivreautrement:6/LE-COVID-NEST-PAS-UN-VIRUS-MAIS-UN-PARASITE-I:2
    et encore plus instructif :
    https://odysee.com/@Spoon94:9/10000000_377764164271054_7027537027736971974_n:7
    Passionnant, non ?

  4. « Alors je ne peux pas regretter maintenant »…maso ou crétin ?

  5. D’emblée, cette idée de soi-disant “vaccin” a été plus que suspecte.
    Déjà sur le principe, imposer un ARN messager pour que les cellules le reproduisent et se fassent reconnaître par le système immunitaire, c’est en clair déclencher artificiellement une maladie auto-immune. Qui veut ça, vraiment?
    Ensuite, spécifiquement, la molécule que l’on oblige le corps à reproduire, la “spike”, est par ailleurs celle qui a été identifiée comme créant des micro-thromboses dans tout l’organisme. Donc on commence à “soigner” en imposant au corps de produire une protéine connue pour être toxique. Brillant.
    Après, il y a certainement d’autres mécanismes qui n’étaient pas évidents dès le départ, par exemple l’affaiblissement constaté et généralisé du système immunitaire, ou cette affaire de péricardite chez les jeunes hommes. Mais les deux premiers éléments étaient suffisants pour donner l’alerte et crier au fou.
    Et cerise sur le gâteux, le soi-disant “vaccin” ne prémunit pas tellement plus que ça, et en tout cas, certainement pas contre les “formes graves”, contrairement à la propagande officielle (https://fr.wikipedia.org/wiki/Efficacit%C3%A9_vaccinale#Exemple).

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