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Franc-maçonnerie

Le Grand-Orient peut désormais accueillir des femmes

oui mais pas des catholiques (source). Et même si parfois certains ecclésiastiques ignorent ce jugement de l'Eglise,

"Les autorités ecclésiastiques locales n’ont pas compétence pour se prononcer sur la nature des associations maçonniques par un jugement qui impliquerait une dérogation à ce qui a été affirmé".

Et Mgr Rey vient de rappeler cette règle.

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3 commentaires

  1. Encore une fois, bravo Mgr Rey !

  2. Si seulement elles faisaient un peu le ménage dans ces obédiences.Mais attention garder un secret est parfois plus difficile à nos chère sœurs…

  3. le christianisme catholique, le seul qui procède des Apôtres et du Sauveur sans interruption ni rupture, a plus fait pour le respect et le rôle de la femme que tout autre système de pensée depuis les temps immémoriaux :
    C’est lui qui a aboli la polygamie (avec son cortège de harems et d’esclavage domestique), la répudiation (qui ramenait la femme à un statut social dégradé et humiliant), l’inégalité de dignité (« Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. » Galates 3:28 St Paul).
    C’est le christianisme qui a magnifié la figure de la femme, souvent au détriment des hommes : saintes femmes au pied de la Croix quand les hommes se terraient ou trahissaient, sainte femme essuyant témérairement le visage de Jésus portant le gibet (tradition), saintes femmes courageuses au tombeau recevant les premières la révélation de la Résurrection et la portant aux Apôtres prostrés…
    Pas une épître de Saint Paul où le salut final cite nommément des frères qui n’exalte aussi la mission de femmes dans les premières communautés : « Phébé la diaconesse » première citée au final de la grande épître aux Romains « Recevez la d’une manière digne des saints. Assistez la en toute affaire. Elle est venue elle-même en aide à beaucoup de gens et à moi-même » puis « Marie qui s’est donnée beaucoup de mal pour vous » « la très chère Persis » « la mère de Rufus qui est aussi la mienne » (elle fut probablement l’épouse de Simon de Cyrène dont St Marc désigne les deux fils « Rufus & Alexandre » Mc 15,21) « Julie » ; « Priscille » (1 Corinthiens).
    Est il besoin de parler de la très Sainte Vierge et de sa suréminente place dans l’Église dès les premiers temps et sans cesse ? La première des créatures comblée de grâce comme aucun homme ne le fut et ne le sera (excepté Jésus dans sa sainte Humanité).
    Durant toute son histoire l’Église catholique fut la SEULE à accorder à la femme le statut élevé et la place, souvent illustre et déterminante que la société maintenait en retrait.
    Notre Église est donc irréprochable sur ce point.
    Les femmes seront-elles appelées un jour au sacerdoce ?
    1. D’abord est ce une revendication partagée largement par les femmes ? permettez moi d’en douter.
    2. Le sacerdoce est il une promotion (donc une récompense ou une faveur) dont les femmes seraient exclues par discrimination ? le sacerdoce est un service auquel Dieu appelle (cela se nomme la vocation du verbe « vocare » =appeler). Dieu appelle qui il veut, lui ferons nous la leçon ?
    3. Jésus Christ qui a institué le sacerdoce a-t-il appelé des femmes ? s’il ne l’a pas fait devons nous le faire ? que devient alors la parole de St Paul, normative, «Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même du Christ. » I Cor 11,1.
    Si nous devons imiter le Christ, pouvons nous le corriger ? Pouvons nous corriger Dieu dont l’infinie sagesse dépasse notre nature ? Pouvons nous soupçonner que l’Église qui est le Christ aujourd’hui (même Lumen Gentium n°7 le rappelle: « Dans son corps (du Christ), c’est-à-dire dans l’Église ») erre dans cette règle maintenue ?
    Il faut avoir l’esprit brouillé par la pernicieuse philosophie des « droits de l’homme » pour considérer que l’accession au sacerdoce est un droit dont on prive les femmes.
    Notre Église a toujours fait aux femmes une place insigne, ne sont elles pas elles aussi l’Église ?
    En est il autant dans d’autres institutions se prétendant héritières des « Lumières » et du « progrès » (Franc maçonnerie) ou dans des religions actuelles que la faveur des media ne discute jamais ?
    Si notre Église avait attendu le XXI° siècle pour admettre les femmes dans nos sanctuaires que n’aurait-on entendu ?
    Signe de contradiction notre Mère l’Église ressemble en cela aussi à son divin Fondateur, ce n’est pas son plus petit titre de fidélité.

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