Très belle analyse d'un Suisse :
"Le mondialisme s’inscrit dans le prolongement de la destruction de la chrétienté. Il est le produit de la convergence des forces antichristiques ( essentiellement kaballo-gnostique et maçonnique) pour détacher le temporel du spirituel. Dans cette optique, il fallait impérativement détourner la France de sa vocation de sœur aînée de l’Eglise. Tant que la France se conçut comme ayant une vocation spéciale dans la défense de la foi, elle restait ( même défigurée par le gallicanisme) un obstacle insurmontable pour les partisans protestants et maçons de la République Universelle ( nom originel du gouvernement mondial).
C’est bien pour cela que la Révolution française marque un tournant décisif. Car par elle l’Eglise a été frappée cruellement. Privée de son ancestrale allié, elle est entrée dans sa passion, livrée au déchaînement de ses ennemis, au point qu’ils sont parvenus à s’établir maissivement en son sein.
Pourtant la mission de la France n’est pas achevée" (suite).