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Pays : Russie

Nouvelles preuves sur les laboratoires biologiques en Ukraine

Nouvelles preuves sur les laboratoires biologiques en Ukraine

Par exemple cet article du site américain BioPrepWatch du 18 juin 2010, qui a été… supprimé du site, mais que l’on peut retrouver par WayBack et que l’on trouve au milieu de la revue de presse du même jour d’un site de l’armée de l’air américaine, informant que le sénateur Dick Lugar se félicite de l’ouverture de l’Interim Central Reference Laboratory à Odessa :

« Le laboratoire de biosécurité de niveau 3, qui est le premier construit sous l’autorité élargie du programme de coopération Nunn-Lugar de réduction des menaces, sera utilisé pour étudier l’anthrax, la tularémie et la fièvre Q ainsi que d’autres pathogènes dangereux. »

L’ambassadeur de Russie à l’ONU a expliqué que des laboratoires auraient été

«financé et supervisé directement par la Defense Threat Reduction Agency du département américain de la Défense, y compris dans l’intérêt du National Center for Medical Intelligence du département américain de la Défense». «Nos militaires ont appris des détails du projet UP-4, réalisé dans les laboratoires de Kiev, Kharkov et Odessa. Son objectif est d’étudier la possibilité de propagation d’infections particulièrement dangereuses par les oiseaux migrateurs, y compris [la forme] hautement pathogène de la grippe H5N1, dont la létalité chez les êtres humains atteint 50%, et également la maladie de Newcastle. Un autre projet réalise des recherches sur les chauves-souris en tant que vecteurs d’agents potentiels d’armes biologiques».

D’après lui, seraient étudiés dans ces laboratoires des pathogènes bactériens et viraux pouvant être transmis des chauves-souris à l’homme, tels que la peste, la leptospirose, ainsi que les filovirus et les coronavirus.

«Comme c’est attesté par les documents de projet, les Etats-Unis ont activement financé des projets biologiques en Ukraine. Des expériences ont été menées pour étudier le transfert de maladies dangereuses par les ectoparasites – les poux et les puces. Même les non-spécialistes comprennent que de telles expériences sont parmi les plus imprudentes, car elles ne permettent pas de contrôler l’évolution ultérieure de la situation».

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