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Les finances des partis “à droite” de l’UMP

Le Front national verra sa subvention publique, proportionnelle au nombre de voix, divisée plus que de moitié : il passe de 2,9 millions d’électeurs en 2002 à 1,1 million.

Le MPF avait (financièrement) "un besoin vital d’obtenir 250 000 à 500 000 voix aux légis­latives" (dixit Le Figaro) : il en obtient un peu plus de 300.000 – davantage que les 200.000 de 2002.

Le MNR (inclus dans les 0,39% que le ministère de l’Intérieur qualifie d’ "extrême-droite", il obtient moins de 100.000 voix (276.000 en 2002) – mais surtout, il ne semble pas qu’il dépasse 1% dans plus de 50 circonscriptions (à vérifier : je n’ai pas compté). Dans ce cas, il ne pourrait postuler à aucune subvention publique – ce qui pourrait mettre en cause sa survie.

Henri Védas

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