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France : Société

Le préfet du Mans censure Romeo Castellucci

Cette semaine, la pièce Sur le concept du visage du fils de Dieu de Romeo Castellucci a été jouée à deux reprises aux théâtres jumelés les Quinconces-L'Espal du Mans. Ces représentations ont été amputées de leur scène finale, sur demande de la préfecture de la Sarthe.

Dans cette fameuse scène de douze minutes, des enfants portant des sacs à dos lancent des grenades factices sur un portrait géant du Christ d'Antonello di Messina.Réagissant à plusieurs courriers d'associations catholiques, le préfet de la Sarthe, après avis de la Direction départementale de la cohésion sociale, a décidé d'interdire aux enfants d'interpréter cette scène. Dans un communiqué, la préfecture précise :

"Considérant l'âge des enfants retenus pour la prestation et les caractéristiques de la scène à laquelle les mineurs devaient participer, le préfet de la Sarthe a refusé cette autorisation d'emploi par un arrêté préfectoral. Cet arrêté n'a pas vocation à interdire cette scène durant le spectacle, il vise uniquement à préserver les mineurs qui auraient dû y participer".

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9 commentaires

  1. A quand une scène de lapidation de Mahomet, lequel n’était qu’un homme ?

  2. Utiliser des enfants d’un environnement chrétien pour en final voir la face du Christ pleine d’excréments, c’est en fait pousser les gens à l’antisémitisme. Car pour les juifs, Jésus est en enfer entrain de bruler dans un chaudron plein de merde. D’où aussi le Pisschrist….
    L’auteur de la pièce ne se disait-il pas inspiré de la Cabale ? Le Préfet a donc eu raison de tout faire pour ne pas envenimer les haines. D’autre part, il serait peut-être temps que le judaïsme fasse aussi son ménage et supprime tout ce qui est de cet ordre ou de vision globaliste, avec les Gentils devenant leurs esclaves comme cela est indiqué dans leur Torah.

  3. La Préfecture de la Vienne avait déjà refusé la participation des enfants à l’une des scènes de la pièce en 2012.
    Le scénario est simple ! Un homme âgé a perdu le contrôle de ses intestins. Au fond de la scène du théâtre d’un blanc immaculé, se trouve une immense reproduction du magnifique visage du Christ peint par Antonello de Messine. Peu à peu, le sol se recouvre de la diarrhée du vieil homme. Son fils qui a de la tendresse pour son père vient trois fois le « torcher ». Le père humilié se lamente. A la fin, le fils n’en pouvant plus se dirige vers l’image du Christ pour l’embrasser sur les lèvres. Mais le vieux père voit les choses différemment. Puisque le Christ ne peut rien pour empêcher sa déchéance, il va se révolter contre lui si on en juge par le geste qu’il va faire. Montant derrière l’image du Christ grâce à un escalier, il répand ses matières fécales qui s’écoulent d’un œil déchiré, tandis que l’image ne cesse de se déformer avant d’être découpée par des hommes habillés en noir « qui représentent, les forces du mal ». S’il n’y avait pas eu l’image du visage du Christ sur la scène et la controverse espérée par l’auteur, personne n’aurait payé 30 euros une place pour assister à un scénario nul qui consiste à voir un vieillard déféquer sur scène sans retenue, et à sentir de mauvaises odeurs quand il est censé répandre ses matières fécales sur le visage du Christ. A Avignon, on l’entendait rire d’une manière sardonique pendant qu’il montait l’escalier derrière l’image du Christ, et que se déversait ce liquide représentant ses selles liquides ! Ce rire diabolique a toutefois été supprimé pour les représentations de la pièce à Paris et à Rennes ! Pourquoi ? La scène qui se jouait à Avignon où des enfants envoyaient des grenades factices contre le visage du Christ, pendant qu’on entendait les explosions en bruit de fond, fut elle aussi supprimée à Paris mais rétablie à Rennes. Pourtant l’enfant innocent qui entend parler de Jésus est naturellement attiré par lui ! Il ne lève pas la main contre une image de Jésus ou un crucifix ! On ne peut même pas leur trouver l’excuse d’agir dans l’inconscience de leur âge. Ils savent très bien contre qui ils lancent des grenades puisqu’apparaît ensuite, au milieu de la phrase « You are my shepherd » : (Tu es mon berger), bien lisible sur l’écran, la présence plus sombre et clignotante de la négation « not » qui annule tout : « You are not my shepherd ». C’est un refus de se laisser conduire par le Christ.
    Bref, à travers le geste de ce vieil homme désespéré, c’est d’abord le cri de révolte de Satan contre Dieu : « Christ, je t’emmerde ». Et même si la restitution de la beauté de l’image apparaît à la fin, signe qui peut être interprété comme l’espérance en la Résurrection, ce geste du vieillard est un pur désespoir, un pur blasphème contre l’amour du Père, un pur déni de sa toute Puissance dans le monde ! On sait que Castelluci a comme maître à penser Antonin Artaud qui fut lui-même influencé par les doctrines gnostiques et kabbalistiques. Dans sa pièce Genesi, jouée pour la première fois, le 5 juin 1999, au festival d’Amsterdam, puis en France au festival d’Avignon, le 8 juillet 2000, et enfin au théâtre de l’Odéon, le 19 octobre 2000, Castelluci présente une Genèse mystique, que l’on trouve dans le Gnosticisme, la Kabbale et les Rose-croix. Ici l’acte de création n’est pas celui de l’amour, mais une terrible erreur. Dans une interview il précisait sa vision de l’art. Pour lui « l’Ange de l’art, c’est Lucifer », « L’art devient nécessaire quand on n’est plus dans le paradis », « Mon spectacle Genesi n’est pas uniquement la Genèse biblique, mais c’est celle qui met au monde (en scène) ma prétention rhétorique de refaire le monde : elle met en scène les aspects les plus vulgaires de mon être : l’artiste, celui qui veut voler à Dieu le dernier et le plus important des sepiroth ». Or les sepiroth, au nombre de 10, sont les dix éléments de base de la numérologie kabbalistique hébraïque, et censés être la totalité des faisceaux de l’intelligence divine !

