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France : Société

Hordes de voyous à la Techno-parade

T C'est FDesouche qui a révélé, avant tous les médias, les violences perpétrées lors de la Techno-Parade samedi à Paris. La presse est ainsi obligée de reconnaître que l'ambiance a été un peu gâchée… 38 individus ont été arrêtés et 34 ont été placés en garde à vue. L'audition de nombreux voyous, principalement issus des quartiers chauds de banlieue, s'est poursuivie tout le week-end.

C'est sur Twitter que l'information s'est répandue. On y lisait ces messages :

  • "On est enfermés dans un magasin Chevignon»,
  • «Merci les racailles pour les émeutes à Bastille !»
  • «J'aime pas du tout ce que je vois dans les rues de Bastille…»,
  • «Baston sur la ligne 5 à Bastille direction Bobigny.»

Les vidéos laissées sur les blogs sont tout aussi explicites. On y voit de véritables hordes d'individus encapuchonnés, dont beaucoup de grands ados d'origine africaine, intimider des badauds et fondre sur la foule. Les groupes de voyous s'en prenaient aux passants, hurlant à chaque charge pour les intimider. La police a pu compter sur place au moins 200 «individus à risque», venus des cités de Seine-Saint-Denis et d'ailleurs, dans l'intention évidente de dépouiller les individus isolés dans la fête, distribuant des coups à la volée, arrachant des mains les téléphones portables imprudemment sortis. Néanmoins, le préfet de police de Paris avait déployé un important dispositif d'agents en civil, au moins une centaine, mêlés au public. Sans compter toutes les escouades d'agents en tenue et de CRS postés le long du trajet.

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10 commentaires

  1. 100 flics en civil qui « coxent » une trentaine d’individus… sur au moins 200 ?
    Ça fait une arrestation pour 3 flics en civil (je ne parle pas de ceux en uniforme) et moins de 15% des auteurs de délits qui ont été identifiés qui sont donc arrêtés… le tout sur plusieurs heures d’émeute, pardon, d’incidents.
    Donc, l’efficacité de la police française est à la hauteur de la politique du même nom : nulle.

  2. Cette efficacité nulle est voulue et organisée depuis des années par nos traitres de politiciens !
    Rappelons-nous toujours de ce qu’avait écrit fort justement Jean Raspail, dans :
    ” La Patrie trahie par la République ”
    J’ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d’un colis piégé. Difficile de l’aborder de front sans qu’il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C’est pourtant l’interrogation capitale. J’ai hésité. D’autant plus qu’en 1973, en publiant Le Camp des saints, j’ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites.
    Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu’«ils sont chez eux chez moi» (Mitterrand), au sein d’une «Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes» (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu’au basculement définitif des années 2050 qui verra les «Français de souche» se compter seulement la moitié – la plus âgée – de la population du pays, le reste étant composé d’Africains, Maghrébins ou Noirs et d’Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l’islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer (1).
    La France n’est pas seule concernée. Toute l’Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas – rapport de l’ONU (qui s’en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment -, mais ils sont systématiquement occultés et l’Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l’Europe des Quinze est l’un des phénomènes les plus sidérants de notre époque. Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l’incurie des «gouvernances» et qu’il lui faudra affronter dans son âge d’homme…
    Sans compter que les «Français de souche», matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l’homme, de «l’accueil à l’autre», du «partage» cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites «antiracistes», conditionnés dès la petite enfance au «métissage» culturel et comportemental, aux impératifs de la «France plurielle» et à toutes les dérives de l’antique charité chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que de baisser les frais et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule «citoyen» du Français de 2050. Ne désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français – et pas nécessairement tous de race blanche – qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération. Cela ne leur sera pas facile.
    Face aux différentes «communautés» qu’on voit se former dès aujourd’hui sur les ruines de l’intégration (ou plutôt sur son inversion progressive: c’est nous qu’on intègre à «l’autre», à présent, et plus le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte – je cherche un terme approprié – d’une communauté de la pérennité française. Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore.
    Cela ne plaira pas. Le clash surviendra un moment ou l’autre. Quelque chose comme l’élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés. Et ensuite?
    Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l’ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait l’espèce française et n’annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom. Ce processus est déjà amorcé.
    Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu’en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans une sorte de Reconquista sans doute différente de l’espagnole mais s’inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné. Son auteur n’est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j’en suis sûr…
    Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France (évitons le qualificatif d’éternelle qui révulse les belles consciences) sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé. Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l’Etat (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces «intelligents» qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l’organisme encore sain de la nation française.
    Même si je peux, à la limite, les créditer d’une part de sincérité, il m’arrive d’avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot renégat, mais il y a une autre explication: ils confondent la France avec la République. Les «valeurs républicaines» se déclinent à l’infini, on le sait jusqu’à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d’abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’idéologie, idéologie avec un grand «I», l’idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde.
    Parmi le flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l’étendue des dégâts. Elle est extraite d’un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003: «Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République…»
    Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure: «Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie.» (Président Boumediene, mars 1974.)
    Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse: «Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée.»
    (1) Le délicat iman de Vénissieux, en vertu du jus soli, a engendré à lui seul seize petits citoyens français.
    Le Figaro, 17/06/2004 ( Série : « Qu’est-ce qu’être français aujourd’hui ? » )

