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France : L'Islam en France / France : Politique en France

Macron a-t-il promis des circonscriptions aux islamistes ?

Toujours mal à l'aise et ne condamnant jamais l'appel de l'UOIF à voter pour Macron, les proches d'Emmanuel Macron cachent-ils des promesses faites aux islamistes en vue des législatives? Ce long article, qui mérite d'être lu dans son intégralité, soulève beaucoup de questions et laisse planer le doute. Extraits :

4.pngIl a fait quelques trucs radicaux, c’est ça qui est compliqué, mais c’est un type bien Mohamed. Et c’est pour ça que je ne l’ai pas viré !» expliquait Emmanuel Macron, hors antenne, le vendredi 14 avril 2017, sur la radio Beur FM, pour défendre Mohamed Saou,  son ex-référent du Val-d’Oise. Ce dernier avait dit, sur sa page Facebook en septembre 2016 : «Je n’ai jamais été et je ne serai jamais Charlie». Reprenant à son compte un slogan islamiste post-attentat de Charlie Hebdo, à l’image d’un certain Tariq Ramadan qui n’a jamais été «ni Charlie, ni Paris» : le fameux «ni, ni» des islamistes (…)

Cependant, le cas de Mohamed Saou est-il un cas isolé au sein du mouvement d’Emmanuel Macron ? Ce candidat à l’Élysée serait-il, ou pas, « dans les mains des islamistes » ? Est-il le candidat préféré des Frères musulmans ? Hormis la présence anecdotique signalée de l’islamiste Soufiane Iquioussen, dans une réunion d’ «En Marche !» à Bouchain dans le Nord, alors qu’il soutenait Benoît Hamon (!), dans ce qui suit, d’autres cas troublants seront dévoilés : de la commune de Oignies dans le Pas-de-Calais, à Bordeaux dans le Sud-Ouest, jusqu’à Mulhouse dans l’Est, en passant par Paris, des soutiens d’Emmanuel Macron, des islamistes (ou au service inconscient de l’islamisme conquérant) s’appellent : Noureddine Aoussat, Rachid El-Kheng, Yanis Khalifa, Yaman Mahfoud, et la meilleure pour la fin, une certaine Fatima Jenn  et ses principaux soutiens : Anouar Sassi et Aziz Senni (…)

19.pngPar ailleurs, d’autres noms pourraient même bénéficier de l’investiture d’ «En Marche !» pour les législatives. Difficile de faire un tour vérificatif des 577 circonscriptions. D’autant plus qu’Emmanuel Macron n’a pas encore révélé la liste complète de ses candidats, comme promis. A ce jour, sauf erreur de ma part, seuls 14 noms sur 577 ont été dévoilés. Plus encore, à en croire un récent article du Figaro, «les investitures ne seraient pas nécessairement rendues publiques la semaine prochaine» (…)

En attendant, ce qui est certain, c’est que des candidats pour les législatives, notoirement islamistes, soutenant Macron ou pas, sont déjà dans les starting-blocks, ici où là. Ils sont jeunes adultes, issus de la frérosphère et s’appellent : Yassir Louati, Jimmy Parrat, Jamel Oufqir, Hanan Zahouani, Abdelkrim Marchani, Samy Debah, etc. D’autres candidats issus du parti islamo-turc, le «Parti Egalité et Justice», proche de l’AKP d’Erdogan, pourraient présenter des dizaines de candidats, revendiquant leur communautarisme, comme aux départementales de 2015.  Par conséquent, le risque de voir quelques islamistes occupés des sièges au Palais Bourbon, au nom de la diversité, lors de la prochaine législature, est bien réel. «En Marche !», comme d’autres formations, pourrait leur offrir cette opportunité tant rêvée, tel un Cheval de Troie qui s’ignore dans la complaisance (…)"

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