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Bioéthique

Le néodarwinisme justifie la culture de mort

Dans un recueil d'articles publiés par La Nef, Le Mythe darwinien, Florence Eibl écrit :

D "Les enjeux de ces questions ne sont pas seulement d'ordre théorique, on le sait. Les problèmes de bioéthique se sont multipliés durant le XXe siècle. Le début du XXIe a été marqué par le fait historique du génome humain. Des manipulations gravissimes se profilent à l'horizon, elles ont déjà largement commencé, et on ne voit pas ce qui pourrait les empêcher d'avoir lieu si ce n'est de retrouver d'urgence le sens véritable de la dignité humaine. Comment des comités d'éthique athées pourraient-ils garantir le respect de la dignité humaine ?"

Ailleurs, on lit aussi :

"Les applications du scientisme néodarwiniste touchent en plein la question de la personne humaine : l'avortement, les recherches sur les cellules souches, les manipulations génétiques, l'eugénisme, le clonage, la procréation médicalement assistée, etc. Si l'évolution est le fruit du hasard et que l'homme, phénomène imprédictible, n'a aucun sens métaphysique, alors l'éthique n'a plus raison d'être ni de servir de guide aux orientations de la recherche scientifique."

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