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France : Politique en France

Crif : un dîner mondain, communautaire, discriminatoire et stérile

Selon Louis Aliot :

"Le Dîner du Crif: Non merci !"

Ainsi donc, le Président du Crif du haut de son autorité morale a jugé qu’avec le Front National, il n’avait pas les mêmes valeurs ! Et ô combien a-t-il raison de le dire car c’est un honneur de ne pas participer à ce dîner mondain, communautaire, discriminatoire et stérile.

Comme l’a si bien dit l’adjoint au maire de Neuilly : « Le Crif ne représente plus personne, et son fonctionnement n'est pas démocratique »…« Le Crif a cessé d'être le représentant des juifs auprès des politiques, pour devenir le représentant des politiques auprès des juifs. Je trouve pathétique ce défilé d'élus, qui ne veulent pas qu'on leur reproche de ne pas y être allés.»

Je pense en effet comme le philosophe et académicien Alain Finkielkraut, que ce diner s’apparente à un « tribunal dînatoire où les membres du gouvernement français comparaissent devant un procureur communautaire ».

Bref cette situation serait risible si nos compatriotes juifs n’étaient pas aussi souvent des victimes dans la France socialiste et « républicaine ». De ce point de vue là, l’action lobbyiste et intéressée du Crif est un échec complet. Selon le SPCJ, 808 actes antisémites ont été enregistrés en 2015 contre 851 l’année précédente, les Juifs ne représentant que moins de 1% de la population alors qu’ils sont la cible de près de 50% des violences racistes.

Mais alors qui sont les agresseurs ? Monsieur Kukierman a déjà répondu à cette question. En 2015 il déclarait que « toutes les violences antisémites sont commises par des jeunes musulmans » ! Ces propos auraient été sans nul doute poursuivis par la police de la pensée s’ils avaient été proférés par un élu du FN.

Une chose est certaine, si en matière de politique étrangère, d’immigration sauvage, d’antiracisme instrumentalisé ou de lutte contre l’islamisme radical on avait écouté le Front National, nous n’en serions pas là !

Il y a des coupables et aussi des responsables. Nous ne sommes ni les complices des uns, ni les amis des autres. Il reste que la défense de « nos valeurs », monsieur Cukierman, aurait peut-être pu empêcher le pire…Et nos compatriotes, de toutes origines, le savent!"

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