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Pro-vie

La méthode Billings, trop ignorée

Direct Soir consacre un dossier sur les moyens de contraception. Au milieu de l’habituelle propagande, on trouve quand même une présentation de la méthode Billings, qui serait utilisée par 1,3% des femmes françaises de 20 à 44 ans :

B "Méconnue, la méthode Billings, fondée sur l’observation des manifestations physiologiques, permet un contrôle des naissances sans dispositif chimique ni mécanique. Comme elle exige des phases d’abstinence en période féconde, elle implique une grande discipline au sein du couple, ainsi que sa stabilité. Elle suppose une formation très précise dans des centres agréés. L’Organisation mondiale de la santé indique cependant qu’elle ne peut être utilisée lorsque la femme présente certaines pathologies. L’OMS rappelle également avec vigueur que la méthode Billings n’apporte aucune protection contre les IST."

Le rappel de l’OMS est un peu stupide, à partir du moment où cette méthode exige la stabilité du couple et donc la fidélité. Ajoutons que la méthode Billings est le seul "moyen de contraception" qui peut permettre de favoriser la venue d’un enfant, pour les couples ayant des difficultés, parfois après des années d’attente. C’est également la seule méthode écologique, la seule qui permette de mieux connaître et maîtriser son corps, la seule qui responsabilise vraiment le couple.

Michel Janva (merci à VH)

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10 commentaires

  1. La méthode Billings n’est guère mieux que les autres méthodes contraceptives, sauf qu’elle peut donner à certaines personnes désinformées un semblant de bonne conscience. Elle n’en reste pas moins une tentative de détournement volontaire de la sexualité de sa finalité, la procréation, ce qui est donc par définition immoral. La meilleure méthode est le saint abandon à la divine Providence, au risque d’avoir une famille nombreuse… Attention à ne pas toujours vouloir adapter la religion et la morale à notre facilité personnelle, car cela amène à faire des choix (des “hairesis”…). Et à force de ne pas vivre comme on pense, on finit toujours par penser comme on vit !
    [Faux : la méthode Billings est d’abord destinée aux couples qui ont du mal à avoir un enfant. S’abandonner à la Providence n’est pas contraire à la connaissance de son corps : foi et raison ne s’opposent pas. Enfin, l’Eglise rappelle dans Humanae Vitae que, pour des raisons sérieuses (donc pas par égoïsme), il est permis de différer la naissance d’un enfant.
    MJ]

  2. La seule méthode universelle est la température, mais elle demande plus d’abstinence. La méthode Billings ne fonctionne pas sur toutes les femmes. En effet, certaines ne ressentent aucune différence tangible entre les périodes fécondes et non fécondes et en déduisent que les méthodes naturelles ne marchent pas.
    L’objectivité de la température est appréciable dans ce cas et il ne faut pas occulter cette méthode. Elle aussi est écologique et permet à la femme de maîtriser son corps.

