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Culture de mort : Avortement

Les lions, les gorilles et les poissons rouges ont plus de valeur que les embryons humains

Alors que l'avortement n'a jamais fait autant de victimes innocentes, ces trois faits divers montrent l'inversion des valeurs dans nos sociétés occidentales :

Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

"CNN titre « Le scandale du zoo ». Il s’agit du zoo de Cincinnati, où un gorille a été abattu pour sauver un enfant qui s’était introduit dans l’enclos et qui était très manifestement en danger immédiat de mort. Pour CNN il y avait forcément une autre solution. Et la chaîne, qui montre aussi une statue de gorille avec des fleurs à ses pieds, met en lien la pétition « Justice pour Harambe » (c’est le nom du gorille). Faire justice, c’est notamment mettre la mère de l’enfant en prison, car elle n’a pas surveillé son enfant et c’est elle qui est donc responsable de la mort du gorille. Sur Twitter les amis des animaux se déchaînent. On peut lire que les beaux gorilles font de meilleurs parents que ces minables humains

Cela s’est produit une semaine après un autre « scandale » : au zoo de Santiago du Chili, un homme s’est jeté nu dans la fosse aux lions (…) et a été sauvé in extremis parce que les employés du zoo ont tué les lions. Et cela aussi a provoqué une vive émotion sur les réseaux sociaux : on a osé tuer ces magnifiques animaux pour sauver un cinglé…"

Lu ici :

"Par amour [sic,NDPC] pour leur poisson rouge nommé Nemo, un couple d'une petite ville au nord de Londres n'a pas hésité à parcourir plus de 200 kilomètres et à l'amener se faire opérer d'une tumeur à l'hôpital vétérinaire de Bristol, sur la côte ouest. Sonya Miles, la vétérinaire qui s'est occupée de Nemo, un poisson rouge de 5 ans, a expliqué à l'AFP mardi que l'opération avait duré 45 minutes, pendant lesquelles il a été endormi et sorti de l'eau afin que la tumeur, presque aussi grande que lui, puisse être enlevée.

"Nous avons eu très peur à un moment donné car son cœur s'est arrêté de battre, mais l'infirmière anesthésiste a réussi à le ranimer", a expliqué Sonya Miles.

Sonya Miles a reconnu que ce genre d'opération n'était pas très fréquent, les propriétaires hésitant à dépenser des centaines de livres – 200 livres, soit 260 euros pour l'opération de Nemo – pour un animal de compagnie au coût modique (…)"

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11 commentaires

  1. Le monde ira mieux quand chacun retrouvera sa vraie place !
    Voici trois exemples qui prouvent que notre société (malade de l’absence de sa référence à Dieu) a perdu le sens et la hiérarchie des valeurs.
    Dieu a placé l’Homme en haut du créé, principal gestionnaire de la Création. La Création a été faîte pour l’Homme et non l’Homme pour la Création.

  2. “les propriétaires hésitant à dépenser des centaines de livres (…) pour un animal de compagnie au coût modique”
    En somme, ce qui fait la valeur d’un être, c’est sa valeur marchande.
    Donc pour un être humain, sa valeur sur le marché aux esclaves.

  3. Il serait plus honnête de signaler aussi que le directeur du zoo a déclaré que ses employés avaient bien fait de tuer le gorille.
    C’était une décision douloureuse, mais qu’il fallait prendre. Quand une vie humaine est en danger, il faut tuer l’animal, a-t-il dit.

  4. La plupart des associations caritatives françaises peuvent vous citer des cas de personnes qui n’ont pas de quoi se loger ni se nourrir dignement et sont capables de pures folies financières pour leurs animaux de compagnie.
    Une personne au RSA qui prend un crédit revolving de 3000 € à un taux de 18% an pour faire poser une prothèse de hanche à son chat âgé (ou tout autre folie), ça existe.
    Quand une personne n’a plus que son animal comme compagnon fidèle au terme d’une vie en ruine, il est parfois difficile d’accepter l’idée de sa mort.

