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Culture : cinéma

Un film sur St Josemaria Escriva de Balager

B Le cinéaste britannique Roland Joffé, révélé entre autre pour 'The Mission', travaille en ce moment à la réalisation d'un film sur la vie de Josemaria Escriva de Balager, le fondateur de l'Opus Dei, canonisé en 2002.

Sous le titre There Be Dragons, le film se passe durant la guerre civile espagnole dans les années '30. S'il est exact que des membres de l'Opus Dei ont apporté une aide de 30 millions de dollars à la réalisation du film, l'organisation elle-même ne finance pas le projet, explique le porte-parole Brian Finnerty de l'Opus Dei. Certains verront sans doute dans ce film une réplique au livre et au film « Da Vinci Code », où l'organisation était présentée comme un réseau criminel. Ce que nie Joffé qui affirme avoir joui dès le début « d'une totale liberté créatrice ».

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7 commentaires

  1. Effectivement, l’Opus Dei n’a pas vocation a financer des films ou d’autres activités, mais elle laisse une totale liberté à ses membres et amis de d’investir personnellement dans des oeuvres apostoliques destinées à servir au mieux notre Sainte Eglise. Je n’ai pour ma part jamais rencontré, dans l’Eglise ou ailleurs, autant de liberté que dans l’Opus Dei. Souhaitons que ce film fasse vraiment comprendre aux personnes honnêtes ce qu’est vraiment l’Opus Dei. Malheureusement il restera toujours ceux qui, par idéologie, ne veulent pas comprendre.
    Lionel

  2. 30 millions de dollars alors qu’il existe déjà pleins de films sur Saint José Maria… I
    Avec 30 millions de dollars, les membres de l’Opus feraient mieux de sauver des églises en France…
    C’est donner trop d’importance au Da Vinci Code, voire lui donner du crédit si les membres de l’Opus Dei sont prêts à donner 30 millions de dollars pour un film sur leur fondateur.

  3. Pol, pourriez-vous m’indiquer les références de ces films, cela m’intéresse.
    100% OK avec Lionel

  4. l’argent n’est rien qu’un moyen.
    Seul compte ce que l’on en fait au service du Beau, du Bien ou du Vrai.
    Versailles ou la Sainte-Chapelle, le Mont Saint-Michel, sont des non-sens au regard de la pauvreté et de la misère de l’époque…
    Mais sans ces oeuvres de beauté, la même misère aurait existé (une guerre en plus, à l’occasion, à cause des ravages du péché originel) et voyez ce que nous aurions perdu y compris pour l’élévation de nos âmes aujourd’hui.
    La différence dans tout celà, elle est à rechercher dans la sainteté des personnes et la bonne institution politique qui incline au Beau, au Bien et Vrai.
    Evidemment, depuis deux siècles, on est loin du compte pour pouvoir nous comparer à nos aïeux seulement dans le domaine artistique…
    Il y a bien une raison de philosophie politique qui a déformé nos mentalités jusqu’à tout ramener à l’argent- Roi : suivez mon regard vers la guerre civile franco-française de 1789 qui continue de nous gangréner de son libéralisme politique, philosophique, … qui a installé aux commandes de l’Etat une bande de petits bourgeois à l’esprit revêche et contraceptif (comme disait Soljénitsyne).
    Nous les chasserons en arrêtant de soutenir le système révolutionnaire, de notre vote pour le dé-ligitimer : aux grands maux les grands remèdes !
    A la suite, commencera une autre histoire, si Dieu le veut!

  5. @ Oktavius,
    Des films sur St José Maria? Dès que vous participez aux activités de l’Opus, on vous propose d’en visionner, comme St José Maria en Amérique du Sud interrogé par des membres de son œuvre, etc.
    @ allegrovivace,
    Vous écrivez “Versailles ou la Sainte-Chapelle, le Mont Saint-Michel, sont des non-sens au regard de la pauvreté et de la misère de l’époque…
    Mais sans ces oeuvres de beauté, la même misère aurait existé (une guerre en plus, à l’occasion, à cause des ravages du péché originel) et voyez ce que nous aurions perdu y compris pour l’élévation de nos âmes aujourd’hui.”
    Oui raison de plus pour dépenser plutôt 30 millions de dollars pour restaurer les lieux de beauté que sont certaines églises menacés, voire pour bâtir de nouvelles églises!

  6. Deux aspects à réfléchir : 1.Le film est-il anti-Opus Dei ? Si c’est le cas, il bénéficiera de toutes les allégeances des médias, et pire, de l’éducation nationale.
    2.Le film joue-t’il en faveur de l’Opus Dei ? Dans ce cas il risque les foudres de la censure, comme pour “Katyn” (que je n’ai hélas pas vu).

  7. à Pol, OK j’ai vu plusieurs de ces vidéeos qui vieillissent mal. Je pense qu’un “vrai” film de qualité “commerciale” est une excellente initiative

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