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France : Société

La nécessaire humilité des scientifiques

La nécessaire humilité des scientifiques

De Pierre-Antoine Pontoizeau, pour le Salon beige:

Les thérapies géniques (vaccin) seraient la panacée. Il faudrait croire les médecins, les laboratoires et nos Etats en toute naïveté. Mais une autre actualité mérite toute notre attention. En effet, nos apprentis-sorciers découvrent toutes les limites des antibiotiques. C’est le scandale de l’antibiorésistance. C’est, là encore, l’arrogance et la prétention à court terme, sans oublier l’enrichissement des laboratoires, qui mettent toute la médecine occidentale face à une difficulté majeure : la résistance des agents biologiques aux antibiotiques.

  1. La preuve de l’urgence liée à l’antibiorésistance

Commençons par la preuve de cette urgence. Le CHAM (Convention on Health Analysis and Management, connu pour être le Davos de la santé sur invitation) organisé par l’influent Guy Vallancien – auteur de la médecine sans médecin – a bien pour sujet majeur lors de sa session du 1er et 2 octobre 2021 : comment lutter contre l’antibiorésistance humaine et animale ? Cela prolonge les inquiétudes croissantes des Etats dont la France. Le site du gouvernement est éloquent à ce sujet. Je cite :

« L’accroissement des résistances bactériennes et l’émergence de nouveaux mécanismes de résistance remettent en question la capacité à soigner les infections, même les plus courantes. Ce phénomène, lié à la surconsommation et au mésusage des antibiotiques, est aggravé par l’arrêt de production de certains anciens antibiotiques et l’absence d’innovation conduisant à une réduction de l’arsenal thérapeutique disponible. Il est aussi potentiellement lié à la contamination de l’environnement par des résidus d’antibiotiques et d’autres polluants, qui favorisent l’émergence et la dissémination de bactéries résistantes. L’antibiorésistance pourrait devenir l’une des principales causes de mortalité dans le monde. L’antibiorésistance est un problème universel qui nécessite une action coordonnée associant santé humaine, animale et environnement. L’organisation mondiale de la santé (OMS) a adopté en 2015 un plan d’action global, recommandant aux États d’élaborer un plan national sous le concept d’une seule santé, « One Health ». L’Union européenne a adopté en 2016 une résolution visant à renforcer l’action des États membres. »

On trouve un peu plus loin :

« Parallèlement, les positions de la France seront portées au niveau européen et international afin notamment d’interdire universellement l’usage des antibiotiques en tant que promoteurs de croissance en élevage hors Union européenne (les antibiotiques ne peuvent plus être utilisés comme facteurs de croissance dans l’Union européenne depuis 2006), et de porter au niveau européen un projet de mécanisme d’encadrement spécifique, associé à un modèle économique soutenable, pour le développement de nouveaux produits. »

Le lecteur aura noté qu’on a généralisé par facilité l’usage des antibiotiques jusqu’à saturation des organismes, sans tenir compte des mutations des agents biologiques. Ceux-là sont stables et idiots, c’est bien connu et l’adaptation des espèces ne s’appliquent pas à de si petites choses que Darwin lui-même n’a pas bien inséré dans sa théorie de l’évolution. Les bactéries résistent, diable. CQFD. De plus, nos géniaux médecins et vétérinaires n’avaient pas imaginé que l’antibiotique favorisant la croissance du veau par exemple finissait dans notre assiette puis dans notre organisme. Trop évident pour de si beaux esprits sans doute! Cette première situation invite à un peu d’humilité, mais la suite démontre que la connaissance dépend des intérêts et que la cupidité renverse la table du savoir.

  1. L’histoire d’une économie sacrifiant les autres médecines

Un tout petit peu d’histoire d’abord. Dans la foulée de la découverte de la pénicilline G en 1928 par le biologiste écossais Alexander Fleming, les médecins y ont vu une efficacité redoutable et un espoir de soin – à juste titre à court terme. Les laboratoires ont ensuite pris le relai. Comme le rappelle le Vidal dans son histoire des antibiotiques, « Une nouvelle levure est isolée, Penicillium chrysogenum , qui produit deux cent fois plus de pénicilline que la levure de Fleming. La production industrielle est confiée à plusieurs grands laboratoires pharmaceutiques. En 1941, les laboratoires Pfizer résolvent la difficulté d’une production en grande quantité, grâce à leur expérience de la fermentation en cuves, acquise dans la production d’acide citrique. La pénicilline devient alors un médicament essentiel en cette période de guerre, pour soigner les milliers de soldats blessés. Elle fait son entrée massive en Europe à la faveur du débarquement en Normandie, et devient l’antibiotique majeur, rapidement suivie par d’autres antibiotiques découverts après la guerre (terramycine, chloramphénicol, etc.). »

