C'est la bronca sur Tweeter… l'occasion aussi de rappeler que le 15 août est la fête de toute la France. Pas ce pays horizontal avec une gauche et une droite, mais la France verticale, debout, avec Dieu en haut et Son peuple.
La presse de gauche tente de récupérer le 14 juillet
28 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Jacques Bonhomme
Je leur laisse bien volontiers ce jour de honte du millésime 89.
Tiens, souvenons-nous plutôt que les 14 et 15 juillet 1099 les Francs libéraient Jerusalem!
“La Chrétienté récupère une terre byzantine (la Syrie) et chrétienne volée par les Arabes à l’empire byzantin en 638. La récupération de Jérusalem et non “la prise”… – vocable utilisé par l’école de la république pour laisser entendre que ce sont les chrétiens les agresseurs – donnera trois siècles et demi de répit aux Chrétiens d’Orient avant la chute de Constantinople en 1453. ”
jejomau
Bruno Roger-Petit porte très bien son nom. C’est-à-dire avec tout le déshonneur qu’un gauchiste peut y mettre : Bruno est et restera toujours petit…
Loïc
Je ne fêterai pas votre révolution.
On ne célèbre pas le vol, le viol, le crime.
Mais je prendrai le deuil de vos pauvres victimes.
Elles seules ont droit à ma vénération.
Je ne fêterai pas l’espérance trahie
Du peuple demandant l’arbitrage royal
Jusqu’alors rendu juste, équitable et loyal
Mais au nom d’une foi par votre orgueil haïe.
Je ne célèbrerai pas votre intolérance.
Ni vos sacrilèges, ni vos profanations.
Ni les grands mots ronflants de vos proclamations
Prônant la liberté dont vous priviez la France.
Je ne fêterai pas l’infâme Cordelier
Faisant assassiner, par sa triste colonne,
En l’Eglise du Luc, près de six cents personnes
Dont cent cinquante enfants réunis pour prier.
On ne pardonne pas les Oradours-sur-Glane
Et vous seriez fondés d’en tarer les nazis
Si vous n’aviez, chez nous, fait pire aussi
Vous êtes précurseurs, Messieurs, et non profanes.
Quand vous jetiez aux fours, par vous chauffés à blanc,
Les mères, les enfants, les vieillards, les mystiques,
Vous disiez faire le pain de la République…
Mais Amey, mieux qu’Hitler, les y jetait vivants !
Car c’est bien cet Amey, de sinistre mémoire,
L’un de vos généraux prétendu glorieux,
Qui fut l’instigateur de ce supplice odieux…
Vous avez, aussi vous, eu vos fours crématoires.
Et Turreau trouvait tant de plaisir à ces jeux
Qu’il faisait ajouter, quand manquaient les dévotes,
Et malgré tous leurs cris, les femmes patriotes…
Votre fraternité les unissait au feu.
Je ne fêterai pas vos tanneries humaines
Dont votre chirurgien, Pecquel, fut l’écorcheur,
Ni son ami Langlois, de Meudon, le tanneur…
Ni votre grand Saint-Just disant qu’en ce domaine
Peau d’homme vaut bien mieux que celle du chamois
Que celle de la femme plus souple et plus fine…
Vous étiez sans culottes, alors ça se devine
Vous vous en fîtes faire en peau de villageois.
Quand vous abominez les gardiens sataniques
De l’affreux Buchenvald écorchant de leur peau
Nos morts, les laissant nus en leurs chairs en lambeaux
Avez-vous des remords ou restez-vous cyniques ?
Je ne fêterai pas les enterrés vivants
Dans les puits de Clisson et ceux de mon bocage
Ni du fameux Carrier les célèbres mariages
Voulus républicains mais surtout révoltants.
Attachant l’un à l’autre, une fille et son père,
Une mère et son fils, un prêtre et une sœur,
Et nus, bien entendu, pour que leurs massacreurs
Aient, humiliant leur mort, à rire et se distraire.
Quand, en les entassant dans barques à sabords
On les faisait sombrer dans les eaux de la Loire.
Et le fleuve royal garde encore leur mémoire,
Il apparaît plus triste à l’approche du port.
Je ne fêterai pas, non plus, la guillotine,
Ce symbole attitré de la révolution.
Ce moyen fraternel d’abreuver nos sillons,
Comme vous le chantez d’un sang que moi j’estime.
Je ne chanterai pas votre révolution.
Elle a fait trop couler de sang, de pleurs, de larmes.
De notre vieux royaume elle a rompu le charme
Et fait perdre, au pays, sa noble vocation.
Vous avez tout brûlé, chez nous, châteaux, chaumières,
Etables et clochers. Vous traîniez les enfers
Pour faire du bocage un immense désert
Sans une âme qui vive et sans pierre sur pierre…
Vous n’aviez pas pensé que tout le sang versé
Au terroir de l’amour serait semence vive.
Il germe en attendant nos prochaines métives ;
Il fleurira, demain, épi de liberté.
La liberté de croire en un Dieu qui pardonne.
