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Le mois du Précieux Sang

Le mois du Précieux Sang

Reçu du pèlerinage mensuel à Pontmain pour le retour du roi:

Juillet, c’est le mois du Précieux Sang !

Il suit immédiatement le mois du Sacré-Cœur… C’est logique !

Ce Précieux Sang est visible sur le Linceul de Turin, à l’endroit, bien sûr, de chaque blessure du Christ, mais surtout, et avec l’eau qui l’accompagne (auréole plus pâle), à l’emplacement de l’ouverture du flanc droit de Jésus par la lance de Longin.

Là, se trouve l’épanchement total, complet, vu et rapporté par saint Jean sur le Calvaire !

Vivant, le Christ donne son Précieux Sang de toutes ses blessures et par tous les pores de sa peau.

Mort, et reconnu comme tel par ses bourreaux, Il donne encore l’ultime reste de son sang présent dans Son Cœur.

Même mort, notre Dieu et notre Roi de France verse son Précieux Sang ! C’est le fait le plus inouï de la Rédemption et du Salut, parce que manifestation suprême, absolue, manifestation intégrale, parfaite et accomplie de la Miséricorde divine… En fait Précieux Sang et Miséricorde ne font qu’un ; l’un est l’incarnation de l’autre.

A la messe c’est à la Petite Elévation où se produit ce grand mystère, quand le prêtre offre au Père ce summum de l’Amour Divin, car, à ce moment-là, le prêtre tient dans ses doigts le Sacré-Cœur Lui-même, et le calice du Très Précieux Sang qu’il contenait. Si la Grande Elévation est le déploiement et la proclamation du Grand Miracle de la Transsubstantiation, la petite Elévation est l’épiphanie du Sacré-Cœur « Qui a tant aimé les hommes » et celle de l’Unité Trinitaire.

Alors, de la même façon que les repris de justice s’engouffraient dans les églises au cris de « Asile, asile, asile ! » nous devrions tous clamer « Miséricorde, miséricorde, miséricorde ! » à la suite de cet « instant précieux ».

 

  

      Image du Très Précieux Sang

           sortant du Sacré-Cœur

Vivant, le Christ donne son Précieux Sang de toutes ses blessures et par tous les pores de sa peau.

Mort, et reconnu comme tel par ses bourreaux, Il donne encore l’ultime reste de son sang présent dans Son Cœur.

Même mort, notre Dieu et notre Roi de France verse son Précieux Sang ! C’est le fait le plus inouï de la Rédemption et du Salut, parce que manifestation suprême, absolue, manifestation intégrale, parfaite et accomplie de la Miséricorde divine… En fait Précieux Sang et Miséricorde ne font qu’un ; l’un est l’incarnation de l’autre.

A la messe c’est à la Petite Elévation où se produit ce grand mystère, quand le prêtre offre au Père ce summum de l’Amour Divin, car, à ce moment-là, le prêtre tient dans ses doigts le Sacré-Cœur Lui-même, et le calice du Très Précieux Sang qu’il contenait. Si la Grande Elévation est le déploiement et la proclamation du Grand Miracle de la Transsubstantiation, la petite Elévation est l’épiphanie du Sacré-Cœur « Qui a tant aimé les hommes » et celle de l’Unité Trinitaire.

Alors, de la même façon que les repris de justice s’engouffraient dans les églises au cris de « Asile, asile, asile ! » nous devrions tous clamer « Miséricorde, miséricorde, miséricorde ! » à la suite de cet « instant précieux ».

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