  3. Monsieur Janva, permettez-moi s’il vous plaît de vous répondre.
    1/ Je veux bien croire que la méthode Billings fut créé à l’origine pour les couples qui ont du mal à avoir un enfant. Néanmoins aujourd’hui elle nous est d’abord présentée pour limiter les naissances. Des catholiques nous la brandissent d’ailleurs à chaque nouvelle grossesse de ma femme…
    2/ Le problème ne vient pas de la connaissance de son corps, mais de la déconnection VOLONTAIRE entre l’acte sexuel et la procréation. La définition (dans la Doctrine sociale de l’Eglise, et dans le CEC n°1750) d’un acte immoral est justement la déconnection d’un acte de sa finalité. De plus, plusieurs voix (dont celle du Professeur Lejeune) se sont élevées depuis des années pour dénoncer cette méthode qui “confine parfois à la pornographie” du fait de l’auto-exploration intime.
    Donc en effet, foi et raison ne s’opposent pas, mais à la condition de comprendre les deux en toute rigueur.
    Vous parlez d’Evangelium Vitae, et des raisons sérieuses : mais aujourd’hui chaque catholique qui pratique la méthode Billings considère que ses raisons sont sérieuses, ce qui est un détournement d’une permission exceptionnelle (et vous savez comme moi que toute règle peut être détournée et généralisée, cf. loi Veil). On tombe donc dans le subjectivisme. Pour moi, la plupart des personnes qui utilisent la méthode Billings (et autres semblables) commettent le péché de contraception, et manifestent leur manque de courage, leur manque d’esprit de sacrifice, et leur manque de confiance en Dieu. Cela ne m’étonne guère dans notre civilisation de consommation.
    On rencontre souvent des objections fallacieuses :
    Objection 1 : Alors si l’acte est accompli lorsque la procréation est impossible (femme enceinte ou allaitante, époux stérile, etc.), il est immoral ? Non, car dans ces cas-là (et contrairement à la méthode Billings), l’acte n’est pas VOLONTAIREMENT fermé à la procréation. On peut présumer que si les époux étaient fertiles, ils accompliraient tout de même cet acte en vue de procréer.
    Objection 2 : L’acte sexuel est nécessaire à l’équilibre des époux, donc on ne peut pas s’abstenir. Faux, car contre-exemple : les époux âgés peuvent avoir une vie de couple équilibrée sans relations sexuelles. Autre contre-exemple : la Très Sainte Vierge Marie et saint Joseph… Par ailleurs, en s’abandonnant avec confiance à la divine Providence, Dieu saura faire ce qu’il faut, même au prix d’une famille nombreuse.
    Objection 3 : Nous avons déjà 10 enfants, des revenus limités, ma femme risque d’avoir une grossesse à risque donc ce sont des raisons suffisantes pour justifier le recours à une telle méthode. Faux, il s’agit d’un sophisme, car les mêmes raisons légitimeraient l’usage des contraceptifs. Et puis qui sait combien Dieu souhaite nous confier d’enfants, qui sait si nous manquerons du nécessaire, qui sait si la femme aura des problèmes de grossesse ? Et puis même dans cs cas, pourquoi la continence ne serait-elle pas suffisante ?
    Objection 4 : Dieu a permis à l’intelligence humaine de connaître le fonctionnement des cycles féminins, donc il est naturel d’utiliser cette connaissance. Faux, il s’agit du même sophisme, car les mêmes raisons légitimeraient encore l’usage des contraceptifs, ou bien l’onanisme…
    Je ne comprends pas pourquoi nos aïeux, depuis des siècles, auraient réussi à vivre sans ces méthodes, et nous n’y parviendrions pas ? Serions-nous si décadents ?
    Il me semble que les risques associés à ces méthodes sont multiples : encouragement des chrétiens au péché, développement chez les chrétiens d’une la philosophie de la contraception avec bonne conscience, dénaturation de l’acte sexuel, diminution de la confiance en la Providence, affaiblissement de l’esprit de continence nécessaire à la lutte contre la tentation, voire insinuation du fait que la continence serait impossible…
    Enfin, et pour finir, l’enfant est considéré dans la société chrétienne comme un don sacré de Dieu. Avec de telles méthodes, l’existence de l’enfant se retrouve essentiellement liée à une volonté de ses parents. Les répercussions psychologiques peuvent être considérables, particulièrement en ce qui concerne le rapport quasi-sacré entre l’enfant et ses parents.
    Je me permets de vous répondre parce que votre blog est un lieu de discussion qui accepte que l’on ne “pense pas comme les autres”. Et je ne souhaite pas sur ce sujet me fondre dans l’opinion commune, même si elle est largement approuvée dans les millieux catholiques et traditionalistes.
    Cordialement,
    [1. Vous jugez de l’intention des personnes qui utilisent cette méthode. Ce n’est pas mon propos. Il y a beaucoup de couples qui se croient infertiles et qui ignorent cette méthode.
    2. Cette déconnection entre sexualité et procréation a bien été dénoncée par Humanae Vitae (et non Evangelium Vitea). Néanmoins, HV précise quand même qu’il peut exister des raisons sérieuses de réguler ces naissances :
    “l’Eglise est la première à louer et à recommander l’intervention de l’intelligence dans une œuvre qui associe de si près la créature raisonnable à son Créateur, mais elle affirme que cela doit se faire dans le respect de l’ordre établi par Dieu.
    Si donc il existe, pour espacer les naissances, de sérieux motifs dus, soit aux conditions physiques ou psychologiques des conjoints, soit à des circonstances extérieures, l’Eglise enseigne qu’il est alors permis de tenir compte des rythmes naturels, inhérents aux fonctions de la génération, pour user du mariage dans les seules périodes infécondes et régler ainsi la natalité sans porter atteinte aux principes moraux que Nous venons de rappeler.
    L’Eglise est conséquente avec elle-même quand elle estime licite le recours aux périodes infécondes, alors qu’elle condamne comme toujours illicite l’usage des moyens directement contraires à la fécondation, même inspiré par des raisons qui peuvent paraître honnêtes et sérieuses. En réalité, il existe entre les deux cas une différence essentielle: dans le premier cas, les conjoints usent légitimement d’une disposition naturelle; dans l’autre cas, ils empêchent le déroulement des processus naturels. Il est vrai que, dans l’un et l’autre cas, les conjoints s’accordent dans la volonté positive d’éviter l’enfant pour des raisons plausibles, en cherchant à avoir l’assurance qu’il ne viendra pas; mais il est vrai aussi que dans le premier cas seulement ils savent renoncer à l’usage du mariage dans les périodes fécondes quand, pour de justes motifs, la procréation n’est pas désirable, et en user dans les périodes agénésiques, comme manifestation d’affection et sauvegarde de mutuelle fidélité. Ce faisant, ils donnent la preuve d’un amour vraiment et intégralement honnête.”
    MJ]