  3. Pour info, le second lien de l’article est vide (est ainsi obligée de reconnaître).
    Bonne journée!
    [Merci. Lien réparé. MJ]

  4. Attention dans la citation de l’Apocalypse, le sens de “investir” est en français celui de : “encercler pour couper les communications avec l’extérieur.”
    Et nullement de “envahir”.
    http://fr.thefreedictionary.com/investir
    Pour preuve la vulgate
    “8 Et ascenderunt super latitudinem terræ, et circuierunt castra sanctorum, et civitatem dilectam.” “Circuierunt” donc “encercler”.
    http://vulsearch.sourceforge.net/html/Ct.html
    Je crois d’ailleurs que l’Eglise condamne le “concordisme”, littérature qui tâche de relier les événements actuels avec les prophéties officielles.
    Cela dit bien sûr on peut prendre le texte de monsieur Raspail comme de la littérature, et de la très bonne littérature, mais pas une prophétie.
    L’avenir ? Personne ne le connaît, seul Dieu le connaît et ceux à qui Il veut bien le révéler.
    “L’avenir ! l’avenir ! mystère !” (Victor Hugo, “Les chants du crépuscule”)
    http://fr.wikisource.org/wiki/Napol%C3%A9on_II

  5. L’article du Figaro cité est un festival de mauvaise foi, et un bel indicateur de la situation.
    D’un côté, Le Figaro joue sans honte son rôle d’organe de propagande du pouvoir, avec une prose digne de la Pravda :
    ” «Aucun incident grave», mais trente-huit arrestations malgré tout.”
    On ne sait pas bien si Le Figaro cite les organisateurs ou la police avec ces guillemets, mais déjà on semble nager en pleine contradiction.
    “La dernière Techno Parade à Paris, samedi, dans le quartier de la Bastille, a fourni l’éclatante démonstration de la réactivité des forces de l’ordre dans la capitale.”
    Voilà un début d’article tout à faut objectif et pas du tout brosse à reluire. Les forces de l’ordre sont “réactives”, leur démonstration a été “éclatante”, on croirait lire le bulletin interne de la préfecture de police. Je ne suis pas sûr que les jeunes filles giflées par les voleurs soient bien d’accord avec cette analyse.
    “L’audition de nombreux trublions, principalement issus des quartiers chauds de banlieue, s’est poursuivie tout le week-end, en attendant les inévitables déferements au parquet.”
    Pourquoi inévitables ? Comment le journaliste le sait-il ? L’article a été écrit par la préfecture ?
    “La police a pu compter sur place au moins 200 «individus à risque», venus des cités de Seine-Saint-Denis et d’ailleurs, dans l’intention évidente de dépouiller les individus isolés dans la fête, distribuant des coups à la volée, arrachant des mains les téléphones portables imprudemment sortis.”
    “On est enfermés dans un magasin Chevignon.”
    “Baston sur la ligne 5 à Bastille direction Bobigny.”
    Aucun incident grave, comme on voit. 200 types terrorisent une foule entière, volent des portables, frappent les passants, les obligent à se réfugier dans des magasins, déclenchent des bagarres dans le métro, mais “c’est pas grave”. Habituez-vous. C’est l’état normal des choses, en France, en 2010. “Que vous le vouliez ou non”.
    “C’est que les bandes ont trouvé à qui parler, ce jour-là, à la Bastille.”
    La Pravda, toujours. La police était peut-être là, mais les incidents “pas graves” ont bien eu lieu, si l’on en croit l’article lui-même.
    “«Certains avaient bu, ce qui a conduit à quelques débordements, heureusement vite maîtrisés», assure au Figaro un responsable à la préfecture.”
    C’est la faute à l’alcool, voilà qui crève les yeux. Pas du tout au racisme anti-français.
    On notera aussi qu’un “responsable à la préfecture” semble considérer l’alcool comme une circonstance atténuante. C’est nouveau. Je suppose toutefois que cela concerne uniquement les Africains violents, pas les automobilistes ordinaires.
    “Des policiers du «9-3» connaissant bien leurs ouailles étaient aussi présents.”
    L’humour de 1950 pour décrire la situation de 2010. Le Figaro bien en phase avec son époque.
    “«Après le drame survenu en Allemagne, où la dernière Love Parade de Duisbourg a donné lieu à un mouvement de foule qui fit vingt et un morts en juillet dernier, les autorités en France se devaient de monter un dispositif conséquent», explique un commissaire parisien.”
    Malhonnêteté ouverte des autorités, rapportée sans un battement de cil par Le Figaro. Le drame de la Love Parade allemande était dû à un piétinement de la foule par elle-même dans un tunnel. Rien à voir avec des agressions délibérées. Aucun tunnel à Paris.
    “{Le dispositif policier]fut d’autant plus efficace que le public n’était pas aussi nombreux que prévu : 30 000 personnes selon la Préfecture de police (300 000 selon les organisateurs), contre au moins 100 000 l’an dernier.”
    Bah oui, c’est clair, l’efficacité fut évidente. Quant à la désaffection massive du public, ne serait-elle pas dûe, par hasard, aux ratonnades anti-Blancs de l’an passé ?
    “Par petits groupes, les voyous étaient promptement conduits dans des cars pour rejoindre les locaux de la Préfecture de police, avant d’être auditionnés un par un.”
    Ah ! Ben s’il ont été “promptement” conduits vers les cars, tout va bien, alors. Et ils ont été “auditionnés” ? “Un par un” ? Houlàlà, ils doivent être morts de peur. Voilà qui va leur servir de leçon. Tout ce beau monde va rentrer dans le rang dès demain et accéder à Sciences-Po via la discrimination positive.
    “La Techno Parade 2010 est officiellement un succès. Mais un haut gradé de la police met en garde : «Ces moments festifs attirent désormais systématiquement les prédateurs.»”
    Ca ne fait jamais que plusieurs années que nous le savons via des blogs, évidemment “nauséabonds” et “d’extrême-droite”. Les hauts gradés de la police se réveillent enfin. Seraient-ils devenus “d’extrême-droite” eux aussi ?
    On notera le grotesque de cette conclusion qui se contredit elle-même : comment la Techno Parade peut-elle être un succès, même “officiellement” (d’après qui ?), alors que les autorités ne peuvent plus cacher qu’elle attire systématiquement des “hordes de Noirs” venus pour frapper et voler ?
    Comment peut-elle être un succès, alors qu’elle a été massivement désertée par les Parisiens (trois fois moins de participants que l’an dernier) ?
    En même temps, l’auteur se lâche à un point inimaginable auparavant :
    “De véritables hordes d’individus encapuchonnés, dont beaucoup de grands ados d’origine africaine.”
    On ne peut plus cacher qu’il s’agit d’agressions ethniques menées par des Noirs sur des Blancs. Quant à mettre dans la même phrase le mot “africain” et le mot “horde”, voilà qui jusqu’à présent aurait été considéré comme horriblement raciste au Figaro… et chez les modérateurs de son site.
    On se demande si l’auteur de l’article est tellement illettré qu’il ne se rend pas compte que les contradictions évidentes de son article mettent en évidence son caractère mensonger et propagandiste, ou bien si c’est une façon pour lui d’obéir aux instructions tout en laissant filtrer la vérité.
    Voilà en tous cas un article qui ne fera pas du bien à la réputation du Figaro.