Mais tout cela s’est fait en sacrifiant des alternatives prometteuses. La cupidité des laboratoires les a incités à convaincre les médecins occidentaux qu’il fallait tout parier sur les antibiotiques et cesser d’investir dans d’autres recherches. Un air de déjà vu par rapport aux alternatives aux thérapies géniques (vaccin) aujourd’hui même. En effet, il existait la phagothérapie, utilisant des virus bactériophages pour traiter des maladies infectieuses d’origine bactérienne. On s’intéresse de nouveau à ces phages connus dès le début du 20e siècle, mais dénigrés dans les années 50 quand les médecins occidentaux et les laboratoires veulent croire que les maladies infectieuses sont définitivement vaincues par les antibiotiques. Or, leur utilisation immodérée va favoriser l’émergence de bactéries multi-résistantes.

Comme l’atteste une intervention au Sénat, le risque de ne plus pouvoir soigner des maladies infectieuses par des antibiotiques fait courir un tel risque sanitaire qu’il est urgent de chercher des alternatives :

« Question orale n° 0696S de M. Yannick Vaugrenard (Loire-Atlantique – SOCR) publiée dans le JO Sénat du 21/03/2019 – page 1476 à l’attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la phagothérapie. La phagothérapie a été inventée à Paris il y a cent ans. Elle consiste en l’utilisation de phages pour le traitement d’infections bactériennes. Elle a cependant aujourd’hui quasiment disparu en France en raison de l’avènement des antibiotiques, jugés plus pratiques et plus efficaces. Pourtant, dès que l’usage des antibiotiques s’est répandu dans les années 1960 à 1980, les praticiens et les chercheurs ont constaté que les bactéries ont la capacité à se transformer de manière à pouvoir survivre à l’assaut d’un ou de plusieurs antibiotiques. Avec 125 000 infections par an et 5 500 décès, la France est le sixième pays européen le plus affecté après l’Italie, la Grèce, la Roumanie, le Portugal et Chypre. Si rien n’est entrepris au niveau mondial, ce phénomène risque d’entraîner la mort de 10 millions de personnes en 2050. Aujourd’hui, des patients se retrouvent donc en impasse thérapeutique suite à des infections résistantes et vont se faire soigner en Géorgie ou en Russie. Ce sont évidemment les personnes les plus aisées qui peuvent aller se faire soigner à l’étranger, alors que les autres meurent ou subissent des amputations. Ceci n’est pas acceptable. La phagothérapie peut être utilisée pour de nombreuses pathologies : infections urinaires, staphylocoques dorés, maladies nosocomiales, infections respiratoires, ostéo-articulaires, gynécologiques… »

  1. une expertise française sacrifiée sur l’autel des laboratoires américains : Pfizer en tête

Mais soyons, clair, ce savoir est né en France au début du XXe siècle. C’est Félix d’Hérelle qui, en 1917, observe un microbe antagoniste des bacilles dysentériques qu’il dénommera : « bactériophage ». D’Hérelle travaille à l’emploi de ces « phages » traitant les infections bactériennes. En France, le « Laboratoire du bactériophage » commercialise ces phages. Les antibiotiques mettent un terme à cette médecine. C’est en URSS que sa médecine se développera, à Tbilissi en particulier grâce à George Eliava qui avait rencontré d’Hérelle à l’Institut Pasteur.

