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Homosexualité : revendication du lobby gay

LGBTXXX : nous vivons une époque épatante

Dans la chronique des cinglés, j'apprends qu'il y a eu un "incident" la semaine dernière à la Gay Pride de Londres, le 7 juillet.

"Tout a commencé lorsqu’un groupe de femmes lesbiennes ont réussi à prendre la tête du défilé avec une bannière accusant les actives « transgenres » de vouloir les détruire :

GaypridePour elles, le problème est si grave qu’elles appellent désormais toutes les lesbiennes à ne plus participer à aucune manifestation « LGBT » comme la Gay Pride !

Explications

Les « activistes transgenres » sont les personnes qui revendiquent le droit pour les femmes qui le souhaitent de se déclarer hommes, et vice versa, mais aussi de changer de statut sexuel à volonté (pour devenir bi, indéterminé, neutre, etc.). Mais cela pose, selon ces lesbiennes féministes, plusieurs graves problèmes pratiques qui vont contre le droit des femmes lesbiennes :

1) « Les lesbiennes disparaissent »

Le premier problème est que l’activisme transgenre ferait, selon elles, disparaître les lesbiennes. En effet, chaque fois qu’une femme lesbienne change de genre pour devenir homme, le couple anciennement constitué de deux femmes lesbiennes devient un banal couple constitué d’un homme et d’une femme ! Cela fait donc deux lesbiennes qui disparaissent, puisque la lesbienne qui reste en couple avec une femme devenue homme ne peut plus être authentiquement désignée comme lesbienne !! Mais ce n’est pas leur seul motif de colère. Le second va au-delà des questions de principe :

2) Les lesbiennes qui veulent devenir hommes subissent des procédures médicales « mutilantes », « inutiles », « homophobes » et « misogynes »

Ces femmes, qui militent au nom des valeurs du féminisme et du lesbianisme, accusent les militants transgenres de promouvoir :

« la transition médicale des lesbiennes et le recours à des médicaments dangereux (bloqueurs d’hormones non testés, Lupron, etc.) ainsi que des opérations chirurgicales non nécessaires sur des corps de femmes parfaitement sains. »

Les traitements hormonaux et la chirurgie transgenre peuvent provoquer, dénoncent-elles, de dramatiques mutilations chez les femmes, surtout lorsqu’elles rejettent dans un second temps leur identité « trans ». Ces « traitements » ne sont pas du tout des façons de guérir, affirme Max Robinson, une femme de 21 ans qui s’était précédemment identifiée comme homme, et qui regrette aujourd’hui d’avoir pris des hormones mâles et de s’être fait amputer des seins. Les hormones pour changer de sexe prises après la puberté peuvent provoquer de graves problèmes de santé. Prendre de la testostérone à haute dose pour une femme augmente le risque de kyste ovarien et provoque une modification irréversible des cordes vocales. Ces lesbiennes féministes estiment donc qu’il s’agit d’« une forme d’abus médical misogyne contre les lesbiennes. » Pourquoi, en effet, pousser une femme lesbienne à devenir un homme, si ce n’est parce qu’être une femme serait problématique ? Et pourquoi vouloir créer des spécimens nouveaux du genre « homme » oppressif ? Les efforts des militants transgenres s’apparentent donc selon elles à une attaque pour détruire l’identité homosexuelle et lesbienne mais aussi une atteinte au combat des féministes pour promouvoir le droit d’être une femme.

3) Certains transgenres exagèrent (et on se demande s’ils ne se moquent pas du monde !!)

Enfin, ces femmes relèvent un problème nouveau, dont le grand public évidemment n’était sans doute pas conscient. Accrochez-vous :

Elles s’inquiètent de la multiplication des cas d’hommes hétérosexuels qui s’identifient comme femmes lesbiennes. Ce sont des « transgenres » d’un nouveau genre, justement. Des hommes qui restent hommes, gardent leurs parties génitales, mais déclarent qu’ils sont des « femmes lesbiennes » et ainsi…. revendiquent le droit de prendre comme partenaires sexuelles des femmes lesbiennes !! Cela paraît incroyable mais pourtant, le principe même des transgenres est que chacun est libre de déclarer l’identité de genre qu’il souhaite, sans aucune restriction. Selon eux, rien ne doit donc interdire à un homme de se déclarer lesbienne. Moyennant quoi, ces personnes « forcent les lesbiennes à accepter le pénis comme un organe sexuelle féminin, et ainsi promeuvent l’accouplement entre des parties génitales mâles et femelles comme une forme de sexualité lesbienne. » On ne saurait évidemment accepter un tel scandale !!

