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Immigration

Roms : la France paie des aller-retours

Lu dans Présent du jour :

"Hortefeux prévoit que 700 Roms seront raccompagnés dans leur pays d’origine d’ici la fin du mois. Faites ronfler les moteurs ! Pour inciter à ces retours consentis, dits « retours humanitaires », le gouvernement offre à chaque volontaire une prime de 300 euros, plus 100 euros par enfants. […] Dans ces conditions intéressantes pour eux soixante-dix-neuf nomades ont paraît-il accepté d’emblée leur billet de retour, a triomphalement annoncé le ministre de l’Immigration, Eric Besson. Précisant : « C’est le 25e charter depuis le début de l’année vers la Roumanie et la Bulgarie. En 2009, 44 charters ont été organisés et 10 000 Roumains et Bulgares expulsés. » Effectivement : à raison de 15 000 aides au retour délivrés l’an dernier, et autant en 2008, « ce sont près de 18 millions d’euros qui ont déjà été distribués en deux ans ». A ce rythme il va falloir prélever sur chaque contribuable français un impôt Rom. Ou une taxe du retour…

Les candidats sont d’autant plus partants que pour la plupart d’entre eux il s’agit d’un aller-retour. Un petit commerce lucratif parmi tous ceux, légaux et illégaux, qu’exercent les Roms. Celui-ci leur permet en outre d’aider la famille ? Dans Le Figaro de mercredi un policier raconte : «Récemment, nous avons arrêté un Rom qui avait été ramené en Roumanie en avion, après avoir empoché les 300 euros. Là-bas, un Bucarest-Paris en car coûte 60 euros. Il n’a pas fallu une semaine pour que l’intéressé soit de retour en France. Accompagné de quatre cousins à qui il avait offert le trajet grâce à son pécule !» La prime au « retour humanitaire » ou la multiplication des Roms chez nous…

Ces gens-là se moquent évidemment de nous. Mais comment leur donner tort quand les premiers à se payer notre tête, et celles de nos policiers, ce sont avant tout les responsables politiques. Cette farce onéreuse se passe, rappelons-le, sous un gouvernement élu, entre autres promesses, sur celle de réguler l’immigration et de lutter contre l’invasion clandestine. Mais en sous-main il subventionne quasiment certains de ces clandestins avec des primes au retour devenues, et pas seulement pour les Roms, des sortes de rémunérations intermittentes et quasi régulières. Y a bon la France…"

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