  6. Ca coûte combien, la techno-parade, si on fait l’addition de toutes ces forces de l’ordre en civil ou en uniforme ?
    Au niveau rentabilité, sûr, c’est pas bon.
    A quel niveau peut-on trouver un aspect positif ?
    Mais il est sûrement urgent, en cette période de vaches maigres, de continuer à financer ce genre de manifestation. Cherchez l’erreur…

  7. Belle analyse, d’anthologie pourrait-on dire, de monsieur Marchenoir, qui décrypte la presse pour nous. Merci beaucoup.

  8. Je vous en prie, Monsieur Merlin.
    Notez que le comportement suivant :
    “On y voit de véritables hordes d’individus encapuchonnés, dont beaucoup de grands ados d’origine africaine, intimider des badauds et fondre sur la foule. Les groupes de voyous s’en prenaient aux passants, hurlant à chaque charge pour les intimider.”
    …Se pratique beaucoup aux Etats-Unis, par des bandes de Noirs qui fondent à plusieurs centaines sur tel ou tel quartier, après s’être concertés par téléphone portable, razziant les magasins et agressant les passants. Cela s’appelle une “flash mob”.

  9. “Les groupes de voyous s’en prenaient aux passants, hurlant à chaque charge pour les intimider. Mais à peine ces packs agressifs commençaient-ils à se disloquer que le piège policier se refermait sur eux.”
    Traduction : on les laissait cogner sur les blancs, on les attrapait après. Il ne faut pas perdre les bonnes habitudes.
    SOS-Racisme et le mrap vont-ils se porter partie civile ? Ou considèrent-ils qu’il ne s’agit pas de racisme en cas de racisme anti blancs ?

  10. Je reviens d’un voyage en Russie et l’evidence s’est imposée à moi: à moins d’un miracle la France est morte; là où, en Russie, un peuple fier de sa patrie se redresse à toute vitesse, où la ferveur religieuse peut se voir dans les eglises peuplées de jeunes, à côté de celà la France s’enfonce chaque jour dans des querelles steriles où l’egoïsme le dispute à la bêtise et conduit notre patrie vers un destin fatal.

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