Médecine complexe qui demande de disposer de nombreux types de bactériophages appropriés à chaque maladie, elle était trop sophistiquée pour lutter face à l’efficacité et le rendement économique des antibiotiques. Mais voilà, quelques décennies plus tard, devant une situation catastrophique du fait de l’inefficacité croissante de l’antibiothérapie, les phages deviennent de nouveau une alternative médicale sérieuse. Certains, dont le Docteur Olivier Patey, chef de service des maladies infectieuses et tropicales au centre hospitalier de Villeneuve-Saint-Georges, dans le Val-de-Marne exprime très bien cette situation. Il dit des phages : « Ils sont puissants, rapides et ciblés, ne détruisent que certaines souches sans toucher aux bonnes bactéries de l’organisme. Ils se multiplient spontanément aussi longtemps que la bactérie cible demeure présente, puis ils disparaissent avec elle. » Il rappelle que la médecine s’en détourne dans les années 80 : « Les phages n’intéressent plus personne en Europe ». Or, les ravages de l’antibiorésistances sont-là. La France a perdu le savoir, elle n’a plus de banque de phages. Les phages russes sont interdits à l’importation (comme son vaccin aujourd’hui, étonnant !). Rien n’avance, et pour cause, les intérêts économiques de l’antibiothérapie sont colossaux.

(https://www.france.tv/france-2/telematin/402151-sante-lutter-contre-la-resistance-aux-antibiotiques.html;)

  1. Les stratégies thérapeutiques, un peu d’intelligence et d’humilité au lieu de la cupidité

Cette histoire permet de tirer quelques enseignements. Premièrement, les intérêts économiques ne font pas bon ménage avec la connaissance et la recherche. Au contraire, ils détruisent, évincent, dénaturent et recherchent le monopole cupide. Pfizer est déjà là. Deuxièmement, nombre de médecins sont quelque peu vaniteux et orgueilleux, aveuglés par leurs découvertes et leur efficacité temporaire, ne prenant plus aucune précaution dans la durée. Triste sire pour ne pas dire imbécile, parce la mutation des bactéries est connue et que le risque était lui aussi connu dès le départ. Troisièmement, l’élimination des alternatives est criminelle et irresponsable car elle fait perdre un temps précieux pour maîtriser des stratégies thérapeutiques variées ; soit réduire les risques. L’imbécilité se renforce là de l’imprudence coupable.

Voilà pourquoi la crise sanitaire véritable est bien plus celle de l’antibiothérapie qui a fait la fortune des laboratoires qui se savent aujourd’hui menacé dans leur source de revenu. Il faut donc inventer des chimères et des thérapies universelles à vente récurrente pour préserver sa richesse en balayant d’un revers de main l’ensemble des risques sanitaires inhérent à ces thérapies géniques dont on va découvrir les ravages, comme pour les antibiotiques, après coup. Des premiers éléments sont alarmants dont la mortalité post-vaccinale. Cette médecine sous l’emprise du capitalisme des thérapeutiques doit cesser. Il appartient aux populations et aux Etats de reprendre le pouvoir sur la recherche, de reprendre leur responsabilité sur les stratégies de santé. Et vous l’aurez compris, tout cela devrait inspirer une bonne dose d’humilité à ceux qui nous saoulent de leurs certitudes arrogantes sur les plateaux de télévision, mais je ne connais pas la pilule de l’humilité, dommage.

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25 commentaires

  1. Merci pour cette synthèse.
    Je serais plus prudent dans la condamnation “des médecins”: ils font ce qu’ils ont appris, et ce qu’ils sont autorisés à faire. Ma réaction première à leur égard est majoritairement la compassion: ils se sont vus dernièrement retirer le droit de soigner – en toute illégalité. Une grande foule d’anonymes ont passé outre en toute discrétion: leurs patients peuvent leur en être reconnaissants.
    Sur les ‘phages’, on doit rester prudent: c’est une belle (re)découverte mais leur efficacité n’est pas universelle. Ce qui n’interdit pas d’explorer la voie.
    Un autre type de traitement, beaucoup plus accessible, réside dans les Huiles Essentielles: c’est peu coûteux et efficace pour le quotidien – pas adapté à un cancer par exemple. Mais un gros inconvénient: ces petits flacons ne rapportent rien aux gros laboratoires. La conséquence se dessine: on commence à voir apparaitre des textes et tendances visant à en limiter la diffusion, avant de les interdire. Comme on a interdit les traitements pour le virus récent.

    • Vous dites “ils se sont vus retirer le droit de soigner”. Si les médecins s’étaient élevés massivement, comme l’exige le serment d’Hippocrate, la conscience professionnelle et bien d’autres choses, contre cette injonction de proposer du doliprane à leurs patients pour le Covid en attendant qu’ils soient en détresse respiratoire et contre la proposition d’utiliser du Rivotril, un médicament déconseillé dans le cas des maladies respiratoire dans les Epad, les choses se seraient passé autrement. Comme disait Luther face à la diète d’Augsburg, il est mauvais de ne pas écouter sa conscience.