  4. Le Talmud est la transcription de la tradition orale juive. Ouvrage fondamental du judaïsme, il est destiné à servir de code du droit canonique et, aussi, du droit civil.
    Les juifs se plaignent souvent de l’image que donnent d’eux à la fois l’Évangile et la doctrine chrétienne. Mais quelle image trouve-t-on, par exemple, de Jésus Christ dans le Talmud ?
    Cette image est atroce. A lui seul, le sort réservé à Jésus après sa mort fournit un exemple de ce que le Talmud raconte sur ce qui est pour eux le « faux Messie » :
    Au premier siècle de notre ère, [dit le Talmud] un certain Onkelos, fils de Kalonikos [ou Kolonikos] et de la sœur de l’empereur Titus, envisagea de se convertir au judaïsme. En conséquence il décida d’évoquer par la nécromancie les ombres de trois ennemis jurés des juifs : Titus, Balaam et Jésus. Titus avait ruiné Jérusalem en l’an 70 ; Balaam avait été un prophète mésopotamien envoyé par le roi Moab pour maudire les Hébreux ; Jésus avait été un « faux Messie ».
    Aux trois, Onkelos posa la même question : « Qui, dans l’autre monde, est tenu dans la plus haute estime ? » Tous trois répondirent : « Israël. » Et Jésus, pour sa part, conseilla à Onkelos, à propos des juifs : « Recherche leur bien-être, ne cherche pas à leur faire de mal. Quiconque les touche touche à la prunelle de ses yeux. »
    Puis, à chacun des trois, Onkelos posa une autre question : « Quelle est votre punition ? »
    – Titus lui répondit que, chaque jour, ses cendres étaient rassemblées, faisaient l’objet d’une condamnation, étaient brûlées à nouveau et, enfin, répandues sur les sept mers.
    – Balaam lui répondit qu’il était plongé dans du sperme en ébullition.
    – Jésus, pour sa part, lui répondit qu’il était plongé dans des excréments en ébullition.
    Bref, le visage du Christ plein de merde, en fait lancée par d’innocents enfants chrétiens, quelle jouissance pour un adepte du Talmud.

