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France : Politique en France

La Ligue du Sud devient un parti politique

Jacques Bompard, le maire d'Orange, en prend la présidence et est entouré au bureau exécutif par Ronald Perdomo, Michèle Carayon, Guy Macary et Dominique Michel comme vice-présidents, par Philippe de Beauregard comme secrétaire général et par Hubert Savon. Extrait de ses statuts :

Ligue-du-sud "La Ligue du Sud se fixe pour objet la défense, la promotion et le développement des régions du Sud de la France, dans tous les domaines. A ce titre, elle participe aux débats politiques et électoraux dans les régions et les circonscriptions électorales du Sud de la France.

La Ligue du Sud inscrit son action dans le cadre des institutions républicaines. Régionale, mais pas régionaliste, la Ligue du Sud entend notamment préserver l’identité régionale, développer la prospérité économique et la qualité de la vie, renforcer la sécurité et la justice sociale dans les régions du Sud (…)"

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9 commentaires

  1. Et un de plus UN ! MPF, FN,PDF,RIF,DLR, MNR et maintenant la LDS (si j’en oublie vous le dites). Si c’est l’unité de la droite souverainiste, j’ai comme l’impression que ce n’est pas demain qu’on va gagner….

  2. tout cela pour satisfaire les egos …. et les rancoeurs!

  3. Ben oui Yann, parti populiste, Nouvelle droite Populaire (NDP), Bloc identitaire, Alsace d’Abord et sans doute d’autres (AF, PCD…)

  4. BOMPARD va-t-il se présenter aux présidentielle ? Histoire qu’on ait le choix entre la peste et le choléra au second tour :/
    Étienne

  5. La Ligue du Sud s’appuie tout de même sur deux mairies, deux conseillers généraux et un certain nombre d’élus locaux (petites villes et villages), pas tous d’opposition.
    Qui peut en dire autant ?
    Ce n’est pas un parti d’apparatchiks, mais une organisation de rassemblement, une sorte de réseau, qui regroupe des gens compétents (OK, peut-être pas tous…) de bonne volonté. La Ligue du Sud permet la double appartenance, ce qui prouve qu’il n’y a aucune volonté hégémonique, ni d’ambition nationale.
    Ce qui manque à ce qu’on appelle (avec raison ou non ?) la droite nationale, ce sont des gens qui gèrent et qui ne prennent pas la grosse tête (qui n’ont pas d’ambitions présidentielles). Marine Le Pen semble même l’avoir compris (du moins pour l’implantation locale)…
    L’implantation locale, ça sert et ça marche. Certes, parler d’assainissement, de trottoirs et d’associations sportives, ça peut être, parfois, ennuyeux… Mais, au moins sur certains sujets très “politiques”, être maire permet de faire avancer des choses : Cf. post précédent sur la viande hallal dans les fêtes d’école à Orange ou encore un post plus ancien sur la restauration de la chapelle de l’hôtel-Dieu, pour y accueillir la messe en forme extra ; ou encore la remise à l’honneur de l’identité de la ville (blason, fêtes etc.), sans oublier les choses qui intéressent tout le monde : baisse des impôts et saine gestion…

  6. Totalement d’accord avec le 1er commentaire. Nouvelle gratinée et déprimante sur l’état de la droite en France. Et, je trouve que la simple lecture des statuts rend difficile à concevoir la crédibilité de la démarche (pourtant J. Bompard m’est plutôt sympathique). En résumé, je suis partagé entre abattement et colère.

  7. Jacques Bompard (ancien RPR?, ancien FN, ancien MPF) transforme La ligue du Sud en parti pour se préparer à la partition de la France nation en France de régions, France de régions voulue et prévue par Bruxelles.
    Ce n’est plus du souverainisme, mais du régionalisme pro-européen.
    [Jacques Bompard n’est pas un ancien RPR. Il a été co-fondateur du FN en 1972….
    PC]

  8. si l’on fait un bilan honnete ,les actions de BOMPARD ont pour le moment été efficaces pour le bien commun ,il y aurait du avoir complémentarité entre les actions des élus et la protestation politique du FN .car au final par rapport au cout des campagnes électorales le bilan positif peut se discuter .enfin quel aurait pu etre le problème de militer au rpr avec mm FOYER ou ROYER ,le menhir lui meme a milité pour le retour du général DE GAULLE au pouvoir dans un contexte de faillite de la république n°4.

  9. Il n’a jamais été cofondateur du FN. C’est Alain Jamet qui l’a recruté…tout droit sorti du PFN anti-lepen

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