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Homosexualité : revendication du lobby gay

Les Associations Familiales Catholiques appellent à écrire au président de la République

Communiqué des AFC :

"Le premier article de la loi « ouvrant le mariage aux personnes de même sexe »
a été adopté cette nuit par la commission des lois de l’Assemblée
nationale, après le rejet par la même commission des propositions
alternatives d'alliance civile. Le débat que le Gouvernement promet
s’ouvrira-t-il a-t-il malgré tout en séance ? Les nombreux
Français qui ont marché dimanche à Paris connaissent le texte adopté par
le Conseil des Ministres. Les 22 articles suivants vont maintenant être
examinés : 16 d'entre eux visent à retirer de tous les codes concernés
les mots « père », « mère », « mari » et « femme ».
Le
Ministre de la Justice continue d'expliquer que ce n'est pas vrai. De
son côté, le Ministre de l’Education Nationale écrit que "Le Gouvernement s'est engagé à changer les mentalités". Y parviendra-t-il assez vite ?

Les
manifestants savent qu'ils étaient plus d'un million dans la rue ;
aucun correctif n'a été apporté à l'estimation officielle, dont on ne
parle plus, comme si, une fois de plus, "l'incident était clos".

L'exposé des motifs du projet annonce que le texte va ouvrir l'accès à la parenté aux couples de personnes de même sexe par "le mécanisme de l'adoption"; c'est bien le cœur de l'affaire. Les
manifestants affirmaient tranquillement qu'on ne devient pas parent par
un mécanisme, mais par une personne, l'autre, l'autre de l'autre sexe,
par l'union charnelle d'un homme et d'une femme. Ils ont marché
pour l’institution républicaine, pour la justice et la jeunesse. Que
penseront-ils en effet de la liberté, de l’égalité et de la fraternité,
ces jeunes des générations futures dont certains se sauront nés de leur
père et de leur mère, et d’autres s’entendront dire : « toi,
c’est plus compliqué, on ne peut pas te dire de qui tu es né, parce que
la société qui t’accueille aujourd’hui a décidé un jour que tu pourrais
t’en passer
». Suffira-t-il de leur dire qu’on les aime ?

Les manifestants demandaient respectueusement au président de la République de prendre le courage qu’on en débatte. Dans son texte Ce qu'on oublie souvent de dire,
le Grand Rabbin Gilles Bernheim évoque la confrontation de deux visions
du monde. Celle portée par le Gouvernement utilise le mensonge, ce
qu’on prend soin de ne pas dire. Le président de la République
peut-il continuer, par un silence distant, à couvrir de son autorité
cette série de mensonges ?
Il en va de son crédit personnel et de la
suite de son quinquennat, comme il en va de l'unité des Français que,
par deux fois, il vient d'appeler justement de ses vœux. Les Associations Familiales Catholiques appellent le million de manifestants, de France, de l’étranger et de l’outre-mer, à écrire au président de la République : « nous attendons votre réponse »."

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