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Homosexualité : revendication du lobby gay

La Tribune de l’art, nouvelle victime du lobby LGBT

Lu sur La Tribune de l'art :

"Chaque année, le Musée d’Orsay achète une (voire deux) publicité dans La Tribune de l’Art
pour informer de l’appel à candidature pour le prix du Musée d’Orsay
et/ou de la publication du livre issu de ce prix. Cette année, l’annonce
devait être mise en ligne du 18 novembre au 1er décembre.

Nous n’ignorions pas, bien sûr, que la critique très sévère
que nous avons publiée le 13 octobre sur l’exposition
« Masculin/Masculin » risquait de provoquer, de la part du président
d’Orsay et commissaire de l’exposition, Guy Cogeval, une forte réaction.
Nous nous attendions même à ce que l’annonce publicitaire soit annulée.

Nous ne nous trompions pas. Voici en effet le courriel reçu aujourd’hui de la personne qui traitait le dossier : « Je
vous écris pour vous informer que le musée d’Orsay souhaite renoncer
cette année à la parution de la publicité annonçant le prix du musée
d’Orsay dans la Tribune de l’art. En cette période de restriction
budgétaire, le musée aimerait faire l’appel à candidature par le biais
de réseaux professionnels gratuits. Ce sera une façon d’évaluer si ce
mode de diffusion suffit.
 »

Qui peut croire un seul instant à cette explication lorsque le 3 octobre
dernier nous recevions un courriel du service des partenariats,
publicité et budget, nous demandant la date limite à laquelle il devait
nous envoyer le visuel ?

La Tribune de l’Art est un média libre. Son rédactionnel n’est
pas à vendre. Et nous prouvons, une nouvelle fois, que l’on peut
dépendre largement de la publicité et rester libre. Nous avons sans
doute été bien des fois boycottés, sans le savoir expressément, par des
annonceurs potentiels qui n’étaient pas satisfaits de nos articles. A
plusieurs reprises, nous n’avons pas hésité à critiquer des annonceurs,
et nous avons fait une croix sur d’autres clients potentiels que nous ne
prenons même pas la peine de démarcher. Nos articles sont indépendants
de la publicité, et nous entendons bien poursuivre dans cette voie.
Cependant, c’est la première fois que nous pouvons constater aussi
clairement une rétorsion directe
. […]"

Dans cette critique, la Tribune de l'art écrivait :

"S’agissait-il de faire une exposition consacrée à l’art homosexuel ? Les
déclarations de Guy Cogeval sont contradictoires : tantôt c’est oui (« le vrai fil conducteur c’est de montrer les résurgences […] de l’homoérotisme à travers les âges »), tantôt c’est non.
En tout cas, si le but était celui-ci, c’est encore raté à moins de
considérer que David, Girodet, Hippolyte Flandrin, William Bouguereau,
Gustave Moreau, Lucian Freud, etc. étaient gays. Voir une tendance
homosexuelle dans le moindre nu académique (si tel est bien l’idée des
commissaires) est évidemment absurde
. Ce qui nous paraît regrettable, à
défaut même d’être scandaleux, c’est la désinvolture avec laquelle tout
cela est organisé. Ainsi, le tableau de Jean Delville, L’École de Platon (ill.
5), semble un tableau « homosexuel ». Mais commandé par l’État pour le
décor de la Sorbonne (jamais mis en place), exposé au Salon des Artistes
français en 1898 puis accroché au Musée du Luxembourg, son histoire et
sa symbolique ne peuvent évidemment se réduire à cela. Il montre des
hommes nus, voilà semble-t-il la seule raison pour laquelle il est
accroché ici. L’histoire de l’art attendra."

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1 commentaire

  1. Les nombreuses œuvres montrant des femmes nues seront-elles accrochées pour une exposition temporaire dans un grand musée, au motif que leur nudité indiquerait qu’elles sont lesbiennes, ou machin chose ?
    L’obsession homophile qui s’empare du monde de l’art n’a plus de limites, et c’est normal, puisque c’est obsessionnel.
    Dans cet environnement comment éduquer les jeunes à l’histoire de l’art ?

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