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France : Société

Programmes d’histoire à l’école : toujours plus à gauche, toujours moins de France

Des tables rondes sont organisées ce matin à la Sorbonne pour travailler sur les programmes d'histoire au collège. Le Figaro interrogeait Hubert Tison, le président de l'Association des professeurs d'histoire-géographie, qui critique la composition des tables rondes, où l'on compte nombre d'intellectuels "très orientés idéologiquement", notamment la table la plus "sensible" (à laquelle son association n'a pas été conviée), qui s'intitule «L'histoire dans les programmes: science sociale, récit ou roman national ?».

Orientée à gauche de la gauche, on ne peut rien attendre de positif de ces rencontres, phagocytées par des adeptes de la lutte des classes et de l'idéologie pédagogiste. Bref, une fois de plus le gouvernement va passer en force, écrasant tout sur son passage, et principalement l'identité française, malgré l'opposition virulente d'un bon nombre d'historiens, intellectuels et politiques, baptisés dédaigneusement "pseudo-intellectuels" par Najat Vallaud-Belkacem (l'Express) :

"Certains fustigent aussi une tendance à la "repentance", jugeant trop grande la place accordée aux pages sombres de l'histoire de France, au détriment des périodes glorieuses. 

"Tout ce qui rappelle tant les racines chrétiennes de la France que le fait national (conflits, annexions de provinces, traités entre États) se trouve passé sous silence", a déploré dans Le Figaro Patrice Gueniffey, directeur d'études à l'École de hautes études en sciences sociales (EHESS).  

Ces programmes portent "une forme de culpabilité nationale qui fait la part belle à l'islam, aux traites négrières, à l'esclavage et qui tend à réinterpréter l'ensemble du développement de l'Occident et de la France à travers le prisme du colonialisme et de ses crimes", a renchéri Pierre Nora auprès du Journal du dimanche."

Un "tchip" pour NVB ?

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7 commentaires

  1. Un “tchip”???????? [Toutes mes excuses, j’ai oublié le lien : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/06/le-tchip-ce-petit-bruit-pas-du-tout-de-chez-nous.html -MB]

  2. Pourquoi parlerait-on de la France à l’école de la République quand c’est l’anti-France qui gouverne ?

  3. Merci au Salon Beige et à Lois Spalwer de nous rappeler régulièrement l’histoire de France et du monde.
    Que les parents s’emparent régulièrement de cette rubrique pour aider leurs enfants à se construire en dehors des camps de rééducation que sont devenues nos écoles.

  4. Le parti de l’Etranger est au pouvoir en France, rien ne peut venir d’intéressant ni d’utile de ceux qui depuis plus de 40 ans ont jeté l’enseignement plus bas que terre, si l’on en croit les multiples enquêtes scientifiques qui en tant que marxistes matérialistes devraient leurs convenir puisqu’inattaquables.

  5. Oui, et certains argumentaires (bien mollement contestés) que j’entendais ce matin sur Radio Notre-Dame étaient consternants. Pourquoi sous prétexte de “débat démocratique”, donner la parole à ceux qui sont en fait des chevaux de Troyes dans l’enseignement catholique et des adversaires de la France en tant que Fille Aînée de l’Église?

  6. Ce changement idéologique vis à vis de l’histoire est malheureux mais :
    – les faits sont têtus et raconter des balivernes ne fait pas l’histoire, les enfants à l’âge d’homme ne sont pas dupes.
    – ensuite, l’efficacité de l’éducation nationale est tellement nulle que cela ne représente pas un grand danger.
    Quand elle n’est pas capable d’apprendre simplement à des enfants à lire écrire et compter, l’éducation nationale sera encore moins capable d’enseigner une matière exigeante comme l’histoire.
    [J’aimerais pouvoir penser comme vous mais les résultats sont là : l’Education nationale est incontournable sauf pour une poignée, et sa nullité doublée de son dogmatisme idéologique a déjà fait des dégâts énormes. Quand vous n’aimez ni lire ni écrire parce que vous ne maîtrisez pas ces techniques, vous n’allez pas vous plonger dans de vrais livres d’histoire pour tenter de rétablir une vérité dont vous ne soupçonnez même pas qu’elle a été altérée. Le danger est la décérébration volontaire de nos enfants; notre génération est déjà touchée mais c’est pire encore pour ceux qui nous suivent. “Ils” ne racontent pas forcément de balivernes, mais donnent une interprétation systématiquement idéologique des faits historiques , ce qui est pire, car le mensonge est moins facilement détectable, surtout par des enfants sans recul ni décryptage à la maison. “Ils” politisent tout ce qu’ils touchent. Pour ma part, je trouve cela très grave. MB]

  7. La France est occupée par des voyous peints par eux-mêmes comme étant de braves gens.

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