Partager cet article

Religions : L'Islam

Normal

2Le tueur de Sousse, en Tunisie, était un jeune homme normal, d’une famille musulmane normale. Il n’avait jamais enfreint les lois, il aimait la  « breakdance » et il était étudiant à l’Institut supérieur des études technologiques de Kairouan.

Partager cet article

18 commentaires

  1. Je ne comprends pas ce que cela démontre (je ne vois pas le rapport avec le refrain du “pas d’amalgame”) ?

  2. Bravo pour les perroquets qui répètent “padamalgam”. Une vraie trouvaille !

  3. il faudrait savoir, un coup ils sont “normaux”, un coup ce sont des “déséquilibrés”, le discours médiatique est de plus en plus confus. Et si c’était un musulman “normal” , alors tout le discours suivant lequel les islamistes n’ont rien à voir avec l’islam devient caduc…

  4. La religion n’ a rien à voir avec la barbarie, répétent les media en boucle.
    Tiens donc, depuis des siècles on entendait le contraire.
    Ah, mais c’ était le catholicisme…nous dira Peilhon.
    Bref, il n’ y a que ” l’extrême -droite ” qui a à voir avec la barbarie.

  5. Le terme normal est totalement impropre.
    L’utiliser pour qualifier cet assassin est anormal.
    En quoi ce criminel est il normal ?
    Parce qu’il est en short et tshirt noir ?
    C’est court, très court comme raisonnement. ce raisonnement est anormal.
    Ou alors Normal premier va dégainer à Saint Tropez et flinguer tous les bobos.
    C’est vrai que Normal premier est tout sauf normal.
    Le premier qualificatif qui le définit c’est : incapable.

  6. @chère petite Fleur,
    c’est de l’ironie: un jeune musulman tout-à-fait “normal” qui aime la “breakdance”, comme beaucoup de jeunes, s’est “subitement transformé” en barbare islamiste!
    D’où: “musulman normal”= terroriste islamiste! CQFD

  7. « Il n’y a pas d’islam modéré, il n’y a que l’islam, et il n’y a qu’un seul islam », Erdogan, président de la Turquie candidate à l’UE…

  8. Selon les éléments rapportés par la presse tunisienne : Il est un passionné de football – ardent supporteur du Real de Madrid et du Club africain de Tunis.
    Sa page Facebook (fermée depuis l’attaque de Sousse) diffuse principalement des messages islamistes à partir du début 2014, rapporte Hedi Yahmed, rédacteur en chef du site d’information Hakaekonline et auteur d’un ouvrage (« Sous la bannière du vautour », non traduit en français) sur la mouvance djihadiste tunisienne. C’est l’époque où Seifeddine Rezgui commence à fréquenter les milieux salafistes de Kairouan, une ville restée fière de son prestigieux passé de centre de rayonnement de l’enseignement coranique en Afrique du Nord.
    Alors que sa page Facebook ne trahit plus aucune ambiguïté en 2014 au fil de messages glorifiant l’Etat islamique (émergeant en Irak) et appelant au djihad, il n’attire pas pour autant l’attention des autorités. Est-ce parce qu’il change à nouveau de comportement ?
    « On ne peut exclure qu’il pût s’agir d’une tactique », spécule Mongi Khadraoui.
    La dérive franchit à l’évidence un cap supplémentaire. Selon Hedi Yahmed, citant une source sécuritaire, Seifeddine Rezgui aurait été en contact avec Yassine Laabidi, l’un des deux assaillants du Musée du Bardo. A-t-il séjourné comme lui dans un camp en Libye pour y subir une formation qui expliquerait le sang-froid professionnel qu’il a manifesté lors de la tuerie de Sousse ?
    Son passeport n’indique aucune sortie du territoire, ce qui n’exclut pas pour autant l’hypothèse d’un séjour clandestin. Quoi qu’il en soit, une connexion libyenne demeure hautement probable. « La kalachnikov a dû lui être fournie par un groupe lié à la Libye » dit un diplomate occidental.
    « Deux différences apparaissent, décrypte Hedi Yahmed. La première est que le combat quitte la montagne pour descendre en ville. La seconde est que seuls les étrangers sont désormais visés tandis que les Tunisiens sont épargnés afin de ne pas se couper de la population »
    Seifeddine Rezgui, Mohamed Merah, Mehdi Nemmouche, les frères Kouachi, Yassin Salhi ou Dzhokhar Tsarnaev TOUS des gentils…petits soldats qui ont appris à dissimuler !

  9. Breakdance, rap : curieux cette proximité des musulmans radicaux avec la culture urbaine des USA encensée par la gauche qui en a fait la nouvelle culture du prolétariat en révolte contre les “puissants” et autres conservateurs.

  10. Il existe cependant des politilogues lucides encore invités par les médias aux ordres, tel Gilles Képel ce matin sur FCult qui n’a pas hésité à parler de gouvernement défaillant voire de faute dans la gestion de ces faits de guerre en France.

  11. “Il n’avait jamais enfreint les lois, il aimait la « breakdance » et il était étudiant”, bref c’était un agent dormant…

  12. Je suis assez d’accord avec Fleur (du moins je pense), je trouve que le padmalgam tombe un peu à l’eau étant donné que les tunisiens sont quasiment tous musulmans… Du coup c’est tout de même difficile de ne retenir que l’islam comme critère distinctif !

  13. Assez d’accord avec Fleur

  14. Il s’appelait Seif ed Din, Sabre de la Religion, comment s’étonner.

  15. @N.B et A.L.
    certes les tunisiens sont ” tous” musulmans ; premier anachronisme !
    Vexés dans leur véritable identité et croyance , j’en attends des manifestations monstres à l’égal de celles qui ont suivi “Charlie”
    D’autant plus que cela va accroitre leur misère !
    mais surtout padamalgam
    Les initiateurs de cette formule n’attendaient pas que cela revienne si vite dans le gueule!
    Le terme “nauséabond” aurait du leur suffire ,Non? mais il commence à être éculé

  16. Camp d’entraînement en Libye…
    Était-ce le cas sous l’ancien régime de Lybie ???
    On dit merci qui ? Merci Notrancienpréz !!!
    Mais le nouveau ne fait pas mieux…

  17. il était trés gentil, de la graine qui obtient le bobard d’or

  18. @ Tol : « Il s’appelait Seif ed Din, Sabre de la Religion, comment s’étonner. »
    Puisqu’on fait dans les prénoms du type « sabre », il y a aussi celui-ci :
    « Le 16 septembre Wahiba Ribéry accouchait du premier fils du couple, dont on ne connaissait pas encore le prénom. Converti à l’Islam depuis 2006, le footballeur souhaitait comme son épouse, lui donner « un prénom musulman ».
    Dans une interview accordée au site allemand TZ Online, Franck Ribéry a révélé le petit nom : « Seïf, Seïf el Islam ». C’est mignon. Mais, détail surprenant ce prénom est aussi celui d’un des fils de Mouammar Khadafi, (et signifie le glaive de l’Islam). »
    http://www.voici.fr/news-people/actu-people/franck-ribery-son-fils-a-le-meme-prenom-que-celui-de-kadhafi-424848

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services