  5. Les livres sacrés juifs citent souvent les excréments !
    2 Rois 6:25 : Il y eut une grande famine dans Samarie; et ils la serrèrent tellement qu’une tête d’âne valait quatre-vingts sicles d’argent, et le quart d’un kab de fiente de pigeon cinq sicles d’argent.
    2 Rois 18:27 : Rabschaké leur répondit: Est-ce à ton maître et à toi que mon maître m’a envoyé dire ces paroles? N’est-ce pas à ces hommes assis sur la muraille pour manger leurs excréments et pour boire leur urine avec vous?
    Ézéchiel 4:12 : Tu mangeras des gâteaux d’orge, que tu feras cuire en leur présence avec des excréments humains.
    Ézéchiel 4:15 : Il me répondit: Voici, je te donne des excréments de boeuf au lieu d’excréments humains, et tu feras ton pain dessus.
    Malachie 2:3 : Voici, je détruirai vos semences, Et je vous jetterai des excréments au visage, Les excréments des victimes que vous sacrifiez, Et on vous emportera avec eux.

  6. Et ce gouvernement mondial que la Torah demande, avec plus qu’une seule religion, ce n’est pas gagné. Le christianisme se fera automatiquement avoir car la takiya existe aussi bien dans le judaïsme que dans l’Islam.

  7. Etait-ce un hasard si ces excréments sur le visage du Christ avait lieu au départ dans le Palais des Papes d’Avignon ? Les cabalistes sont véritablement des enfoirés ! Et en plus ils utilisaient des enfants contre le Christ ! Qui ne se souvient pas aussi du Piss-christ, toujours dans cette idée que Jésus est en enfer baignant dans de la merde. Franchement ils me dégoutent ! Tant pis si on me traite pour cela d’antisémite.

  8. A Rudi
    Trahison ecclésiastique : rassemblement « islamo-chrétien » au couvent de l’Annonciation des dominicains de Paris
    http://www.contre-info.com
    Le magazine de l’Etat islamique s’appelle désormais « Rumiyah », qui veut dire… Rome.
    https://azelin.files.wordpress.com/2017/08/rome-magazine-12.pdf
    Pourquoi Rome ? Parce que Rome, comme Carthage, doit être détruite ou sinon conquise ! Le prophète Mahomet aurait en effet dit que les musulmans conquerraient d’abord Constantinople (aujourd’hui Istanbul) puis Rome. Une phrase de l’Egyptien Abu Hamza al-Muhajer, qui fut premier ministre de l’Etat islamique après avoir été le chef d’Al Qaida en Irak, figure en exergue de chacun des numéros de Rumiyah :
    « Nous ne nous reposerons pas de notre djihad, sauf sous les oliviers de Rome. »
    La conquête de Rome et la destruction de la papauté et, partant, de la civilisation européenne, est bien la constante de l’Etat islamique, qui en avait fait la une du numéro 4 de « Dabiq » à l’automne 2014. Un montage-photo représentait le drapeau de l’Etat islamique flottant sur l’obélisque de la place Saint-Pierre. Dans le dossier d’une douzaine de pages consacré à la nécessité de conquérir Rome, on trouvait des déclarations comme celle-ci, due à Abou Mohammed el-Adnani, alors porte-parole de l’organisation terroriste, lui aussi mort depuis :
    « Nous allons conquérir votre Rome, briser vos croix et asservir vos femmes », précision étant apportée que cela se déroulerait… « par la permission d’Allah ».
    El-Adnani ajoutait à destination des chiens de mécréants :
    « Si nous n’y arrivons pas, nos enfants et nos petits-enfants y parviendront, et ils vendront vos descendants comme esclaves au marché aux esclaves. »
    Que dit Muhammed Mahdi Akef, le Guide suprême des Frères Musulmans de 2004 à 2010 ?
    “Le but des Frères Musulmans est de créer un état islamique mondial. Nous, les musulmans, nous immigrons partout et il y aura encore un long chemin avant de prendre le contrôle de l’Europe.”
    Mais pourquoi donc ces Dominicains font-ils entrer ces musulmans dans leur église ?

  9. A Haï
    Ces Dominicains travaillent sans doute comme Macron pour les anglo-sionistes. Car les Frères musulmans sont aidés comme les Casques blancs par la Grande Bretagne. Le but est de se débarrasser des catholiques, puis à la fin des musulmans, pour mettre à la place le noachisme. Pour les aider, l’Angleterre rothschildienne a comme allié l’Amérique des néo-cons, qui ne sont que d’anciens juifs trotskistes se basant sur Frank Jacob.

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