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Homosexualité : revendication du lobby gay

Les affiches LGBTistes révèlent le grand tabou des rapports contre-nature

Dans Minute, Jeanne Smits évoque l'agence qui a conçu les affiches LGBTistes :

Stories.virtuemart.product.2797_page_01nsp_106"[…] Quelle est donc la société de com derrière cette campagne ? Tout pointe vers l’agence Australie, société familiale qui a déjà vanté Nespresso, E.Leclerc, CIC, l’Assurance maladie. Joints par téléphone, les responsables n’ont pas voulu ouvertement assumer la paternité des affiches, leur client voulant rester, comme ils disent, discret… Mais enfin l’agence Australie a piloté le site sexosafe et réalisé toutes ses illustrations. Alors…

Australie a de la suite dans les idées. Une recherche universitaire sur la communication anti-sida des débuts note qu’au cours des années 1994-1999, l’agence était déjà bénéficiaire des fonds publics pour faire la promotion du préservatif. On partait du sobre, on passait par le flou, les jeux d’ombres, la suggestion, on aboutissait à des hommes évoquant explicitement leurs rapports sexuels. La stratégie a permis, selon l’universitaire, « un desserrement (plus ou moins relatif) des contraintes politiques sur l’élaboration des campagnes grand public ». Tu parles !

Voilà donc le voleur chinois arrivé, sinon au bout du voyage – il est toujours possible de faire pire – à un point de non retour. Les enfants confrontés à ces hommes énamourés n’auront pas le choix de les « dévoir ».

Le sexe gay, ça serait donc dangereux ?

Mais parfois le diable porte pierre. Cette campagne qui vise les hommes qui couchent avec des hommes (comme disent les épidémiologistes) a des airs de mise en garde contre le tabac ou l’excès d’alcool. « Les situations varient. Les modes de protection aussi » : le sexe gay, c’est donc dangereux ? Vaccins, prélèvements, pommades, dépistages, capotes, tests, précautions : c’est tout une pharmacopée, toute une batterie de vérifications qui s’imposent, parce que la maladie, les infections et peut-être la mort sont au bout. Avec le sourire, mais ça tue…

C’est le grand tabou de la « communauté homosexuelle » : parler de statistiques de morbidité et de mortalité précoce parmi cette population, c’est déjà être homophobe. D’autant que tous les vices sont là, bien étalés : les rencontres d’un soir, la multiplication des partenaires, les passes avec des inconnus. On se demande à quoi ils pensaient quand ils exigeaient le « mariage gay »…

Le meilleur pour la fin. Une brève visite sur le site sexosafe livre cette pépite : on y apprend que le renvoi vers ses contenus est autorisé par un lien hypertexte, depuis « tout support, à l’exception de ceux diffusant des informations à caractère polémique, pornographique, xénophobe ou pouvant, dans une plus large mesure, porter atteinte à la sensibilité du plus grand nombre ». Mais c’est comme pour l’égalité, il y a des sensibilités plus sensibles que d’autres."

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