Dernière mise à jour de cet agenda : mercredi à 22h.
Leur communiqué :
"Voici l'article 7 de la convention internationale des droits de l'enfant signée par la France :
« L’enfant est enregistré aussitôt sa naissance et a dès celle-ci le droit à un nom, le droit d’acquérir une nationalité et, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux. »
Lorsque des politiques et des juges usent de l'argument qu'il faut donner un état-civil français aux enfants acquis comme des marchandises lors d'un trafic sordide commis à l'étranger, ils omettent de dire que l'enfant dispose déjà d'un état-civil à l'étranger.
Lorsque la biologie et ses déterminismes sexués contredisent leurs idéologies insanes, les politiques inventent que les parents d'un enfant peuvent être de même sexe, en faisant fi de la nature.
Lorsque l'individualisme forcené est érigé en dogme et que les politiques, par pur clientélisme, préfèrent ne parler que de droits et jamais de devoirs, les plus faibles, les enfants, perdent ce droit d'être élevés par leurs parents.
Le vendredi 20 novembre, journée internationale des droits de l'Enfant, des Sentinelles se tiendront nombreuses devant le ministère de la Justice place Vendôme pour rappeler l'intérêt supérieur de l'Enfant et son droit à avoir dans la mesure du possible un père et une mère et d'être élevé par eux.
Comme à leur habitude, elles seront pacifiques, silencieuses et bienveillantes. Mais toujours aussi déterminées à demander :
- l'abrogation de la loi Taubira ;
- l'abolition universelle de la pratique des mères porteuses ;
- de réserver la PMA aux seuls cas de stérilité médicale des couples homme-femme.
Il n'est pas indispensable de s'inscrire sur l'événement facebook en bout de lien.
Vous pouvez les rejoindre et vous pouvez inciter ceux de vos amis qui partagent nos convictions de venir aussi …
Des sentinelles"
