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Culture de mort : Avortement

L’Occident corresponsable du génocide des filles en Inde

Lu sur C-Fam :

"L’élimination
massive des petites filles en Inde par le biais de l’avortement
sélectif et de l’infanticide peut être mis sur le compte des programmes
coercitifs institués sur le fondement des prévisions alarmistes des
démographes, des agences de l’ONU, et des militants de l’avortements des
pays riches, dont les Etats-Unis.

« L’avortement
sélectif pratiqué en raison du sexe, une politique violente, vile et
délibérée, et imposée au monde par le mouvement favorable au contrôle
des populations et à l’avortement, n’est pas arrivé par accident »,
déclarait Chris Smith, député américain siégeant au sous-comité du
Congrès sur l’Afrique, la santé mondiale et les droits de l’homme.

La
séance sur les affaires étrangères à la Chambre des représentants
abordait le thème « les filles qui manquent à l’Inde ». Les députés se
sont penchés sur les pratiques discriminatoires et sur les conséquences
du taux de répartition des sexes faussé dans la population indienne. Ce
taux fait suite à 37 millions de morts de petites filles, partagés entre
les d’avortements et les infanticides de nouvelles-nées
par leur mère
ou un membre de la famille.

[…] Dr.
George a demandé aux députés américains d’empêcher les entreprises
américaines de faire des profits sur les pratiques sélectives de l’Inde
.
Il visait par exemple les publicités de Google, qui fait la promotion
du tourisme de la sélection sexuelle
. Des témoins ont affirmé que
General Electric avait vendu des milliers d’appareils à échographie aux
cliniques privées
, alors que la sélection sexuelle est illégale dans les
hôpitaux publics.

Pour
comprendre comment l’avortement sélectif s’est répandu dans le monde
entier, Matthew Connelly, professeur à l’Université de Columbia, a
conduit une enquête sur les politiques inspirées par le mythe de
l’explosion démographique, popularisé par le biologiste de Stanford,
Paul Ehrlich. Ehrlich avait appelé de ses vœux le développement de
techniques pour définir le sexe de l’enfant qui permettraient de faire
décroître la population. Cela a permis l’ouverture du premier
département sur la reproduction dans une faculté de médecine indienne.
Celui-ci était financé par les fondations Ford et Rockefeller
.

Le
président du Population Council de l’époque, Sheldon Segal, avait
encouragé les médecins indiens à déterminer le sexe du fœtus dans le but
de faire réduire le nombre de naissances
. Des programmes démographiques
coercitifs ont été ensuite administrés par la fédération du planning
familial, le Fonds de l’Onu pour la population et l’autorité
administrative américaine USAID.
[…]"

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