  4. @ JCR :
    votre message est truffé de mensonges à coté de la dernière phrase qui est la seule à retenir !
    Les températures ne permettent que d’observer que l’ovulation est passée.
    Billings permet de savoir au jour le jour où la femme en est dans son cycle.
    Billings ne se base pas uniquement sur des sensations, même si celle-ci sont importantes.
    En Occident, les femmes ont moins l’habitude de faire attention aux sensations. Ce qui est inverse dans le reste du monde, surtout dans les pays pauvre où au contraire les femmes sentent très bien les sensations.
    Billings est praticable même lorsque la femme est malade, ce qui n’est pas le cas des températures.
    Ensuite, les températures sont incapables de donner une information sur la période inféconde qui se situe entre la fin des règles et le début de la période féconde.
    Par conséquence, les températures ne sont pas utilisable en période péri-ménopause, alors Billings ne rencontre aucun problème. Billings peut même prévenir les bouffée de chaleur.
    Enfin, la méthode des températures n’est pas utilisable par des femmes qui ont un rythme de travail décalé : personnel hospitalier, personnes aux 3×8.
    Alors que Billings ne pose aucun souci pour ces personnes.
    Mais surout, avant d’être une technique, Billings est avant tout un mode de vie : la femme s’observe et le mari tient le tableau. Billings “force” la communication dans le couple.
    Billings est à la base de très nombreuses conversions grâce à cette communication.
    Et pour terminer, Billings met en pratique Humanae Vitae, ni plus, ni moins.
    Mais enfin, qu’est-ce que c’est que ce dénigrement ?
    Ce ne peut être que la Diable qui sème la division !

