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Environnement

Trop d’enfants réchauffe la planète…

Dans Présent, Jeanne Smits dénonce la "dictature écologiste" :

"Le prix Nobel de la paix, par la volonté de son fondateur, est censé récompenser chaque année « la personnalité ayant le plus ou le mieux contribué au rapprochement des peuples, à la suppression ou à la réduction des armées permanentes, à la réunion et à la propagation des progrès pour la paix ». Quel rapport avec Al Gore, le GIEC (le panel de l’ONU sur le climat) et le réchauffement de la planète dont ils sont les prophètes ? Aucun. […]

Le concert d’éloges international ayant été quasi général, nous ne retiendrons que la déclaration de Nicolas Sarkozy, très révélatrice. Tout à sa «très grande joie», le Président a en substance annoncé de nouvelles contraintes supranationales : «L’attribution de ce prix oblige l’ensemble de la communauté internationale. Nous devons maintenant tous ensemble, sous l’égide des Nations unies, réunir et concrétiser nos efforts pour définir à l’échelle planétaire un cadre global de lutte contre le réchauffement climatique.»  […]

Tous n’ont pas été convaincus, cependant, malgré ce prix Nobel, de l’exactitude de l’alarmisme à la mode d’Al Gore et du GIEC. […] vendredi matin, à l’Université de la Caroline-du-Nord où le Dr William Gray, universitaire lui-même et grand spécialiste de la prédiction des ouragans, déclarait que la théorie du changement climatique «provoqué par l’homme» est «ridicule». «Nous sommes en train de faire du lavage de cerveau à nos enfants», a-t-il ajouté, soulignant (en tant que météorologue avisé) que d’autres facteurs sont responsables d’un réchauffement qu’il ne conteste pas : le cycle naturel de la température des océans. […]

Vrai ? Faux ? Ce qui est évident, c’est l’usage politique qui est fait de cette menace invérifiable par le quidam (comme les attaques ennemies factices dans 1984), un usage qui tend à déposséder les nations de leur souveraineté, à modeler les comportements, à peser sur les libertés individuelles. […] Le même Al Gore – ce n’est pas un hasard – est un ferme défenseur du « droit » à l’avortement : la plus grande menace contre la paix (comme le répétait la bienheureuse Mère Teresa de Calcutta). Et dès 1997, Al Gore attribuait la responsabilité du « réchauffement climatique » aux nations du tiers monde : «Elles produisent trop d’enfants, trop vite… il est temps de passer outre à la controverse sur le planning familial et de mettre un terme à la croissance démographique incontrôlée.»

Michel Janva

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