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France : Politique en France

UMP-FN : l’alliance impossible ?

Extrait d'un entretien du spécialiste d’histoire politique Christian Delporte dans Libération :

U"[L]a fracture à droite entre ceux qui n’ont aucun complexe à récupérer les thèmes du Front national et les autres n’est pas nouvelle. En 1983, Simone Veil et Bernard Stasi étaient assez isolés dans leur refus de faire alliance avec le Front national… Et quelqu’un comme le maire UMP de Marseille, Jean-Claude Gaudin, a toujours été partisan, à titre personnel, d’alliances locales avec le FN. Ce débat était censé avoir été tranché par Jacques Chirac en 1991, mais on voit clairement qu’une forte recomposition de la droite s’annonce après 2012."

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3 commentaires

  1. Ils obéissent aux ordres du Bnai Brith
    Le 26 mars 1986, suite à l’entrée à l’Assemblée nationale de trente-cinq députés Front national, le journal Le Monde révéla que le B’naï B’rith France aurait organisé des réunions avec des politiciens français de droite où ceux-ci s’engagèrent à ne passer aucune alliance avec le Front national et publia le communiqué suivant : “Les associations B’nai B’rith lancent un appel à la vigilance, attirent l’attention des partis de la nouvelle majorité contre toute tentation de vouloir reprendre les slogans extrémistes sur l’insécurité et les idées xénophobes à l’encontre des immigrés, et rappellent aux représentants de ces partis leurs engagements pris au cours des forums des B’nai B’rith, devant la Communauté, déclarations reprises après proclamation des résultats du vote, de ne s’allier en aucun cas au Front national.”
    Le diktat tient toujours.

  2. Alliance souhaitable en théorie : le bon sens la commande, face à la gauche.
    Encore faudrait-il savoir sur quel programme. Il n’y a pas que le Bnaï Brith, dont le diktat n’est aussi éternel que celui du grand Orient, lequel a nettement plus de puissance au sein même de la droite. Il serait donc indispensable que l’UMP éclate et que les ambiguïtés et accommodements idéologiques avec la gauche cessent ; le FN devrait alors accepter -et ses électeurs, et donc la droite catholique qui vote pour lui- que des compromis soient faits.
    Cela fait donc beaucoup d’hypothèses.

  3. Le grand public ignore tout de la politique et ne se détermine donc pas aux élections en connaissance de cause.Les choses vont donc perdurer puisque dans la réalité, ce n’est qu’un spectacle : seul le personnel “initié”, “adoubé” peut concourir et gouverner pour ces puissances occultes.Il n’est pas question que le “fausse droite” fasse une quelconque alliance, ni aux présidentielles, ni aux législatives, avec les représentants du “populisme”, du “fascisme”, du “racisme”, du “nationalisme”, c’est clair pour nous, ne perdons pas notre temps à l’espérer mais voyons bien au contraire ce gouvernement mondial (N.O.M) se mettre en place au nom du peuple mais contre lui !

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