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L'Eglise : Le Vatican

La liberté religieuse, un défi pour annoncer l’Evangile

Le consistoire cardinalice convoqué par Benoît XVI aujourd'hui a été précédé par une journée de réflexion et de prière, qui s'est ouverte hier à 9h30 sous la présidence du Saint-Père. Après l'introduction des travaux par le Pape, le Cardinal Secrétaire d'Etat a lu un exposé relatif à la liberté religieuse à travers le monde et de ses perspectives. Suivi de celui du Cardinal Préfet de la congrégation pour le culte divin sur la liturgie dans la vie de l'Eglise. A propos des thèmes abordés, le Pape a dit que

"le mandat du Seigneur d'annoncer l'Evangile implique la liberté de le faire, ce qui a été objet d'opposition au long de l'histoire. Le rapport entre vérité et liberté, qui est essentiel, subit aujourd'hui le défi d'un relativisme semblant compléter le concept de liberté alors qu'il risque de la détruire par son aspect dictatorial".

Le Cardinal Bertone a tracé un panorama des tentatives de limiter la liberté des chrétiens dans diverses parties du monde, y compris dans des régions qui doivent souvent au christianisme grand part de leur identité culturelle. Le processus de sécularisation tente de marginaliser les valeurs spirituelles dans la vie sociale. Il a également exposé la situation de la liberté religieuse dans les pays musulmans.

Le Cardinal Cañizares a exposé l'importance de la prière liturgique dans la vie de l'Eglise et rappelé la nécessité de respecter la discipline liturgique.

18 cardinaux sont intervenus, évoquant notamment les graves difficultés rencontrées par l'Eglise dans sa défense des valeurs fondamentales et du droit naturel, telles la vie et la famille.

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2 commentaires

  1. Les Etats qui s’opposent à la diffusion du christianisme peuvent en effet penser qu’ils combattent la liberté de choisir l’esclavage de l’erreur. Toute vérité n’est pas bonne à dire. Toute vérité n’est pas bonne à savoir. A fortiori le mensonge : on ne sert pas l’humanité en lui reconnaissant des droits.
    Ce n’est pas la restriction de la liberté religieuse qui est à mettre en cause, mais l’anti-christianisme. Or le monde non-chrétien n’a aucune raison de s’opposer à l’anti-christianisme : “Celui qui n’est pas avec moi est contre moi”.

  2. Les médias continuent de dire que ce Consistoire n’a été réuni que pour parler des affaires de pédophilie – et d’en remettre une couche avec des victimes qui se réveillent 20 ans après !

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