  5. Dans notre coin, des gens ont fait imprimer un faire-part de décès pour leur toutou, et ce, chez un imprimeur. Ils ont choisi dans le même catalogue que celui des faire-parts pour humains. Cela était pour eux tout ce qu’il y a de plus sérieux. Y étaient inscrits les noms de “papa”, “maman”, “frères” et “soeurs” (les propriétaires), le vétérinaire etc. Heureusement, il n’y avait pas de signes religieux ou de phrases du style “priez pour l’âme de notre enfant bien-aimé.”
    La confusion est vraiment immense chez nos contemporains mais sont-ils entièrement responsables avec tout ce que la culture de mort leur met dans la tête à longueur de journée? Ils sont hypnotisés, lobotomisés. Hélas, cela risque de devenir très douloureux le jour où ils seront bien obligés de sortir de cette torpeur doucereuse. (La Vérité blesse)

  6. Sans oublier l histoire des pandas chinois , qui sont mieux dorlottés , coucounés avec des sommes extravagantes que nos SDF , et toutes les petites vies humaines à naître .. Un scandale ! Quelle honte ! Cet argent serait mieux dépensé pour la vie des petits êtres et pour donner à manger à nos français qui n ont pas de chance. Rien à cirer des pendais ! Mais des hommes , oui ! C est révoltant !

  7. Les excès des “amis des animaux” s’observent aussi plus près de nous !
    Ma mère, 92 ans, avait un chien âgé. Son ancienne femme de ménage, X, (qui nous avait avoué dormir avec son propre chien dans son lit) s’était amouraché du chien de ma mère et venait, d’elle-même, le voir tous les jours. Il y a plusieurs mois, observant une semi-paralysie, nous sommes allés chez le vétérinaire qui a prescrit des cachets dopants puissants qui l’ont remis sur pied, mais il nous a prévenus que, la prochaine fois, ce serait la fin. Récemment, le chien était de plus en plus faible, sa fin arrivait avec évidence. Ma mère lui donnait des cachets de Doliprane, 3 fois par jour, sur les conseils de ma soeur médecin spécialiste en soins palliatifs. Mais X ne l’entendait pas ainsi, a menacé ma mère de la dénoncer à la Gendarmerie si elle n’emmenait pas le chien chez le vétérinaire en urgence, a fait intervenir la SPA locale, puis est intervenue auprès de la Gendarmerie…
    De là à euthanasier les humains….?

  8. Ce gorille aurait du être anesthésié, au lieu d’être tué sans doute, mais dans l’urgence, priorité aux humains !

  9. Plus rien ne m’étonne depuis que j’ai vu un calendrier de l’Avent pour chat
    “Chaque jour, le plaisir d’un repas différent”
    (J’ai encore la photo sur mon téléphone)

  10. Bien évidemment les animaux doivent être respectés et il est normal que des liens affectifs se nouent avec les animaux de compagnie.
    Mais attention, la zoolâtries est une idolâtrie pernicieuse, de plus en plus répandue et qui ne glorifie l’animal qu’à mesure qu’elle dévalue l’Humain. D’autant que la frontière homme/animal est niée par tous les darwinolâtres, et la plupart des scientifiques (physicalistes, spinozistes).
    Ce n’est pas pour rien que les idoles antiques étaient généralement des figures animales (cf le “veau d’or”). Très justement, le Saint curé d’Ars prophétisait: “Laissez une paroisse vingt ans sans prêtre : on y adorera les bêtes”. Nous y sommes ; ainsi Peter Singer, dès 1979 (“Practice Ethics” ,Cambridge Univ. Press, p.122, 1ère ed. 1979), affirmait: “Les bébés humains ne naissent pas avec une conscience de soi, ni avec la capacité de comprendre qu’ils existent dans le temps. Ce ne sont donc pas des personnes. C’est pourquoi, la vie d’un nouveau-né a moins de valeur que celle d’un cochon, d’un chien ou d’un chimpanzé.” Peter singer est Pr de bioéthique à Princeton et “The most influential ethicist alive ! ” [Pr./ NY Univ. dixit] !
    C’est aussi cela la “Marque de le Bête”.

  11. @ Irishman
    “Ce gorille aurait du être anesthésié, au lieu d’être tué sans doute, mais dans l’urgence, priorité aux humains !”
    ______________________
    Non, la piqûre n’aurait pas été efficace immédiatement, et l’enfant était en danger de mort.
    Pire, la piqûre aurait pu engendrer une réaction violente du gorille, avant que l’anesthésie fasse effet.
    Ce n’est pas de gaité de cœur que l’équipe du zoo a tué l’animal, il avait 17 ans et devait être un bon reproducteur pour son espèce.
    Mais les professionnels du zoo ont pris la bonne décision, ce n’est absolument pas remis en cause, contrairement à ce que l’on pourrait croire en se contentant des citations de l’article du SB.
    Les pétitions citées émanent d’initiatives personnelles, de personnes non concernées par ce fait divers.

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