En un ordre qui met, au sommet, le devoir
Le courage et la foi. Qui veut que le pouvoir
Ne dépende jamais du nombre et de la somme…
Aujourd’hui nous pouvons vous juger à vos faits.
Votre révolution a incendié notre terre.
Elle a porté, partout, la misère et la guerre,
Quand le monde a jamais plus désiré la paix…
Je ne peux pas fêter votre révolution.
On ne célèbre pas le vol, le viol, le crime.
Je porterai le deuil de toutes ses victimes.
Elles seules ont droit à ma vénération
Altaica
ça le sera bientôt, dès qu’il n’y aura plus de défilé. Pour l’instant c’est la seule chose qui fait que la droite s’y reconnaisse un tant soit peu…
c
Dans l’absolu la vérité sort de la bouche de la presse de gauche. Peut-on vraiment parler aujourd’hui d’un peuple français uni sous les mêmes valeurs y compris pour une partie de cette population qui a voté à 93% pour le président de la république, chef des armées françaises?
Le 14 juillet rappelle beaucoup plus aujourd’hui qu’il y a 30-40 ans ce qu’a signifié l’avènement de la République et beaucoup plus de gens pensent qu’il y a un vrai fossé entre les apparatchiks politiques et le peuple français, un décalage de plus en plus important entre les discours officiels et la réalité.
Alors effectivement si le 14 juillet c’est le langue des politiques et de leurs visions de la France, le 14 juillet est en effet leur fête à eux, au delà du clivage dépassé gauche-droite, mais plutôt de celui de la France souveraine contre le mondialiste via l’Europe de Bruxelles (qu’il soit mercantile ou lié financièrement parlant aux “monarchies” du pétrole et des produits énergétiques).
de Saint-Gouard
nous avons à faire à des débiles.Toujours les mêmes critères de guerre civile.
C.B.
“peuple de gauche”???
“vrai peuple de France”?????
“pas le votre” (ce qui sous-entend donc qu’il y a deux “peuples de France”???????
Vivement les documents d’application de la “morale républicaine” annoncée par F.H. hier.
pmc
Merci d’avoir rappelé qu’en effet la vraie fête de la vraie France de toujours est le 15 Août !
Regnum Galliae
Regnum Mariae
Numquam peribit !
picasi
Jen’ai jamais été de gauche et j’ai toujours aimé le 14 juillet , les défilés militaires, les bals de ce jour et les feux d’artifices. Ah j’oubliais ,j’aime tous les français et aussi les étrangers qui aiment la France.
Jean Theis
Ce n’est pas faux… Bien qu’avec le temps, les guerres et les défilés, on accepte que ce jour soit devenu “national”.
En 1789 le seul mot de “nation” était révolutionnaire.
Quant au 15 août, avec la canicule et les congés payés, on imagine mal actuellement une fête autre que religieusement privée.
HB
“La presse de gauche tente de récupérer le 14 juillet”
Ma foi on leur laisse sans aucun problème!
Les seules victoires dont ils sont capables, c’est ce haut fait d’armes à la portée des gamins de 12 ans!
Quels héros de pacotille que voilà!
C’est tout à fait une victoire de petits.
Le bon pdt FH….
Il se promène dans un monde de bisounours, il a oublié de grandir ce journaliste?
Lug
Enfin un zélote de la secte m’explique la signification de “peuple de gauche” ! ce serait, dixit un gourou, “le vrai peuple de France”, des ultra-nationalistes masqués quoi !
Moi, appartenant au peuple de France depuis toujours, sans faux-semblants, sans exclusive ni sectarisme, je pense à lire ça que parfois il faut avoir le courage de se séparer d’un membre gangréné (et parfois il s’agit simplement d’ôter un parasite).
Barbara
FH a rebranché le soleil ?
Très bien, s’il pleut au moment des moissons ou des vendanges, on saura qui est fautif.
antoine
C’est tout a fait vrai. La fête de Gambetta et de la IIIeme république.
C’est la fête d un régime aux principes bien distincts. C est une fête de régime, d’une idéologie révolutionnaire, pas une fête de pays.
C est bien d’identifier les vrais principes et leurs partisans. Ca clarifie la situation et éclaircit les mythes et confusions entretenus depuis si longtemps.
Laissons les donc revendiquer ce qui est a eux et leur coterie. Plus ils se l’approprient et excluent le peuple “non de gauche”, plus ils se coupent de la majorité.
Plume
Peu importe la prise de la Bastille, dont les historiens un tant soit peu honnêtes, reconnaissent qu’elle fut un évènement plutôt pitoyable vu ce qu’il y avait à prendre, et qu’elle fut le début d’une révolution d’une cruauté monstre.
Puisqu’il a son défilé militaire, le 14 juillet devrait avant tout être le jour où l’on rend hommage à nos soldats du passé et du présent. C’est peut-être le seul jour où les Français pensent à leur rendre hommage. Contrairement aux pays anglo-saxons, nous ne savons pas être reconnaissants à tous ces citoyens qui choisissent de mettre leur vie au service de leur pays, jusqu’à donner cette vie (combien d’entre nous participent aux trop peu d’opérations de soutien à nos soldats en opex ?). Le 14 juillet, au moins, ayons au moins une pensée pour eux.