  5. C’est la première fois que je poste un commentaire sur votre blog mais le sujet me paraît trop grave pour ne pas intervenir. A vrai dire, un des commentaires m’a fait très violemment réagir, mais comme nous sommes dans un salon, je vais essayer d’être courtoise. Quan je lis les réflexions de D., je suis surprise de voir à quel point sous prétexte d’être fidèle à la doctrine catholique, il s’en éloigne. c’est souvent le cas quand on veut être plus royaliste que le roi…Quand on lit les dernières déclarations de Benoit XI pour les 40 ans d’Humanae Vitae, quand on étudie les textes de Jean Paul II sur l’amour humain, la complémentarité homme femme, le plan de Dieu sur eux, on observe que le Pape fait preuve d’un très grand équilibre, d’un sens du concret et en même temps d’une profonde exigence. Mais il ne place pas sur les épaules des couples un fardeau imossible à porter…Qui fait l’ange fait la bête: il n’y a rien de plus juste que cette affirmation de Pascal; vouloir faire mieux que ce que nous demande le Seigneur, par la voie de son Eglise, c’est une belle preuve d’orgueil… Refuser ce chemin des méthodes naturelles au prétexte que c’est au Seigneur de décider combien nous aurons d’enfants nie la collaboration que Dieu a voulue entre l’homme et son Créateur. Si ce monsieur pense qu’il trop bien pour suivre ce chemin, qu’il vive la continence comme Marie et Joseph, mais que je sache, ce n’est pas la voie la plus répandue dans les couples chrétiens. Mais de grâce, qu’il ne porte pas de jugements sur les autres:il n’a pas été chargé d’être l’accusateur de ses frères. MSP

  6. @ D :
    vous parlez d’un sophisme, mais le votre est pire : vous identifiez méthodes naturelles et méthodes contre-nature (ou artificielles ou chimiques, c’est selon).
    Il y a un monde entre respecter la Nature créée par Dieu, grâce à l’abstinence et l’usage de la création autrement des périodes infécondes (qui sont bien elles aussi créées par Dieu, relisez Humanae Vitae, Paul vI insiste sur ce point), et aller à l’encontre de la Nature en la déformant par des moyens chimiques et/ou artificiels qui la détruisent.
    Nous savons de nos jours que la pilule est source des cancers de la prostate !
    Oui messieurs, bien que ce soient les femmes qui l’avalent, ce sont les hommes qui en souffrent le plus. Ce cancer s’est développé à une vitesse alarmante depuis que la pilule est en “libre service”.
    Dans la différence entre méthode naturelle et contre-nature, il y a aussi la mentalité. La contraception conduit à l’avortement car la vie est considérée comme une maladie ou un échec.
    Dans les méthodes naturelles, la Vie est au centre de la méthode.
    Enfin, un de vos sophismes est :
    “Nous avons déjà 10 enfants, des revenus limités, ma femme risque d’avoir une grossesse à risque donc ce sont des raisons suffisantes pour justifier le recours à une telle méthode, Faux”
    Que faites-vous de la dignité de la vie du 11e enfants qui impactera la dignité de vie des 10 autres ?
    Dans votre discours, les enfants sont absents, ils sont chosifiés.
    Vous oubliez aussi le Couple : car en regarde la procréation, le Magistère affirme que la sexualité apporte l’union du Couple.
    Ce que ne permet pas la continence.
    En réalité, la continence est le péché opposé à la contraception en regard de l’enseignement Magistériel de Humanae Vitae. Paul VI demande que ni l’union “plaisir” ni la procréation ne soient séparés :
    – la contraception prive de la procréation
    – la continence et la logique que vous défendez prive de l’union “plaisir” qui renforce le couple
    Lisez bien ce document du Magistère, car portant sur les moeurs, il contient des passages infaillibles.
    Seriez-vous au-dessus de l’Infaillibilité Pontificale pour nier ce document ?
    Que faites-vous de la paternité et maternité responsable ?
    Visiblement, vous vous asseyez dessus en priant pour que Dieu soit responsable à votre place.
    Vous refusez donc la liberté que Dieu vous donne.

