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Culture de mort : Idéologie du genre

L’éducation nationale demande aux collégiens s’ils sont homme, femme ou « autre »

L’éducation nationale demande aux collégiens s’ils sont homme, femme ou « autre »

Cette année, tous les élèves de 3eme doivent passer un test obligatoire d’anglais à partir d’une plateforme privée. Ce test s’appelle Evalangue. Après leur connexion, les élèves doivent remplir leur genre. Il y a les garçons et les filles, et puis les autres, qu’ils soient mi-genre, animaux de compagnie ou non, fer à repasser ou pâte de fruits :

Réaction des Juristes pour l’enfance :

Le Ministère de l’éducation nationale adresse aux élèves de 3ème des collèges français un test d’anglais intitulé « Ev@lang collège ».

Ce test est obligatoire pour les 800 000 élèves de 3ème et compte pour le brevet. Il doit être réalisé par les élèves d’ici le 22 avril 2022.

Lors de leur connexion, les élèves doivent renseigner leur sexe, et pour cela choisir une des trois réponses proposées :

Homme
Femme
Autre
Juristes pour l’enfance demande au ministère de l’éducation nationale la rectification immédiate du test et le retrait de cette troisième réponse « autre ».

Il est en effet inadmissible qu’un test d’anglais soit l’occasion et le prétexte pour véhiculer auprès de jeunes collégiens une idéologie remettant en cause la binarité des sexes et l’existence de deux sexes, homme ou femme, idéologie sans le moindre fondement scientifique et à l’encontre de l’évidence comme de l’expérience la plus commune.

L’obligation de se prononcer dans un contexte incluant la possibilité de choisir un sexe qui ne serait ni homme ni femme mais « autre » est une violence de nature à susciter chez les jeunes sommés de se positionner dans cette perspective doutes, inquiétudes et perte de repères, d’autant plus qu’ils sont sollicités dans le cadre scolaire et que l’idéologie ainsi promue est en quelque sorte validée par l’institution elle-même.

Le fait que, dans des cas exceptionnels, il soit difficile voire impossible de déterminer le sexe d’une personne est une situation d’exception qui, selon la loi, relève de la compétence des centres des maladies rares et ne remet en rien au cause la pertinence de la binarité des sexes.

Juristes pour l’enfance demande ce jour au Ministre de l’éducation nationale de corriger sans délai ce test afin de conformer la question relative au sexe de l’élève tant à ce donné anthropologique de base que les êtres humains sont homme ou femme qu’à la loi française qui ne connait en conséquence que les sexes homme ou femme.

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5 commentaires

  1. Autre ? Sans doute pour “singe”… vu le niveau actuel des établissements de l’Éducation Nationale…

  2. Pour savoir si on est homme ou femme il faut simplement trouver si on est de chromosome “XX” ou “XY” et il n’y pas d’exception !!

  3. Que l’éducation nationale se contente d’enseigner correctement les matières scolaires , principalement le français ,( le niveau est de plus en plus désastreux… ) et ne se mêle pas de ce qui ne la regarde pas ! La sexualité est quelque chose d’absolument personnel , et c’est aux parents d’éduquer leurs enfants à ce sujet .

  4. Je ne savais pas qu’une…”société humaine” pouvait descendre plusieurs degrés en dessous du néant.

  5. Ces s…….. (excusez le terme, mais la langue de bois n’est pas mon truc) ne reculent vraiment devant aucune ignominie ! Ne vous trompez pas de vote les 10 et 24 ,avril !

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