      • Oui, les médecins ne sont pas souvent des dissidents ou des résistants. Certains prescrivent la pilule, pratiquent des avortements. Le serment d’Hippocrate n’est pas prononcé (pessaire abortif omis). La iatrocratie sert depuis des lustres les pouvoirs totalitaires. Il est stupide de se référer à Luther qui n’a pas éclairé sa conscience et fut en manque d’humilité, ce qui a égaré des millions de personnes, ce qui a promu la Franc-maçonnerie et amené l’avortement et la pilule et l’antisémitisme du 20ème siècle à travers les Lumières (cf. Voltaire l’antisémite et esclavagiste, 6ème fortune de France). En résumé, si tu suis ta conscience éclairée, tu arrives à la croix, au non possumus, à la mort sociale. Peu de médecins ont les ressources spirituelles intérieures pour en arriver là. Ils disent, j’en suis témoin : pas de traitement covid mais je donne de l’azithromycine à mon patient essoufflé. 90% des médecins sont des tiroirs-caisses soumis aux remboursements de la Sécu-Sociale. Il y a un milieu médical !

    • Vous écrivez à propos des médecins : « ils font ce qu’ils ont appris ». Ceci me semble être justement un élément du problème : je ne suis pas certain que les études de médecine permettent aux étudiants d’éveiller leur esprit critique et de prendre du recul. Ceci est plus difficile que d’apprendre par cœur et de régurgiter le jour du concours de l’internat.

    • Sur les phages, c’est l’Etat lui-même qui a demandé de travailler sur ce sujet, je ne me serai pas permis d’y faire référence sinon.
      Un exemple de référence parmi de nombreuses :
      https://www.defense.gouv.fr/sante/actualites/phagoburn-des-virus-pour-traiter-des-infections-bacteriennes,
      où il est mentionné par le ministère de la défense les premiers résultats reconnus scientifiquement dont l’étude diffusée dans le Lancet :
      https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(18)30482-1/fulltext

      • Cher Monsieur le philosophe, avez-vous soigné un patient adulte atteint de toux et de difficultés respiratoires ? Utilisez-vous des phages quand vous êtes souffrant ? Quand date votre dernière utilisation d’antibiotique ? L’Etat, l’Etat, l’Etat. Dans votre manière de penser perçue par deux articles lus dans le salon beige, vous surfez sur la réalité mais n’êtes pas le réel concret des acteurs médicaux. Je dis cela pour que vous deveniez ‘ancré’ et non plus seulement ‘encré’. Vertu d’Espérance.

