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Pays : Etats-Unis

Les femmes contre le féminisme

Le Figaro Madame enquête sur ces jeunes filles qui rejettent l'idéologie féministe :

"Chacune tient une petite pancarte qui débute par « I don't need feminism because…» (traduire : « je n'ai pas besoin du féminisme parce que…»), et le blog égrène des raisons aussi nombreuses que les participantes. Certaines pointilleuses disent préfèrer « l'égalitarisme » au féminisme, ce gros mot. D'autres sortent carrément la tronçonneuse faisant de la lutte égalitaire une entreprise autoritaire d'émasculation générale qui assujetit tout autant les femmes en les victimisant. Au choix. Selon elles, le harcèlement sexuel, les inégalités professionnelles, la culture du viol, le sexisme dans les médias et le patriarcat sont des inventions de personnalités chatouilleuses et mortes d'ennui. Au-delà des arguments discutables que l'on y trouve, le blog Women Against Feminism souligne surtout que le mouvement pour l'émancipation ne trouve pas son public dans la jeune génération."

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3 commentaires

  1. Bien que je sois contre la parité et autres fariboles, on peut concevoir que le féminisme ne trouve pas son public dans la jeune génération précisément parce qu’il n’y a plus rien à revendiquer étant donné que les jeunes filles se considèrent les égales des garçons dans tous les domaines grâce à la lutte de la génération qui les précède.

  2. @ jean Theis
    Le féminisme est une arnaque depuis le départ.
    La “lutte de la génération” blablabla, c’est du pipeau. D’ailleurs je remarque que ça fait maintenant 3 générations au moins que l’on entend ou lit cette expression, ” les luttes de la génération qui précède”.
    Il n’y a pas eu de “lutte”, il y a eu une intox idéologique assortie d’une destruction des protections juridiques des femmes et de la famille, ainsi que d’un envoi massif des femmes vers le marché du travail du bas salariat et de la consommation.
    Autrement dit, ce qui avait été fait aux hommes a ensuite été appliqué aux femmes. Pour que les uns et les autres ne se révoltent pas, il a fallu fournir du confort (consommation) et des croyances idéologiques (thématiques de la libération, où l’élément de langage “lutte” a une place primordiale).

  3. Liberer les femmes pour qu’elles passent la journée à l’usine, au ménage, à la caisse du supermarché? C’est la triste réalité pour beaucoup.. Une nouvelle forme d’esclavage..un élargissement de l’esclavage..Sans compter les transorts..et les enfants trainent dans les rues.
    Quoi, pour acheter une nouvelle télé pour que monsieur regarde le foot, de nouveaux ordi et tablettes qui ne quittent plus les doigts de leurs ados!
    Il y a eu une grosse manipulation pour transformer des êtres pensant en consommateurs abêtis.. avec leur consentement et leur sentiment de victoire. Belle manipulation. OUi il y a des femmes, ingénieur médecins… et c’est bien que la nation profite de leurs compétences pour augmenter son PIB (Dieu sait que nous en avons besoin) mais pour toutes les autres qui n’ont même plus le choix, cette liberté là des femmes est une énorme escroquerie! En plus, on leur montre la séduction sexuelle comme seule activité valorisante! Mais si bienvenue pour les mâles.. Triste pour toutes ces bimbos qui finiront épuisées, en situation précaire..

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