L'abbé Grosjean répond aux questions de Radio Vatican, à la veille du procès de 9 Fem-Haine.
“Le respect des religions n’est pas une option”, même pour les Femen
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7 commentaires
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Daquin
Le bisounoursisme envers les qataro-saoudo-maroco-algéro-verts non plus n’est pas une option.
Gisèle
Surtout depuis ce soir , 20h où on a vu sur TF1 un reportage de louanges pour ces […] ! HONTEUX !
Ils veulent nous mettre à bout ? […]
José
Bonjour,
Indépendamment de ce que dit l’abbé Grosjean, je ne comprends pas pourquoi cet Abbé Grosjean truste tous les commentaires et auditoires : n’y a t-il pas d’autres voix dans l’Eglise ? Qui a fait de cet abbé une voix “autorisée” ?
[Ce sont les médias. Leur fonctionnement ne favorise pas la diversité des “experts” : il faut trouver un interlocuteur dans la journée, dont on ait les coordonnées, qui accepte volontiers de répondre, et qui s’exprime bien, en peu de mots (pour respecter les formats vidéo, audio…) L’abbé Grosjean est donc appelé dès qu’un sujet touche l’Eglise.
L.T.]
DUPORT
Ce que les Français attendent c’est que les Femen soient renvoyées chez elles où la justice de leur pays les attend.
Et également qu'[elles] ne souillent plus nos timbres.
Certes cette [femme suspectée de prostitution] symbolise parfaitement le régime de notre dictateur d’opérette et le mépris profond qu’il a des femmes mais ce n’est pas une raison pour l’imposer aux français !
LB
Soros-Femen un outil de la subversion mondialiste.
mm
@ José,
pourquoi cela vous gêne t-il ?
Cet abbé est courageux et ne parle pas la
langue de bois que pratique trop souvent le clergé moderniste !
Il faut des prêtres disponibles pour donner des réponses éclairées sur les sujets brûlants actuels.
eljojo
Pas de souci sur le fond, sur la forme en revanche…
En effet, me référant à Philippe Maxence appelant à ne pas répondre à la subversion par une autre subversion, je m’interroge devant le choix fait de subvertir le mot “FEMEN”.
Autant je récuse leur idéologie, autant je pense que nous n’avons pas à aller sur leur terrain qui est celui de la provocation et de la caricature.
Nous pouvons dire que leur discours est vecteur de haine, qu’il dénature l’image de la femme, mais nous ne pouvons pas les assimiler à la haine elle-même.
Seul le démon peut se targuer d’une telle qualification, mais en ce qui concerne les humains vivant ici bas, les choses sont toujours mêlées.
Jugeons les actes, et non les personnes ! Sinon nous serons nous-mêmes jugés, et Dieu sait qu’à la mesure de Sa perfection nous serons toujours perdants.