    • Ce qui edt egalement tres efficace et ne coute rien d’autre qu’une petite fatigue pour les ramasser, ce sont toutes les plantes entieres de la pharmacie du Bon Dieu qui ne provoquent aucun effets secondaires quand elles sont prises correctement en respectant leurs posologie.
      Le thym et le plantain frais ou secs aident Très efficacement a arreter les effets bronchitiques, et pris sur plusieurs jours tant que la bronchite est toujours la a empecher qu’elle ne tourne en pneumonie( c’est efficace pour soigner les effets bronchitiques des Covid
      La plante airemoine soulages les angines et arrete celles qui sont bacteriennes, la feuille d’Eucalyptus soigne toutes les voies respiratoires et est bon dans la lutte contre les Covid, Le Buis (dose a ne jamais depasser car un surdosage met a mal nos globules blancs est bienheureusement febrifuge et aide a l’elimination massive des toxines dues aux combats generes par nos bacteries saprophytes en alliance avec nos globules blancs contre les virus qui sont leurs ennemis mortels a elles aussi .Le Buis en tisane aide tres fortement a la sudation pour evacuer les cadavres du combat dont nous sommes le champ de bataille.
      La Seve de sapin alliee a l’Eucalyptus est expectorante et libere nos voies respiratoires en lysant les glaires: voiles infectieux qui les obstruent et nous rendent la respiration difficile
      Les aiguilles fraiches de pin sylvestre sont chargees en ivermectine substance qui fait ses preuves contre les Covid, les aiguilles entieres fraiches a la difference du medicament ne provoquent pas d’effets secondaire nefastes. Toutes ces plantes (et arbre)sont cultivables dans nos jardins. Meme au nord en coin abrité pour l’Eucalyptus Gunni plus resistant au froid.
      ENFIN, la nourriture anti-oxydantes des fruits et legumes feuilles et encore plus particulierement des epices dont encore plus particulierement curcuma, (9volume) gingembre (5vol), fenugrec (1vol), poivre (1vol), clou de girofle (1/4vol) a raison d’une cuill cafe bombée le matin mélangée a une matiere grasse (beurre) et a une tasse de 250 a 400 ml de notre boisson habituelle du matin ou etale sur nos tartines matinales :(un delice)
      En rajoutant au tout la prise minima journaliere de 1 gousse d’ail par personne et par jour qui en temps d’epidemie sera a multiplier par 6.
      En suivant ces preceptes on developpe ses defenses immunitaires hyper efficacement en temps d’épidémie a coup sur sauf si comme le precisait toujours LA Grande Ste Hildegarde, ce n’est pas la Volontéde Dieu s’il decide que la maladie soit une epreuve pour nous permettre d’aguerrir notre Foi, Notre Esperance et Notre Charité ainsi que de la considerer comme une penitence a saisir au vol pour reparer en partie ou en tout nos peches sur cette terre , ou que par les aleas de celles-ci nous soyons appeles a aider chretiennement, plus malade que nous dans les lieux de soins.
      Je prends regulierement ces plantes surtout depuis novembre 2019 1ere manifestation il semble du Corona virus a la suite du retour de whunann des militaires qui participerent aux jeux olympiques inter-armees dans cette ville.
      Je vais bien sans prendre de precautions de vie autre que l’obligation du masque dans les lieux d’obligation juste avant d’entrer.et je me passe facilement des suplerflus., finallement cette crise nous aident a nous recentrer sur l”essentiel.

      • Très bien. Mais avez-vous des contraintes obligatoires pour devoir présenter à la police ou à un de ses supplétifs le passe sanitaire, le passe de la honte, l’ausweis gouvernemental ? Aurez-vous besoin d’entrer dans un hôpital ou de visiter votre mari dans un ephad ou un service de soins ? Assistez-vous à une messe où le prêtre masqué refuse de vous donner l’hostie de vie dans la bouche (loi de l’Eglise) ? Où en êtes-vous dans votre pose d’actes de non possumus ? Vivez-vous dans une caverne érémitique ?

        • Ecoutez, la baronne de Thoury est connue ici et on sait tous qu’elle fréquente les bonnes messes… et pas avec des prêtred masqués !! Qu’ils sont ridicules !!!

    • La médecine institutionnalisée et étatisée des pays industrialisés est devenue un danger majeur, peut-être même vital.
      Tous ces faits désolants résultent de cette cause.
      Pourquoi est-il si difficile de déconstruire la superstition de la “santé publique” comme mission régalienne ?
      Il était pourtant évident que le monopole devait entraîner la dictature d’incompétents péremptoires.
      Rien n’est plus contraire à la science qu’une institution monopolistique censée imposer la vérité.
      Comme les roi-mages, ceux qui comprennent sont nombreux mais extérieurs à l’institution car eux seuls peuvent se connaître.
      Il faut séparer la médecine de l’État, la santé de l’État, la science de l’État, comme l’Église de l’État.
      Une économie libre de la santé dénuée d’institution autoritaire n’aurait aucun problème à essuyer la pandémie actuelle. Il est faux que les Big Pharmas soient le produit logique du marché, elles sont le produit de l’intervention de l’État, leur seul client.
      Dans une société libre les labos offriraient leurs services à des clients individuels et surtout des compagnies d’assurance désireuses de réduire les indemnisations de maladie, invalidité et décès. Celles qui laisseraient les malades sans soin feraient faillite. Soigner à moindre frais serait une source de profits, les vaccins ARNM seraient donc employés à bon escient, les médicaments bien connus et sans risque préférés. Nous aurions tous reçu des trousses de soin préventifs au fur et à mesure des découvertes médicales.
      L’intevention de l’État n’est jamais bénéfique qu’en théorie.
      Satan n’a pas menti à Jésus, ils lui appartiennent bel et bien. Servir le Bien Commun au travers de l’État, c’est manipuler Satan: Échec garanti !