Pellabeuf
Le 14 juillet des gens de droite est celui où l’on approuve l’officier chargé de garder la Bastille : pour éviter un bain de sang, il s’est rendu après avoir obtenu la promesse de la vie sauve pour lui et sa garnison.
Le 14 juillet des gens de gauche est celui où l’on approuve ceux qui n’ont pas tenu cette promesse.
nemo
Quand on relit le récit historique de la prise de la bastille qui fut un mélange de sadisme, d’ivrognerie, de bassesse et de folie démagogique (notament la libération des prisonniers criminels …)
On se dit que Roger (très) Petit a raison : c’est bien le jour du peuple de gauche … et c’est aussi une sorte de retour aux sources !
Mû de Jamir
Bruno Roger Petit, l’homme de mauvaise foi qui a toujours raison, qui sait tout sur tout, qui a tout vécu, etc. Surtout l’histoire d’un homme qui croyait qu’il était journaliste, qui jalousait ses confrères “reconnus”… L’histoire d’un homme qui tweetait 24/24, en donneur de leçons, et qui avait l’impression d’exister en jouant les provocateurs.¨Quelle tristesse. L’histoire d’un homme frustré, qui cherche juste à se faire un nom.
blh
– On imagine un Zemmour, un Ménard, un Sanders énoncer la nouvelle luminosité du vrai peuple de Droite en ce 14 juillet… Pour le coup, la 17e chambre croulerait sous les impétrants de la justice.
– Poème remarquable de Loïc, dont je fais une copie pour le lire plus posément.
Gran
Merci à Loïc …
Votre poème est magnifique et est à diffuser largement.
Replacé illico sur mon site …
C.B.
Ici
http://www.cite-catholique.org/viewtopic.php?p=92511
une indication d’auteur (à vérifier) pour le poème recopié par Loïc.
Ici
http://forums.france3.fr/france3/L-ombre-d-un-doute/genocide-vendeen-sujet_24_5.htm
le même, ainsi qu’un poème de V. HUGO (1922).
Ce poème, dont aucun site ne donne une source détaillée, est repris d’année en année, au moins depuis 2009.
Si un des visiteurs de ce Salon en sait plus, ses informations seront précieuses pour tous.
Ogé
Le jour des gens de gauche : le jour où l’on coupait les têtes à tour de bras.
Fontey
BRP se dit journaliste: il n’est qu’un commissaire politique. Sous d’autres latitudes à d’autres époques, des types de ce genre auraient administré un camp de réeducation.
Loïc
Je souhaiterai effectivement préciser que ce poème n’est pas de moi mais de Pierre d’Angles. Ce dernier l’a composé en 1989.
Je pensais que la signature apparaissait en conclusion de la dernière strophe. Au temps pour moi.
Merci CB de l’avoir précisé. Je n’avais aucunement pour intention de me présenter comme en étant le créateur.
Bruno
La fête nationale du 14 juillet décidée en 1880 commémore la fête de la Fédération de 1790 synonyme d’unité nationale et non celle de la prise de la Bastille de 1789. Déclarer que la fête nationale est le jour du peuple de gauche est un contresens historique et montre une belle ignorance de l’histoire de la part de ces “élites” de gauche.
Frégate
Ne vous trompez pas !
Ne prenez pas l’anniversaire du 14 juillet 1989 ! P
Prenez le 14 juillet 1790. Fête de la fédération où Louis XVI a adopté les 3 couleurs bleu blanc rouge et ou les délégations venues de toutes les provinces se sont fédérées symboliquement en une seule nation.
Lorsqu’on relit les débats, c’est en jouant sur cette date que les députés républicain on fait adopter le 14 juillet comme fête nationale.
Leur propagande a ensuite loué la prise de la bastille. Acte qui n’avait uniquement pour but de mettre la main sur les réserves de poudre et qui complétait celui fait précédemment, encore moins glorieux, la prise des invalide (pour mettre la main sur les armes entreposée là – notamment des canons).
Ne tombons pas sans arrêt dans les vues de la gauche. Les trois couleurs ont été adoptées par un capétien. Elles sont celle du manteau de Saint Martin, de l’étendard de Jeanne d’Arc et de l’ost de saint Denis.
On peut y rajouter un Sacré Coeur en son centre.
PGC
L’Alliance Royale propose comme fête nationale, à la place du 14 juillet porteur de divisions et historiquement très contestable, le 15 août, fête patronale de la France.
Loic
Certes, le 14 juillet commémore cette fausse fête de la Fédération mais le fête de la fédération n’est rien d’autre que la commémoration du 1er anniversaire de la prise de la Bastille.
Mes amis, le 14 juillet, je préfère songer au 14 juillet 1683, entrée de Charles V de Lorraine dans Vienne qui se soldera par la victoire de Vienne le 12 septembre suivant qui nous vaudra la solennité du Saint Nom de Marie malheureusement supprimée par le calendrier réformé ( heureusement conservée par la calendrier traditionnel) et les croissants.