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Culture de mort : Avortement

Multiplication des recherches sur des enfants avortés

Le Dr Thomas Sardella, employé par une université britannique, s'est vu proposer un travail par un groupe de recherche de San Diego, aux Etats-Unis, concernant un programme de recherches qui devait porter sur un prélèvement de tissus sur un bébé avorté à huit semaines de gestation. Son employeur le mit devant ce choix : accepter de travailler avec
l’équipe de San Diego ou voir son contrat avec l’université s’achever. Il a refusé le chantage :

« Comment aurais-je pu regarder ces cellules dans le microscope et
oublier qu’elles avaient été prises sur un enfant en même temps qu’on
lui avait pris sa vie ? […] Comment me persuader moi-même que ces êtres humains de 8 semaines
n’avaient pas le droit de vivre, et que ma carrière, mon salaire et ma
famille étaient plus importants que leurs vies ? Alors j’ai décidé de
perdre mon emploi
. »

Quelques temps après, l’université lui a
proposé un nouveau contrat, qui comportait lui
aussi une recherche sur les cellules d’enfants avortés de 10 à
13 semaines de gestation. Sardella refusa. Il ajoute :

« Par la suite je n’ai pas pu réagir à nombre d’offres d’emploi en
Grande-Bretagne et ailleurs car elles affichaient clairement que les
recherches à accomplir porteraient sur des cellules souches
embryonnaires ou sur des tissus prélevés sur des embryons avortés. J’ai
été choqué par leur nombre !
Peut-être est-ce lié à la crise financière ?
Peut-être plus de mères acceptent-elles que leurs enfants soient
utilisés pour la recherche ? Je n’en sais rien, mais je peux vous dire
qu’il y a sept ans, ni moi ni mes amis ne rencontrions ce type de
recherche. »

Il a finalement trouvé un poste qui lui proposait des recherches ne portant pas atteinte à la vie.

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