  2. Je cite au dernier paragraphe : « Il faut donc inventer des chimères et des thérapies universelles à vente récurrente pour préserver sa richesse en balayant d’un revers de main l’ensemble des risques sanitaires inhérent à ces thérapies géniques dont on va découvrir les ravages, comme pour les antibiotiques, après coup. Des premiers éléments sont alarmants dont la mortalité post-vaccinale. »

    Il est dommage que l’auteur ne mette pas de lien ou ne cite pas quels sont ces premiers éléments de mortalité post-vaccinale alarmants”. Faute d’information, il sera facile de le traîter de complotiste.

    • Mais non, ces éléments sont connus (cf. Edouard Husson, FDA, gvt Anglais, …). USA et Suisse rapports gouvernementaux : Le faux-vaccin messie est 120 fois plus létal que le vaccin annuel contre la grippe. Le scandale mondial sanitaire des effets secondaires fera la une des journaux de demain. Les courbes de décès annuels sont publiées par l’Insee. On va constater qu’il y a plus de décès par suicide que par ‘covid sans comorbidité’. A ce sujet, attendez mi-2023 pour consulter les chiffres définitifs de l’Insee. Cette épidémie existe, mais elle touche qui et le portefeuille de qui pour payer les dettes ?

    • Si vous ne connaissez pas d’élément inquiétants à propos de ces vaccins, vous devriez reconsidérer vous sources d’information. Les effets rapides sur le coeur et le cerveau devraient être analysés et expliqués. Quelle est la nature de ces atteintes, y en a-t-il d’autres moins détectables à court terme ?
      Pourquoi les cycles menstruels sont-ils perturbés ? Les fausses couches ? Sait-on les conséquences pour la fertilité ?
      Rien de tout cela n’était attendu: Les conséquences de long terme sont donc imprévisibles.
      Il est inacceptable d’injecter quoi que ce soit sans peser les risques de le faire ou pas.
      La médecine est un art au carrefour de plusieurs sciences.
      Les traitements préventifs et précoces ne devraient pas être exclus.
      La peur cultivée et exploitée par nos régimes conduit à des “élites” peuplée d’incompétents péremptoires et autoritaires.

  3. On a l’impression que vous avez découvert l’eau tiède ! Les agents pathogènes s’adaptent au traitement et par le biais de mutations, sélectionnent des lignées qui résistent au traitement. C’est effectivement le cas pour les bactéries vis-à-vis des antibiotiques. C’est également le cas pour les tumeurs vis-à-vis des chimiothérapies, pour certains virus vis-à-vis du vaccin et cela a déjà été mis en évidence pour la phagothérapie (qui a probablement également ses effets secondaires comme tout traitement efficace). Il est certain que le mauvais usage des antibiotiques a accéléré ce problème. En attendant l’antibiothérapie a sauvé de très nombreuses vies et elle continue encore. Si son efficacité s’épuise, bien entendu on cherchera des alternatives dont, peut-être, cette phagothérapie, et comme ce sont des marchés énormes et très juteux il y aura toujours de gros laboratoires pharmaceutiques derrière. Rien n’est jamais définitivement acquis en médecine. Le traitement miracle c’est dans les contes de fées !

  4. Vous avez entièrement raison. Il faut consulter les rapports de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM)
    https://ansm.sante.fr/actualites/suivi-des-effets-indesirables-des-medicaments-utilises-dans-la-prise-en-charge-de-la-covid-19-en-date-du-07-08-2021, dont par exemple le rapport n°17 Pfizer qui indique par exemple dans son tableau n°18 faisant synthèse des effets graves au 1er juillet 2021 de 19 arrêts cardiaques entraînant 13 décès, de 423 embolies pulmonaires, de 18 fausses couches spontanées, de 232 thromboses veineuses profondes, etc. (Rapport n°17 – p. 43 à 45) qui statistiquement ne peuvent être décorrélé à 100%. Il y donc des effets graves et indésirables. L’Agence européenne est une deuxième source. Les USA ont aussi des résultats similaires.