Le maire de Londres entre dans la bagarre

Le maire de Londres Sadiq Khan, qui défilait à la Gay Pride a virulemment pris position contre ces femmes, qu’il accuse de « transphobie ». « La Gay Pride consiste à célébrer les différences et la formidable communauté LGBT+ de Londres », a déclaré son porte-parole au journal Pinknews. « Cela consiste à montrer aux gens du monde entier que dans notre belle ville, vous êtes libre d’être qui vous avez envie d’être et aimer qui vous avez envie d’aimer. La grande majorité des personnes présentes à la manifestation d’aujourd’hui respectent et soutiennent cela, et le Maire condamne la petite minorité qui ne le fait pas. »"

L'OMS a retiré l'homosexualité des maladies mentales en 1990. On se demande bien pourquoi.

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11 commentaires

  1. Il n’en reste pas moins que, comme elles ont compris le danger mortel que constitue la GPA, les lesbiennes sentent confusément que l’homosexualité (qui est d’abord masculine. L’homosexualité féminine stricte étant rarissime) est d’abord une guerre faite à la femme. Les deux témoins martyrisés sur la place de Sodome et l’Egypte en Apocalypse 11 sont suivis du Dragon qui veut dévorer la Femme et l’enfant en Apocalypse 12.

  2. Même en prenant un comprimé de doliprane il est difficile d’aller jusqu’au bout de ces “raisonnements” (si on peut encore parler de raison dans cette affaire).

  3. Plus sérieusement, le fait de faire retirer des parties du corps inutilement d’un point de vue organique (ablation des seins, des ovaires, ou des organes sexuels masculins, …pour une personne en bonne santé), de prendre des hormones qui déstabilisent complètement le corps (que ce soit des hormones sexuelles pour les trans, ou des hormones divers pour les sportifs),est une atteinte au corps, donc à la personne,de quelqu’un, sous informé des conséquences invalidantes définitives, par des milieux scientifiques eux bien informés …
    Tous ces “trans” ont de quoi porter plainte, dans quelques années, contre les équipes chirurgicales qui les ont mutilés, pour des raisons financières et idéologiques.
    Même si on ne peut soutenir le lesbianisme, ou la pédérastie, l’argumentation de ces lesbiennes posent les bonnes questions.

  4. A quand des femmes qui, se déclarant hommes, vont exiger d’intégrer l’équipe de France de foot ou d’autres qui, à l’inverse, vont demander de jouer les tournois de tennis féminins ?

  5. Dommage. Peut-être que si ces personnes avaient rencontré de vrais Chrétiens, elles auraient rencontré le Christ qui leur aurait permis de dépasser leurs souffrances génésiques. Car “dans le Christ, il n’y a plus l’homme et la femme (…). Dans le Christ, vous êtes tous un” (Saint Paul)

  6. Tout ça parce que des hommes voudront faussement revendiquer le droit de se dire etre une femme pour aller , subrepticement et de façon perverse , chouffer d autres femmes dans les douches ou dans les toilettes publiques. Bien vu ! Sauf que , mesdames, ne voulez laissez pas avoir par de tels prétextes gros comme une maison, cachés par une idéologie montée de toute pièce par de gros pervers. Et si ils insistent , mesdames , une bonne main bien leste au coin du nez ou si cela ne suffit pas , un coup de pied bien placé , les ramènera à la realite.

  7. Quand je disais que j’étais lesbien on me prenait pour un fou, maintenant on va enfin me prendre au sérieux!

  8. J’en ai vraiment marre de toutes ces histoires. Pourquoi ces personnes ne se contentent-elles pas de vivre leur sexualité comme elles l’entendent sans l’étaler sur la place publique ?

  9. Le royaume de satan est divisé contre lui même, on ne s’y fait pas de cadeaux ! Le salaire du péché, c’est la mort.

  10. Tout ça pour ça :
    Ich bin ein Berliner (et non un américain),
    Je suis Charlie (et non Jean-Luc)
    Je suis une femme noire (et non un mâle blanc)

    On voit où on en est arrivé avec cette bande de menteurs !
    En ce qui me concerne, je suis moi-même et cela dure depuis ma conception !

  11. Fou rire du début à la fin !

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