  7. Je me permets d’apporter deux petites pierres à l’édifice:
    -Dieu a dit ‘Croissez et multipliez-vous’, ce qui implique que passent avant tout la croissance spirituelle, l’éducation, l’épanouissement des conjoints et des enfants. Institutrice depuis dix ans dans une école très catholique, où les familles nombreuses sont légion, j’ai toujours pensé que grande famille et épanouissement des uns et des autres ne faisaient pas toujours bon ménage: enfants qui ne se réjouissent même pas de la naissance du bébé, mères exsangues, problème de langage tardif, parce que “vous comprenez, c’est le septième et on n’a pas le temps de s’occuper de lui”, difficulté scolaire non traitée, culture générale pauvre parce qu’on ne parle pas aux enfants, enfants violents et intenables… Ce n’est pas à la naissance que l’enfant exige le plus d’attention, mais plutôt à l’âge scolaire. Et les parents ne sont pas “shiva”. Alors quand on a huit enfants de quinze à trois ans, c’est à ce moment là, avec l’adolescence et les apprentissages de base que l’on est débordé… et il n’y a plus qu’à attendre que cela se passe. Cela fait dix ans que je ne me résous pas à ces enfants à l’équilibre affectif, à l’éveil intellectuel sacrifiés pour cause de grande famille.
    – autre remarque, nos aîeux se sont passés de “toutes ces méthodes-là”, car souvent la mort en couche, la stérilité accidentelle, le décès précoce du père ou de la mère résolvaient la question de la famille nombreuse. Et avouons-le les conditions matérielles de ces grandes familles n’étaient pas les mêmes: espace de vie, absence du stress moderne et des conduites chronophages, domesticité ou aide à domicile parfois. En tout cas la société n’était pas autant à contre courant de l’éducation chrétienne que l’on veut donner, ce qui fait que, aujourd’hui, le travail d’éducation est double et exige de prendre ses responsabilités.

  8. Boris,
    C’est à cause de propos péremptoires comme les votres que les gens ont une mauvaise image de la régulation naturelle.
    Point de mensonge de ma part puisque le mensonge est une volonté délibérée de fausser la vérité.
    Je vais être plus direct. J’ignore si vous êtes mariés, mais sachez que beaucoup de femmes ont des pertes de glaire cervicale tout au long du cycle et qu’il leur est impossible de différencier les périodes fécondes des non fécondes. Il ne reste que la température.
    Je n’ai pas dit que Billings ne fonctionnait pas, j’ai écrit qu’elle ne fonctionnait pas “sur toute les femmes”. Et que ne parler que de cette méthode était dommage car la température pouvait alors servir.
    Vous parlez du diable, mais lorsque je constate le décalage entre votre réaction et mon intention, je me dis qu’il ne se trouve pas uniquement derrière moi.

  9. Les ennemis de la vie ne sont pas prèt de mourir sous vos feux Messieurs…

  10. @ JCR :
    Je suis, avec ma femme, moniteur billings.
    La perte de glaire “en continue” pendant tout le cycle n’est pas un obstacle.
    C’est même presque le propre du post-partum (post-accouchement).
    Toutes les femmes n’ont pas un “profil sec” et la méthode n’en est en rien faussé.
    Au contraire, si la méthode se trouvait bloquer par cela, alors elle serait inefficace pour les périodes de péri-ménopause et d’allaitement.
    @ D. :
    Mgr Ginoux a fait un exposé très clair à l’encontre de vos propos.
    Il fut largement soutenu par le Chanoine Sentis.
    Vous opposez Foi et Raison.
    Vous refusez de faire usage de la raison.
    Vous êtes comme ceux qui utilise la pilule. La seule différence est le traitement que vous faites lors d’une grossesse.
    Ceux qui utilisent la pilule sont enfermés dans la logique pro-mort. Si grossesse indésirée, alors ils vont à l’avortement. Ils sont “scientistes” : tout technique : pilule, avortement, fivete, …
    Vous êtes comme eux mais vous refuser la technique. Comment ce fait-il que ayez osé utiliser le fruit de la technique qu’est Internet ?
    Dieu permet-il d’utiliser Internet étant donné tous les sites porno et pédophiles ?
    Billings n’est pas qu’une technique : c’est un art de vivre qui se base sur une technique.
    Contrairement à la pilule, Billings oblige les couples à se poser tous les cycles la question de l’accueil d’un nouvel enfant pour Dieu.
    Mais la question est débattue en couple, l’union ou don des corps n’est plus un acte instinctif mais un acte raisonné, fruit du dialogue dans le couple.
    La procréation est donc omniprésente, même en période inféconde. Mais c’est surtout la paternité responsable qui est présente car c’est la conséquence directe de la procréation.
    Votre discours nie cette responsabilité : et c’est là que vous êtes comme les techniciens pro-mort, eux aussi nie cette responsabilité et s’en débarrasse par la pilule et autres cochonneries.

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