    • Le problème le plus grave est celui de la psychiatrie sociale, un problème pour la philosophie politique. C’est la question du contrôle social par l’ausweis, par le passe de la honte, par cette récompense-privilège obtenue par les piqués-tatoués. Cette épidémie mondiale de vouloir contrôler à la chinoise les citoyens nés est LE VERITABLE ENJEU. LE covidisme et la peur instillée est la véritable violence faite aux peuples et aux personnes. Vous me comprenez, j’en suis sûr. 25000 morts de jeunes gens sans comorbidité le 22 août 1914. Covidisme : 4000 morts sans comorbidité depuis début 2020 en France. 99,965% des français sont des survivants au virus. 99% des français ont la peur instillée dans leur tête. Et je ne vous parle pas du ridicule des prêtres, d’évêques et du pape-antipape masqués par un slip sur le visage au cours des messes. Jésus de Nazareth a-t-il touché un lépreux ? Et le médecin Aupetit qui nous parle de la bave des fidèles ! Covidofolie organisée, voilà le virus psychiatrique à éliminer.

    • Sur la molécule à ARN de Pfizer, voici une référence intéressante: https://www.lifesitenews.com/news/pfizer-vp-vaccination-women-is-stupid-infertility/
      L’auteur est bien placé pour en parler.

  5. Je ne comprends pas pourquoi un si grand article est nécessaire pour engendrer une conclusion aussi banale. Si je suis malade des poumons alors je vais immédiatement vers la prise d’un antibiotique pour éviter une descente trop profonde dans mon corps malade affaibli. L’antibiotique est une bénédiction. Il n’y a qu’à regarder l’allongement de la durée de vie des gens antibiothérapés au 20ème siècle. On ne peut mettre sur le même plan un produit en phase III et un antibiotique éprouvé. Où sont les morts par covid ? 99,965% des français sont des survivants à la pandémie médiatique.

  6. Je vous invite à consulter, entre autre, le rapport des docteurs Jean Carlet et Pierre le Coz au titre évocateur : Tous ensemble, sauvons les antibiotiques de 2015 (https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/rapport_antibiotiques.pdf). La situation est effectivement très préoccupante et elle était prévisible. Il y a donc bien eu un usage abusif, voire anarchique des antibiotiques provoquant les résistances observées qui contraignent à en réduire massivement l’usage et à trouver des alternatives. L’intérêt à court terme et des prescriptions inconsidérées en sont bien la cause.

  7. La conclusion est peut-être banale en effet, mais l’écart avec la réalité, elle, n’est malheureusement pas banale. Or, cette prédominance des intérêts économiques au détriment des populations a déjà couté la vie de plusieurs centaines de milliers d’américains dans le scandale des opiacés dont les procès sont en cours et où des laboratoires ont ajouté de l’opium pour créer intentionnellement une dépendance mortelles aux médicaments. Ces derniers sont prêts à payer quelques dizaines de milliards de dollars pour se défaire de l’étreinte judiciaire. La banalité est donc toute relative et l’urgence d’une autre organisation de la santé dans les pays occidentaux, sans doute une réelle priorité de santé publique.

  8. Les plantes ont leurs limites. J’en ai fait l’expérience lors d’une grosse bronchite que j’ai voulu “soigner ” avec des infusions de thym, des inhalations de thym. Au bout de huit jours, cela n’allait pas mieux au contraire, et j’ai appelé mon médecin qui m’a prescrit le traitement classique à base d’antibiotiques, efficace immédiatement. J’ai quand même perdu 8 jours.
    Je me permettrai d’insister sur le fréquent lavage des mains à l ‘eau et au savon, en essuyant bien, au besoin avec du papier jetable.
    Ce qui a été vérifié, c’est que ces simples mesures d’hygiène ont fait diminuer les cas de gastro-entérites ou de rhumes depuis qu’on en a rappelé l’importance. Depuis le début de l’épidémie par covid-19.
    Se frotter le bout des doigts avec du gel hydroalcoolique n’est vraiment pas suffisant.
    Les médecins d’une autre génération allaient se laver les mains avant d’examiner un patient. A l’époque actuelle, les instruments passent d’un patient à un autre sans désinfection, par exemple le brassard pour prise de tension.

    • Lavage des mains à l’eau CHAUDE ce que PERSONNE n’a dit ! Je n’ai JAMAIS entendu “eau chaude” dans les clips à la radio ! Nulle part on ne le lit . Pourquoi ???

      La chaleur non seulement tue plus facilement microbes et virus mais l’eau chaude nettoie plus facilement les mains ! On en a tous l’expérience !

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